Surface S01E07: On the Run (2005)
Traduction du titre original : Surface - En cavale.
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Surface de 2005.
Diffusé aux USA le 7 novembre 2005 sur NBC US.
Sorti en coffret 5 dvd américain le 15 août 2006, pas de sous-titres, pas de version française.
Diffusé en France le 10 septembre 2006 sur CANAL PLUS FR.
Diffusé en France le 3 février 2007 sur TF1 FR.
Le coffret 4 dvd français (VF 2.0 surround, UK DD 5.1) du 27 mars 2007, quatre épisodes par disque sauf le disque 4, trois épisodes plus un bonus sur les effets spéciaux. Les sous-titres français ne traduisent pas tout de la version originale. Le coffret dvd australien du 4 avril 2007 contient 5 dvd, pas de sous-titres, pas de version française.
De Jonas Pate et Josh Pate ; avec Lake Bell, Jay R. Ferguson, Carter Jenkins, Eddie Hassell, Leighton Meester, Ian Anthony Dale, Bobby Coleman.
Pour adultes et adolescents
(prospective monstre apocalypse) Aéroport régional de Portland, par une belle journée. La tour de contrôle. Dans le haut-parleur, la déclaration d’un pilote à la voix déformée par la liaison médiocre.
Le contrôleur aérien répond néanmoins : « Bien reçu, Journey Air 359 Kilo, autorisation confirmée. » Puis il ajoute, comme en aparté : « Tu va morfler. » En fait, le contrôleur s’adresse à son camarade avec lequel il dispute une partie d’un jeu de plateau nommé Stratego.
Le camarade, également contrôleur aérien joue son coup, et leurs hauts-parleurs diffusent la réponse : « Tour de contrôle de Portland, ici 359 kilo : on a des turbulence, je voudrais monter à 24.000 (pieds). Et son contrôleur aérien répond sans se troubler : « Journey Air, vous êtes autorisé pour 24.000. »
Mais le pilote demande à nouveau dans le haut-parleur : « Tour de Portland, avez-vous prévu des orages ? » Cette fois, le contrôleur voisin du premier et partenaire de Stratego répond : négatif, 359 kilo, nous avons un horizon clair jusqu’à Maui. »
Le pilote objecte à la radio : « Bien reçu, mais nous avons des turbulences là-haut. » Le second contrôleur insite : « Rien au radar ou au satellite, pas de nuage dans le ciel. » Le ton du pilote semble monter : « Je répète, des éclairs, des éclairs ! »
Et un vrombissement couvre alors la voix du pilote dans les hauts-parleurs. Les deux contrôleurs échangent un regard inquiet, et le premier contrôleur demande : « Journey Air, pouvez-vous vérifier votre position ? »
Le pilote commence : « Nous sommes à trois cents kilomètres… » Il s’interrompt : « Le moteur à tribord a lâché : Mayday Portland, Mayday, je tombe à 9000 pieds, je dois me poser. » Le premier contrôleur, alarmé, demande encore : « Journey Air, êtes-vous stable ? »
Le pilote se met à crier : « Je vois des lumières, tout autour de nous, des arcs-en-ciel, bon sang ! des arcs-en-ciel ! » Un nouveau vrombissement, et le premier contrôleur presse : « Journey Air, répondez ! Ici la tour de contrôle de Portland, répondez ! »
Sur l’écran radar, les chiffres identifiant le vol Journey Air 359K — JourneyAir FLT 359K 24,000 feet R1 approach — clignotent et disparaissent. Le premier contrôleur s’exclame : « Où est leur signal ? »
Et son camarade répond : « Ils n’en ont pas. » Le premier contrôleur s’indigne : « Qu’est-ce que tu veux dire par ils n’en ont pas ? » Plus calmement son camarade répond : « Je veux dire qu’ils ont décroché de l’écran radar : ils ont disparu. »
Et dans le ciel le vol Air Journey plongeait en direction de l’océan, dans les nuages auréolés d’un arc-en-ciel : foudroyé en plein piqué par un éclair vert, il perd son aile droite et s’en va droit s’écraser dans l’océan juste à côté d’un cortège de lézards géants zébré de décharges électriques vertes.
Cachés dans les fourrés Phil et Miles observent catastrophés la piscine désaffectée et les secours, Phil s’exclame : « Il est mort ! » Mais Miles semble déjà rassuré comme la victime est installée sur un brancard et le brancard monté dans l’ambulance : « Ils ne feraient pas tout ça s’il était mort. »
Nimrod répond d’un gémissement gargouillant inquiet. Miles lui répond : « Chut ! » Mais Phil n’est pas aussi optimiste : « Il ne bouge plus, c’est comme dans Face à la Mort ! »
Miles tance Phil : « Est-ce que tu vas la fermer maintenant ? Il va s’en sortir. » Le responsable de la police arrivé sur place demande alors aux secouristes : « Est-ce qu’il a parlé ? »
La secouriste répond : « Il ne peut pas, il est en état de choc. » Le policier demande encore : « Il a été mordu ? »
La secouriste répond : « C’est le moindre de ses soucis, ce type a la moitié de la surface de son corps brûlée. » Le policier s’étonne : « Le service des animaux disait qu’il chassait un crocodile… »
La secouriste répond : « Armé d’un taser, alors. » Et comme Nimrod gronde, Phil se tourne vers Miles : « Miles tu parles la langue des Critters, dis-lui de la fermer ! »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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