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- Écrit par David Sicé
Gwendoline (1984)
Toxique : le film est un pastiche des films d'aventure des années 1930 à 1980 jusqu'aux deux-tiers (la cité du désert). Arrivé là, le film, tout en prétendant rester drôle, vise à conditionner le spectateur ou la spectatrice à s'exciter sexuellement en regardant un massacre.
Noter que ce film existe au moins en deux versions : courte américaine de 87 minutes, longue française de 105 minutes.
Autre titre : The Perils of Gwendoline in the Land of the Yik-Yak (les périls de Gwendoline au pays des Yik-Yaks).
Sorti en France le 8 février 1984,
Sorti aux USA le 25 janvier 1985.
Sorti en blu-ray américain le 19 novembre 2019,
Sorti en blu-ray anglais le 2 décembre 2019,
Sorti en blu-ray 4K français le 15 septembre 2020,
Sorti en blu-ray 4K allemand le 23 mai 2022
De Just Jaeckin (également scénariste); avec Tawny Kitaen, Brent Huff Zabou Breitman et Bernadette Laffont.
Pour adultes.
(aventure, fantasy érotique sadique) Une ruelle commerçante animée chinoise dans les années, euh, 1930 ? Un pick-up vert klaxonne et force son passage, renversant la charrette lourdement chargées de paniers que poussait un pauvre vendeur, qui se relève aussitôt et part en invectives dans l’indifférence générale. Deux policiers ( ?) montés postés à l’entrée d’un quai du port voisin – ne bronchent pas. Un pick-up rouge freine et se gare sous un lourd paquet que le cargo à quai déchargé, et un manœuvre saute sur le paquet, le faisant chuter sur la plate-forme du pick-up qui s’enfuit avec son butin. L’officier du cargo dévale la passerelle et tire deux coups de feu en direction des voleurs, et lance des marins à leur poursuite.
Trois hommes louches qui s’étaient abrités derrière des caisses se relèvent lentement : eux-mêmes sont occupés à ouvrir les caissent et voler tout ce qu’ils peuvent : quelques livres rouges dans une petite caisse. Ils s’attaquent ensuite à une plus grande caisse en provenance de Paris, et enfonçant un crochet, l’homme pousse un cri, puis fait ouvrir et basculer la caisse, qui contient une jeune fille rousse en robe blanche. Elle supplie, ils l’assomment et l’emporte dans un sac.
Un peu plus loin une jeune fille brute vole des fruits et comme on lui lance un couteau qui se plante à côté de sa tête, elle s’enfuit. La jeune fille revient à la caisse ouverte et réalise que Mademoiselle Gwendoline n’y est plus. Elle l’appelle en vain. Un tripot avec la foule surexcité autour des tables de jeux, les entraineuses et des danseuses seins nues. Nous retrouvons à l’étage dans le bureau du patron Mademoiselle Gwendoline bâillonnée. Les cheveux roux semblent plaire à tout le monde et le patron en donne une certaine somme aux kidnappeurs. Les livres rouges ont moins de succès.
Plus tard dans la rue, les trois kidnappeurs recomptent (en public) leur argent, et voyant passer la demoiselle qui cherchait Gwendoline, se mettent à la suivre. Chez le patron du tripot, il semble qu’on ait un léger problème de communication et le gros dictionnaire ne semble d’aucune idée. Alors le patron arrache le chemiser de Gwendoline, mais sa joie est de courte durée : un crochet se plante dans sa gorge, et un vaillant aventurier tout de noir vêtu saute par le fenêtre et commence à se battre avec les deux gardes du corps dont un peu doué, qui tue accidentellement son camarade avant de finir transpercé par une lampe. Mais il se trouve que le dénommé Willard n’est même pas venu sauver Gwendoline, seulement se faire rembourser une dette. Willard libère tout de même Gwendoline, estimant que le patron du tripot lui doit encore des sous.
