It's a wonderful life (1946) le blu-ray anglais de 2009
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It's a wonderful life (1946) le blu-ray anglais de 2009
Multi-régions, pas de version française.
Sorti en Angleterre le 2 novembre 2009 (lisible en France, pas de version française).
Sur le film : Un film clé de l'histoire du cinéma, une fable humaniste décrivant sans fard les épreuves de ceux qui veulent faire le bien face à ceux qui ne se gênent pas pour faire le mal, aux coups du sort et aux petits travers qui peuvent très bien coûter très cher. Cela pourrait être un mélo si ce n'était pas en prise avec la réalité et si bien joué que les scènes violentes psychologiquement sont difficiles à soutenir pour les âmes sensibles. Le côté fantastique de l'histoire est au service de la fable avant tout, mais là aussi la scène a fait date dans l'histoire du cinéma et c'est une mini-uchronie redoutable de pertinence et d'efficacité.
Image colorisée : bonne. Très belle à voir même si le procédé de colorisation doit encore être amélioré. Les détails fins peuvent aller jusqu'aux cils mais les textures de peaux sont en général gommée par la couleur quasi uniforme ajoutée à l'image, qui ne tient pas compte des rougeurs de la peau liées aux émotions, des variations de pigmentation naturelle, des petits défauts, ou des détails du maquillage d'époque. Le même problème peut se retrouver à n'importe quel niveau de l'image (décor, vêtement etc.), mais dès que les contrastes des détails sont fort (par exemple le costume du héros) ou certains objets du décors, l'illusion de la couleur est presque parfaite.
Image originale noir et blanc : Très bonne.
Son : original anglais Dolby Digital Mono : Bon. Sonne très bien, agréable, même s'il est un peu daté d'allure.
Bonus: Limités (bande annonce, comparaison d'images).
Il vaut mieux acheter l'édition américaine multi-régions, avec piste et sous-titres français, et les vrais bonus, mêmes s'ils ne sont pas non plus très nombreux. La version colorisée est agréable à regarder, même si la version noir et blanc est encore plus belle et que l'imagination n'aura pas le côté encore trop artificiel de la colorisation au niveau des peaux.
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L'assistant du vampire, le film de 2009
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Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de l'Assistant du vampire (2009)
Cirque du Freak: The Vampire's Assistant (2009)
Sorti en aux USA et en Angleterre le 23 octobre 2009.
Sorti en France le 2 décembre 2009.
Sorti en blu-ray aux USA et en France le 23 février 2010 (multi-régions, version et sous-titres français inclus)
De Paul Weitz (également scénariste), sur un scénario de Brian Helgeland , d'après le roman de Darren Shan. Avec Chris Massoglia, Josh Hutcherson, Jessica Carlson, Patrick Fugit, John C. Reilly, Ken Watanabe, Salma Hayek, Michael Cerveris, Ray Stevenson, Willem Dafoe, Morgan Saylor, Orlando Jones.
Pour adultes et adolescents.
Un peu à l’écart, un gros homme amusé mange du pop-corn à un enterrement, celui de Darren Shaw, un adolescent – lequel, de son propre aveux, n’avait jamais prévu de passer autant de temps au fond d’un cercueil… à jouer avec sa console de jeu portable, ce alors même que son meilleur ami, Steve, bouleversé, va déposer une fleur sur sa tombe.
Quelques jours auparavant, au lycée Beckman, Darren suivait une scolarité ordinaire. Il était relativement populaire, avait des notes suffisantes pour rendre sa famille fière. Son seul défaut, avoir Steve pour meilleur ami. Steve est du genre à faire n’importe quoi, comme entraîner Darren sur le toit pour sécher le cour d’Histoire, et lui faire casser bruyamment des ampoules à coup de pierres. Darren se fait bien sûr pincer, et à la maison, c’est le drame : pour sa famille, il s’écarte de la voie toute tracée : l’université, un travail, fonder une famille et hurler sur son fils. Le lendemain, Steve est choqué d’apprendre qu’il est devenu le meilleur ami secret de Darren, et lui reproche de faire toujours ce que ses parents veulent. Puis il commence à admettre que les parents de Darren ont raison, il n’est qu’une ordure et ils ne devraient plus se fréquenter, mais Darren proteste : Steve est bien son meilleur ami, il n’est pas une ordure.
