Ici la page Amazon.fr du nouveau coffret intégrale 20br allemand UNIVERSAL DE, français inclus.
Star Trek S01E08: Miri (1966)
Titre français : La patrouille du cosmos, Miri.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Star Trek (1966).
Diffusé aux USA le 27 octobre 1966 sur NBC US.
Diffusé en France (sud) sur TMC début des années 1970.
Diffusé en France le 28 août 1986 sur LA CINQ FR.
Sortie en blu-ray US le 28 avril 2009 (effets spéciaux reconstruits en HD, son 7.1, avec possibilité de voir l'épisode avec les anciens effets et son stéréo, multi-régions, piste française et sous-titres français inclus).
De Gene Roddenberry; sur un scénario de Adrian Spies ; avec William Shatner, Leonard Nimoy, DeForest Kelly, George Takei, Nichelle Nichols, Kim Darby, Michael J. Pollard.
Pour adultes et adolescents.
(Space Opera) Sur la passerelle de l’U.S.S Enterprise filant parmi les étoiles, le capitaine Kirk constate : « Signal de détresse de style terrien : S.O.S… »
Le membre d’équipage chargé des télécommunications annonce : « J’ai accusé réception sur toutes les fréquences, Monsieur. Ils ne répondent pas. » Spock à la console scientifique annonce : « Pas un vaisseau : un émetteur au sol, la troisième planète dans ce système solaire d’après mes instruments. »
Une planète bleue apparaît au centre de l’espace obscur sur le grand écran de la passerelle, qui grossit rapidement. Le même membre d’équipage chargé de télécommunication confirme : « Droit devant, définitivement un signal de style terrien. »
Kirk se détourne de l’écran et remarque : « Nous sommes à des centaines d’années-lumières de la Terre, Monsieur Spock ; pas de colonie ou de vaisseaux de sortie si éloignés. »
Sur l’écran de la passerelle, la planète aura progressivement grossi jusqu’à l’emplir totalement. Spock annonce « Je mesure la planète à présent, Capitaine : en forme de sphéroïde ; circonférence, 24,874 miles (NDT 40.030 km, quasimen celle de la planète Terre), masse, six fois dix puissance vingt-un tonnes, densité implicite : 5.517, atmosphère : oxygène azoté. »
Présente sur la passerlle, l’assistante Janice Rand s’exclame : « la Terre ! », alors que sur l’écran géant, la planète bleu a encore grossi et tout le monde peut distinguer les contours caractéristiques des continents : l’Afrique, l’Europe… »
Kirk corrige immédiatement : « Pas la Terre. Une autre Terre. » … les Amériques. « Une autre Terre ? » répète Kirk, à son tour aussi étonné que Rand.
Journal de bord du Capitaine, date stellaire 2713.5 : aux confins distants de notre galaxie, nous avons fait une découverte étonnante : des signaux radios de type terriens provannt d’une planète qui apparemment est une réplique exacte de la Terre. Cela semble impossible, mais là voici. »
Assis dans son fauteuil de commandement sur la passerelle de l’USS Enterprise, le docteur McCoy debout à sa gauche, l’assistante Janice Rand debout un pas derrière eux, Kirk ordonne : « Maintenez-nous sur une orbite fixe, Monsieur Spock. » Et son premier officier d’acquiecer : « Affirmatif, capitaine. »
Puis, Kirk demande : « Toujours aucune réponse, Communications ? — Aucune, capitaine. » Kirk hésite une fraction de seconde, puis déclare : « Nous nous téléporterons au sol : alertez la sécurité, préparez-vous à transporter une expédition d’exploration en surface ; nous débarquerons dans le voisinage du signal de détresse actuellement en cours de réception. »
… à savoir l’avenue d’une ville terrienne d’allure abandonnée, aux façades et véhicules noircis, rappelant l’Amérique des années 1930 sur la Terre : six silhouettes argentées apparaissent et vacillent dans une vibration auditive cristalline — de gauche à droite : Spock, un membre de la sécurité à chemise rouge, Janice Rand, le capitaine Kirk, un autre membre de la sécurité à chemise rouge, et le docteur McCoy.
Complètement matérialisés, ils regardent autour d’eux. Ils sont debouts, complètement à découvert, dans une rue recouverte de sable, juste devant l’entrée de l’Hôtel Trusk, en anglais dans le texte.
Tous se retournent pour avancer de quelques pas vers le centre du carrefour, jonché de quelques chaises et caisses de bois abandonnés, avec plusieurs voitures rouillées garées ça et là, qui font dire à Kirk : « Identique… à la Terre, telle qu’elle était au début des années 1900. »
Spock corrige son capitaine : « Plutôt le milieu du vingtième siècle, je dirais, capitaine, approximativement 1960. »
« Mais où sont passés les gens ? » demande Janice Rand.
Spock répond : « Les relevés indiquent que la détérioration naturelle a suivi son cours sur cette planète depuis au moins plusieurs siècles. » Janice reformule : « Vous voulez dire qu’il n’y a plus personne en vie ? » Spock corrige : « Ce n’est pas prouvé, Assistante. La preuve suggérerait que le signal de détresse est automatisé. »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***