Juste après, les trois kidnappeurs ramènent la seconde jeune fille kidnappée — Beth —, ravie de retrouver Gwendoline tandis que les kidnappeurs épouvantés à la vue du massacre commis par Willard, prennent la fuite. Lorsqu’arrivent d’autres truands, les deux jeunes filles prennent la fuite, non sans que Beth ait empoché une liasse de billets appartenant au truand assassiné. Mais Gwendoline veut absolument convaincre Willard de les accompagner pour retrouver son père, un collectionneur de papillons.
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- Écrit par David Sicé
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Videodrome (1984)
Toxique : ce film montre sous une forme figuré les dommages causés par des scènes toxiques par nature, qui même simulées causent les mêmes dommages au spectateur que si celui-ci assistait à ces scènes dans la réalité. Ne vous exposez pas à ces images si vous êtes fragile, en état de suggestion (alcool, antidépresseur etc.), avez été ou êtes encore victime de violence, ne racontez pas ces scènes.
Sorti aux USA le 4 février 1984
Sorti en France le 16 mai 1984.
Sorti en blu-ray américain le 7 décembre 2010 chez CRITERION.
Sorti en blu-ray anglais version sortie au cinéma 26 décembre 2011.
Sorti en blu-ray français le 21 février 2012.
Sorti en blu-ray anglais édition limitée 17 août 2015, inclus Transfer 1966, From the Drain 1967, Stereo 1969, Crimes of the Future 1970.
Sorti en blu-ray français exclusivité FNAC ELEPHANT le 7 décembre 2021.
Sorti en blu-ray français ELEPHANT le 12 avril 2022.
Annoncé en blu-ray français ELEPHANT le 12 juillet 2022.
De David Cronenberg (également scénariste) ; avec James Woods, Sonja Smits, Deborah Harry, Peter Dvorsky, Les Carlson, Jack Creley, Lynne Gorman.
Pour adultes.
(horreur, cyberpunk) « Civic TV, la chaîne que vous emmenez au lit avec vous. » Une femme brune apparait sur l’écran cathodique de télévision et déclare à la caméra : « Max, c'est le moment de revenir doucement et douloureusement à la conscience. Non, je ne suis pas un rêve... bien qu'on m'ait dit que j'étais une vision de beauté. » Hors-champ, un homme ricane : « Qui t'a dit ça ? »
La femme reprend : « Je ne suis rien d'autre que votre fidèle Vendredi au féminin, Bridey James, qui vous réveille aujourd'hui, mercredi 23. Vous avez compris ? Mercredi 23. Et j'ai un message. N'oubliez pas votre rendez-vous ce matin à 6h30... avec Shinji Kuraki de Ηiroshima Video. Cette réunion aura lieu... à l'hôtel Classic, suite 17. Et inutile de dire que c'est votre premier rendez-vous de la journée. Vous ne connaissez personne qui travaille de 9 h à 17 h ? Terminé, commandant. » Puis l’écran de télévision répète : « Civic TV, la chaîne que vous emmenez au lit avec vous. »
Il est six heures trente passée d’une minute à la montre de l’homme affalé dans le canapé du salon, en face de la télévision. Son poing se contracte et retombe du haut du dossier. L’homme soupire. Plus tard, il se fait un café et tout en mangeant un reste de pizza, passe en revue des photos d’un film japonais érotique. Plus tard il se rend à l’hôtel Classic, frappe à la porte de la suite 17. Un homme japonais lui ouvre et il entre un peu comme un voleur. Il s’assied à la table encore encombrée d’un menu MacDo abandonné et commence en souriant : eh bien, j’ai passé en revue les photos, je suis un petit peu intéressé. Combien avez-vous d’épisodes ? »
L’autre répond qu’il en a treize, et qu’il pouvait en faire six autres si les ventes suivaient. L’homme demande au japonais s’il a des cassettes, et le japonais répond en riant que bien sûr. Le japonais fait un signe à un barbu qui attendait assis à côté d’une valise noire. Le barbu pose la valise sur la table et l’ouvre. Comme le barbu sort la première cassette, l’homme l’interrompt : il veut voir le dernier épisode, le 13. Le japonais s’indigne : l’homme n’y comprendra rien s’il n’a pas vu les deux premiers épisodes. L’homme répond que son public ne regardera pas les deux premiers épisodes : l’homme veut donc voir le dernier.