C’est alors qu’une limousine passe devant eux et leur jette un tract pour un spectacle de monstre qui doit avoir lieu le soir même en ville. En cours d’histoire, le professeur confisque le tract et déclare que c’est odieux d’exploiter des monstres pour de l’argent. Cependant, Darren file par sa fenêtre et rejoindre Steve pour aller rejoindre à vélo l’adresse du spectacle. Steve lui fait remarquer que la lune de ce soir est rousse – ou plus exactement sanglante. Steve en effet est obsédé par les vampires, tandis que Darren adore les araignées. Devant le guichet, ils découvrent un panneau : « de retour dans trois secondes ». Darren compte jusqu’à trois… Une petite trappe sous le guichet s’ouvre, et un bout de carton sur lequel est écrit « argent » atterrit par terre. Steve tend l’argent, et une main arrache les billets et referme la trappe. Steve s’énerve, frappe à la trappe qui s’ouvre, il tend la main, et une espèce de gnome grimaçant attrape sa main et le mord, puis la chose jette les tickets par terre.
Darren et Steve entre alors dans le hall du théâtre. Ils se retrouvent face à un géant asiatique au crâne déformé, qui leur demande s’ils ont 21 ans. Comme les deux adolescents restent bouche-bée, il ajoute rapidement, plus bas : « dites ‘oui’ ». Et Darren et Steve répondent précipitamment « oui ». Puis il leur demande s’ils sont ordinairement tendance à la panique, ou à l’arrêt cardiaque soudain ou aux crises d’anxiété, et comme à nouveau les deux adolescents hésitent, il leur souffle : « dites ‘non’ ». Et ils répondent « non ».
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L'éléphant du magicien, le roman de 2009
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The Magician’s Elephant (2009)
Sorti le 7 septembre 2009 chez Walker Books UK,
Sorti le 8 septembre 2009 chez Candlewick Press US.
Traduit en français par Sidonie Van den Dries le 11 avril 2010 chez Scholastic FR / Tourbillon FR.
Adapté en dessin animé en 2023 sur NETFLIX INT/FR.
De Kate DiCamillo, illustré par Yoko Tanaka.
Pour adultes et adolescents.
(Fantasy urbaine, magie, presse) Peter Augustus Duchêne se pose beaucoup de questions, mais il y en a une dont il aimerait le plus avoir la réponse : Sa sœur est-elle encore en vie ? Et si oui, comment la retrouver ? La réponse que lui donne la diseuse de bonne aventure sur la place du marché de la ville de Baltese est de celle qu'il devra apprendre à croire : « Un éléphant ! Un éléphant le conduira là-bas ! »
*
Le texte original de Kate DiCamillo de 2009, illustré par Yoko Tanaka pour Walker Books UK et Candlewick Press US.
Chapter One
At the end of the century before last, in the market square of the city of Baltese, there stood a boy with a hat on his head and a coin in his hand. The boy’s name was Peter Augustus Duchene, and the coin that he held did not belong to him but was instead the property of his guardian, an old soldier named Vilna Lutz, who had sent the boy to the market for fish and bread.
That day in the market square, in the midst of the entirely unremarkable and absolutly ordinary stalls of the fishmongers and cloth merchants and bakers and silversmiths, there had appeared, without warning or fanfare, the red tent of a fortuneteller. Attached to the fortuneteller’s tent was a piece of paper, and penned upon the paper in a cramped but unapologetic hand were these words: The most profond and difficult questions that could possibly be posed by the human mind or heart will be answered for the price of one florit.
Pater read the small sign once, and then again. The audacity of the words, their dizzying promise, made it difficult, suddenly, for him to breathe. He looked down at the coin, the single florit, in his hand.
“But I cannot do it,” he said to himself.” Truly, I cannot; for if I do, Vilna Lutz will ask where the money has gone and I will have to lie, and it is a very dishonorable thing to lie.”
He put the coin in his pocket. He took the soldier’s hat off his head and then put it back on. He stepped away from the sign and came back to it and stood considering, again, the outrageous and wonderful words.
“But I must know,” he said at last. He took the florit from his pocket. “I want to know the truth. And so I will do it. But I will not lie about it, and in that way, I will remain at least partly honorable.” With this words, Peter stepped into the tent and handed the fortuneteller the coin.
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La traduction française au plus proche.
Chapitre Un
À la fin du siècle dernier, sur la place du marché de la ville de Baltese, se tenait un garçon avec un chapeau sur la tête et une pièce de monnaie dans la main. Ce garçon s'appelait Pierre Auguste Duchêne et la pièce qu'il tenait ne lui appartenait pas, mais était la propriété de son tuteur, un vieux soldat nommé Vilna Lutz, qui l'avait envoyé au marché pour acheter du poisson et du pain.
Ce jour-là, sur la place du marché, au milieu des étals tout à fait banals des poissonniers, des marchands de tissus, des boulangers et des orfèvres, était apparue, sans avertissement ni fanfare, la tente rouge d'une diseuse de bonne aventure. Attachée à la tente de la diseuse de bonne aventure, une feuille de papier sur laquelle étaient inscrits, d'une main serrée mais sans complaisance, ces mots : Les questions les plus profondes et les plus difficiles que l'on puisse se poser sont les suivantes Les questions les plus profondes et les plus difficiles que puisse se poser l'esprit ou le cœur humain trouveront une réponse pour le prix d'un florit.
Pater lut le petit écriteau une fois, puis une autre. L'audace des mots, leur promesse vertigineuse, lui rendit soudain la respiration difficile. Il baissa les yeux sur la pièce, l'unique florit, qu'il tenait dans sa main. "Mais je ne peux pas le faire, se dit-il. Vraiment, je ne peux pas, car si je le fais, Vilna Lutz demandera où est passé l'argent et je serai obligé de mentir, et c'est une chose très déshonorante que de mentir."
Il mit la pièce dans sa poche. Il enlève le chapeau de soldat de sa tête et le remet. Il s'éloigna de la pancarte, revint vers elle et resta à considérer, une fois de plus, les mots scandaleux et merveilleux. "Mais il faut que je sache", dit-il enfin. Il sortit le fleuron de sa poche. "Je veux connaître la vérité. C'est ce que je vais faire. Mais je ne mentirai pas, et ainsi, je resterai au moins en partie honorable." Sur ces mots, Pierre entra dans la tente et tendit la pièce à la voyante.
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La traduction française de Sidonie Van den Dries de 2010 pour TOURBILLON FR.
(à venir)
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Dark Crystal, le blu-ray français de 2009
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Ici la page Amazon.fr consacrée à ce coffret blu-ray français de 2009.
Ici la page Amazon.fr consacrée au coffret français br+4K du 35ème anniversaire de 2018.
Ici la page Amazon.fr consacrée au coffret br+4K anglais VF incluse (35e anni non mentionné).
Dark Crystal, le blu-ray français (2009)
Ici la page de ce blog consacré à Dark Crystal, le film de 1982.
Ici la page de ce blog consacré au blu-ray américain multi-régions VF inclus de 2018 inclus dans le coffret UHD.
Les captures de cet article sont tirées du blu-ray et n'ont pas été retouchées. Détails, contrastes et luminosités seront forcément meilleurs sur votre écran HD ou 4K, en particulier si votre lecteur 4K ajoute automatiquement du HDR. Les réglages de votre moniteur impactent sur les couleurs et les contrastes de ces captures.
Quinze après son achat et stocké comme tous les autres en étagère, l'intérieur de coffret plastique ne présente aucune trace de graisse ni de rosace, et est toujours lisible
Sorti en France en coffret blu-ray le 9 septembre 2009.
Sur le film : je l'ai vu à sa sortie en salle, et revu lors d'une rétrospective fantastique à la maison des jeunes en région parisienne, puis j'ai eu la chance de voir le montage original sous-titré français lors d'une projection pédagogique dans une autre maison des jeunes. Si je trouvais alors les marionnettes des héros elfiques un peu trop caricaturale en comparaison des monstres de tailles (Oghra, les Skekses etc.), j'étais frappé par le bond en avant qualitatif et merveilleux comparé au Muppet Show, la beauté extraordinaire de la musique et des décors. Ayant vu l'affiche collée sur un mur plus ou moins en face de chez moi pâlir et se déchirer, j'ai supplié mes parents de me trouver l'affiche du film, et mon vœu a été exaucé, l'affiche est restée longtemps à enchanter mes rêves et à pâlir à la lumière du soleil, sur le mur de ma chambre. Je dois encore l'avoir, repliée quelque part.
Je reste frustré car la version originale (du réalisateur ? longue ? elle commence avec une introduction différente) n'a toujours pas été restaurée ni éditée alors qu'elle est encore plus impressionnante, je ne saurai dire exactement pourquoi sinon que par exemple la scène de banquet des Skeses est plus terrifiante - tout est un rien plus spectaculaire et adulte, tandis que le montage auquel nous avons accès aujourd'hui est probablement un peu édulcoré pour passer davantage pour un film d'animation pour la jeunesse, et faire un peu moins peur... aux adultes. (The) Dark Crystal est l'un des meilleurs films - fantastique ou tout genre confondu - de tout les temps, mais c'est surtout l'un des trop rare à transposer sur grand écran le dépaysement et le merveilleux comme la noirceur des contes nordiques au meilleur de la littérature de fantasy, et à ce titre il est à juste titre un film culte, qui a forcément inspiré et motivé de nombreux auteurs, en particulier de bande dessinée et de romans graphiques.