Sur l’écran de télévision à la définition poussive et aux couleurs bruitées s’affiche le visage d’une jeune femme japonaise apparemment endormie, et le titre rose en police exotique : Rêves de Samourai. La femme ouvre les yeux, puis elle ôte la tête d’une poupée qui en réalité habillait un jouet sexuel sur un air de flûte mélancolique… La vidéo est projetée cette fois dans une salle de conférence devant l’homme et deux autres, l’un chauve, l’autre aux cheveux épais. L’homme demande, inquiet : « vous pensez que ça peut passer ? Est-ce qu’on veut que ça passe ainsi ? L’homme aux cheveux épais répond qu’il pense que le sexe japonais est naturel et que cela leur amènera un public qu’ils n’ont jamais eu auparavant. Mais le chauve déclare qu’il n’aime pas : ce n’est pas assez vulgaire. » L’homme demande « assez vulgaire pourquoi faire ? », et le chauve répond : « pour m’exciter. C’est trop classieux. Mauvais pour le sexe. » L’homme soupire en écrasant sans fin sa cigarette et admet que c’est seulement léger. Il y a quelque chose de trop léger dans tout ça. Lui recherche quelque chose qui ferait sensation, quelque chose de plus rude.
Les tours de métal et de verre dominent vertigineusement de vieilles bâtisses en brique aux façades noircies. Dans la cour, une antenne parabolique grésille en pivotant. A l’intérieur, un jeune homme aux cheveux bouclés noirs et à la chemise à carreau rouge tourne un cadran, puis travaille sur un circuit intégré sorti d’une armoire d’appareils électroniques. Comme il s’écarte et met le manche du tournevis de précision dans sa bouche, il se tourne vers l’homme et voyant son regard agacé, déclare que c’est bon et qu’on y va. Puis il prévient : ils n’ont que 53 secondes de séquence environ alors que l’homme garde les yeux bien ouverts. Et d’ajouter en souriant que les autres ont un désembrouilleur embrouilleur si l’autre comprend ce qu’il veut dire. Le désembrouilleur a détecté qu’ils désembrouillaient, alors il a automatiquement changé son code contre eux.
Sans même regarder son interlocuteur, l’homme demande quel satellite les autres utilisent. On lui répond « snooker ». Il demande encore de quel pays est son origine. Réponse, d’après le délais de réponse de 53 secondes, la Malaisie. Le jeune homme aux cheveux bouclés déclare alors qu’ils y sont. Sur le moniteur s’affiche alors une scène en couleur où une femme asiatique ne portant qu’un genre de blouse d’hôpital est maltraitée par deux hommes masqués en combinaison intégrale isolante. Aucun des deux spectateurs ne semble s’émouvoir, et l’homme demande qu’est-ce que c’est que le mur auquel la femme est poussée. L’autre répond que c’est de l’argile humide et qu’il pense qu’elle est électrifiée. Et comme la scène s’interrompt, le jeune homme soupire : c’est grotesque comme promis. L’homme lui demande d’essayer de trouver la suite à la prochaine diffusion, et l’autre répond qu’il travaille déjà dessus parce qu’il s’est senti plutôt insulté que la scène soit si courte.
Plus tard, l’homme est invité sur le plateau d’une émission de télévisée, le talk-show de Rena King dont le thème de ce soir est la responsabilité sociale de la télévision, et Rena le présente comme étant Max Renn, le président controversé de la chaîne 83. Les deux autres invités étant l’animatrice radio Nicki Brand et Brian Oblivion, un prophète en matière de média. Rena commence par expliquer que la chaîne 83 diffuse tout depuis de l’érotisme jusqu’à de la pure violence et demande pourquoi. Max Renn explique que c’est une pure question économique : pour survivre, la chaîne doit offrir à ses spectateurs quelque chose qu’ils ne peuvent voir nulle part ailleurs, et c’est ce qu’ils font. Rena demande alors si Renn ne pense pas que de telles émissions contribuent au climat de violence sociale et au malaise sexuel. Rena demande encore si Renn s’en soucie. Renn répond qu’il s’en soucie, et il s’en soucie tellement qu’il donne à ses spectateurs un exutoire inoffensif pour leurs fantasmes et leurs frustrations, et en ce qui me concerne, c'est un acte socialement positif.