Il existe une série streamée produite pendant le COVID, qui ne se compare pas au film, le scénario étant votre sempiternel tissus de tropes copié collée sur n'importe quel franchise à succès, la dégradant et la rétrécissant au lieu de l'exalter et détendre son univers : une préquelle censée raconter comment tous les gelfings meurent à la fin avant le film, au lieu de poursuivre par de nouveaux contes de style nordique le nouvel âge esquissé à la fin du film, un âge a priori où les humains, les nains, les dragons sont censés débarquer incidemment pour correspondre aux sagas et contes dans lesquels Tolkien a directement puisé pour nourrir ses romans Le Hobbit et Le Seigneur des Anneaux. C'est à côté de ça que la série Netflix est passée, mais c'était plus que prévisible, compte tenu du modèle d'entreprise du streamer.
Sur l'image 1080p format 2.35:1, original 2.39:1 non respecté : bonne En HD (je n'ai plus d'écran HD pour comparer aujourd'hui), l'image m'avait semblé manquant d'un peu de tout, sans être mauvaise - la profondeur de champ, les couleurs, les noirs, tout est légèrement affadie, et il y a des coups à l'image et de la saleté, tandis que tous plans à effets optiques souffrent dans leurs détails fins, couleurs, contrastes etc (titre d'ouverture, bataille devant le palais et surtout le final, visuellement très dégradé). Je ne suis pas certain d'avoir assisté au meilleur techniquement parlant de la projection en salle ; je me souviens que le visuel de la scène finale (la scène de fusion et d'effondrement) était beaucoup plus détaillée sur l'écran du cinéma, quand bien même dégradée par la surexposition et les trucages optiques nécessaires à la scène. C'est un film que j'ai revu en dvd dans une édition normale, pas les éditions dvd et haute résolution suivante, et c'était la seule édition disponible alors, donc j'étais content, mais pas transporté. Je m'attendais à mieux, plus en me rapportant aux photos de tournage et de publicité affichée au cinéma, de la meilleure qualité ou qui n'avaient pas encore viré. Depuis 2009 est sorti le coffret UHD plus un nouveau transfert à l'image et à la profondeur de champ HD bien meilleure. Pas encore testé la mise à échelle 4K de ce blu-ray mais cela ne saurait tarder.
Sur le son Anglais Dolby TrueHD 5.1 (48kHz, 24-bit) : bon. Egalement disponible les pistes Français : Dolby TrueHD 5.1 ; Espagnol : Dolby Digital 5.1 (448 kbps), la piste espagnole est meilleure et plus proche de la qualité de la piste anglaise originale ; Portugais : Dolby TrueHD 5.1.. Là encore je ne saurais garantir que les projections en salle avaient un son meilleur, et c'est peu probable compte tenu de l'époque et du fait que j'ai vu le film dans un petit cinéma de quartier. Il y a cependant un point de comparaison qui n'est jamais passé quel que soit les éditions, celui de la musique, qui a une place très importante dans le film et qui m'avait impressionné, dont le thème principal qu'il soit orchestré en ouverture ou chanté dans la scène du voyage en barque m'était resté en tête.
J'ai mis du temps à retrouver une édition (en CD), de fait américaine et coûteuse, avec un premier CD présentant l'équivalent de l'album vinyle, de qualité audio proche ou identique à ce blu-ray, et le second CD présentant véritablement la bande-son du film et beaucoup plus spectaculaire à tout point de vue sur mon système audio - basse, relief, détail, réalisme. C'est ce second CD qui me permet de trancher sur la qualité objective du son de ce blu-ray : bon, mais certainement pas la qualité maximale possible. Noter qu'il arrive très souvent qu'en CD la qualité d'une bande originale soit très supérieure et plus immersive qu'en blu-ray alors que cela devrait être le contraire, avec plusieurs causes possibles, en particulier un mixage son pour le blu-ray non réalisé à partir des meilleurs sources, seulement un nettoyage du mixage initiale, et de ce que j'ai pu lire de compte-rendu de restauration, réalisé à partir de la piste sonore de la pellicule et non des bandes studios originales.
Certains visent à donner au spectateur une prétendue expérience de la salle de cinéma de l'époque, mais en pratique ce n'est jamais le cas, parce que l'ingé son n'y était pas assis à l'époque, et les salles de cinéma pouvaient être très différentes, pire encore au temps du cinéma muet où la performance en direct de l'orchestre complet et celle du public comptaient intégralement pour l'ambiance en salle attendue part la production. J'en reste pour ma part que si l'on regarde un film, c'est pour être transporté dans la réalité idéalisée qu'il représente - pour la musique, je m'attends à être à la place du chef d'orchestres, et pour le reste à être à la place des héros dans le plan en question - et un certain nombre de blu-rays remplissent cette mission, haut-la-main avec le bon système de reproduction du son, y compris à partir d'une seule piste mono incompressée restaurée sans avoir été aplati par l'équivalent de l'anti-bruit appliqué n'importe comment pour l'image.
Conclusion : l'un des premiers blu-rays que j'ai pu acheter (le 31 août 2009, donc quinze ans d'âge), toujours lisible, merci Sony. La présentation est honorable, mais moins bonne qu'avec le blu-ray plus récent de 2018 inclus dans le coffret UHD, plus détaillé, mieux contrasté, aux noirs plus propres.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à ce film.
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X-Men Origins: Wolverine, le film de 2009
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X-Men Origins: Wolverine (2009)
Traduction du titre original : Les origines des non-identifiés : le Glouton (Serval).
Film X-Men précédent <> Film X-Men suivant.
Sorti en France et en Angleterre le 29 avril 2009.
Sorti aux USA le 1er mai 2009.
Sorti en blu-ray américain le 15 septembre 2009 (multi-régions, version et sous-titres français inclus).
Sorti en blu-ray français le 4 novembre 2009 (région B,
De Gavin Hood, sur un scénario de David Benioff et Skip Woods, d'après la bande dessinée de Len Wein, John Romita et Herb Trimpe ; avec Hugh Jackman, Liev Schreiber, Ryan Reynolds, Danny Huston, Will.i.am, Lynn Collins, Kevin Durand, Dominic Monaghan, Taylor Kitsch, Daniel Henney, Tim Pocock, Troye Sivan, Michael-James Olsen, Julia Blake, Max Cullen.
Territoires du Nord-Ouest du Canada, 1845. James, un jeune garçon tousse dans son petit lit à baldaquins à la lumière d’une lampe à pétrole, tandis que crépite un feu de bois. Assis dans un fauteuil, un garçon plus âgé, Victor, le veille, des ongles proéminents aux mains. Victor reproche à James d’être toujours malade, mais James répond que Victor était aussi toujours malade à son âge. Le père de James,Howlett entre alors soudainement, et Victor se lève pour lui souhaiter une bonne soirée. Puis Howlett le salue à son tour, puis déclare qu’il n’avait pas réalisé que Victor était encore là. Victor explique alors qu’il tient seulement compagnie à James, si cela convient. Puis Howlett s’assied sur le côté du lit et demande à James comment il va, et James répond qu’il a toujours froid.Howlett déclare qu’il s’agit seulement d’une petite fièvre, qu’il ira bien le lendemain. Ce à quoi James répond que son père dit toujours cela, et son père fait remarquer que James s’en sort toujours. Au moment de lui demander James prend bien son médicament, Howlett est interrompu par des coups forts à la porte. Quelqu’un crie après une certaine Elizabeth.
Howlett se tourne alors vers Victor, lui suggérant de raccompagner chez lui, Creed, lequel, selon le père de James, Creed à nouveau saoul, mais Victor, visiblement en colère, lui rappelle que ce n’est pas son nom que Creed appelle. Puis ils entendent des cris d’une dispute à laquelle est mêlé une voix de femme. Howlett ordonnent aux enfants de rester dans la chambre et sort en hâte. Mais comme les voix deviennent des cris, puis un coup de feu résonne dans la maison, James sort du lit et cavale jusqu’en bas des escaliers, dans le grand hall, où il découvre Howlett abattu. Alors l’homme qui tient sa mère, Creed, le père de Victor, commence à dire qu’il y a des choses que l’enfant ne peut pas comprendre, mais qu’il a besoin de savoir.
Alors James se met à hurler, et des griffes lui poussent au niveau des phalanges, griffes que l’enfant va plonger dans le cœur de Creed. C’est alors que celui-ci bredouille qu’il est son véritable père, tandis que la mère de James, Elizabeth, regarde son enfant avec horreur et lui demande ce qu’il est. James s’enfuit alors dans la forêt toute proche, et Victor le rejoint. Alors que James répète qu’il ne voulait pas faire cela, Victor affirme au contraire qu’il voulait le faire, et qu’il a eu raison de le faire : ils sont frères, et à présent ils n’ont plus que l’un l’autre pour se soutenir, et James ne pourrait jamais revenir chez lui.
Leur vie ne sera plus alors qu’une longue course à travers les conflits les plus graves de l’Humanité – ils traversent la Guerre de Sécession, puis la Première Guerre Mondiale, puis la Seconde, apparemment invulnérables à la mitraille…
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