Rena demande alors à Nicki, l’animatrice radio, si elle pense aussi que c’est un acte socialement positif. Nicki répond que nous tous vivons des vies surstimulées et que nous aspirons à la stimulation pour la stimulation, et nous nous en repaissons, nous en voulons toujours davantage, que ce soit tactile, émotionnel ou sexuel.
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- Écrit par David Sicé
Starfix, le numéro 12 de février 1984
Sorti en France en janvier 1984 - 17F.
Bouclé le 24 décembre 1983.
Publicité
Métamorphoses (animé, 1978, Hoshi no Orufeusu, Winds of Change)
Gwendoline
Sorties de février
Brainstorm
L'homme qui venait d'ailleurs (reprise)
Frissons
L'ascenseur
Sorties de mars
Stryker
Les pirates de l'île sauvage
The Keep
Merlin l'enchanteur (reprise, animé)
L'étoffe des héros
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Les douze meilleurs films de 1983
Zombie
Tonnerre de feu
Creepshow
Evil Dead
Dark Crystal (1982, The Dark Crystal)
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Critiques
L'ascenseur
Blanche neige
Brainstorm
Clash
Les dents de la mer 3
L'homme qui venait d'ailleurs
Le jour d'après
Of Unknow Origin
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Les brèves
Return To Oz
Indiana Jones et le Temple Maudit
SOS Fantômes (1984, Ghostbusters)
Taram et le chaudron magique (1985, The Black Cauldron)
Qui veut la peau de Roger Rabbit ?
La chair et le sang (1985, Flesh + Blood)
Prisoners Of The Lost Universe
Red Dawn
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Articles
Clash
L'ascenseur
Spasm
Of Unknown Origin
Brain Storm
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Avoriaz 1984
L'ascenseur
Brainstorm
Time Rider
The Return Of Captain Invincible
Ninja Wars
Le quatrième homme
Razorback
Testament
Strange Invaders
L'homme qui venait d'ailleurs
Dementia
The Keep
Spasm
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Court-métrage
L'invité
Livres
Allan Quatermain de H Rider Haggard (2 tomes chez NEO)
15 ans d'années trente, le cinéma des français 1929-1944 de Jean-Pierre Jeancolas, chez STOCK.
Disques et concerts
La rubrique est tenue par un punk-rockeur, qui évidemment descend en flammes tout ce qui n'est pas punk-rock.
Le gros point faible de ce genre de chroniques est évidemment le manque de chroniqueurs ou un minimum de capacité à se mette à la place d'un public qui n'aurait pas les mêmes goûts que les siens, ou encore un minimum de compétence dans les domaines qui ne sont pas à votre goût. Heureusement que le reste du magazine a un niveau plus haut d'écriture.
Le péril jaune de Indochine
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- Écrit par David Sicé
Voici la liste des articles de ce blog consacrés aux films de Science-fiction, Fantasy, Fantastique et Aventure annoncé pour l'année 1983. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure de la rédaction des articles.
Ici le calendrier cinéma pour 1984.
Ici le calendrier cinéma pour 1982.
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Décembre 1983
En France
Aux USA
Deathstalker (2 septembre)
La forteresse noire (16 décembre, The Keep)
En Angleterre
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Novembre 1983
En France
Le dernier testament (4 novembre)
En Angleterre
Aux USA
Amityville 3 3D (18 novembre)
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Octobre 1983
En France
Les trois couronnes du matelot (5 octobre 1983)
Le retour du jedi (19 octobre, Star Wars: Episode VI - Return of the Jedi)
Aux USA
Dead Zone (21 octobre 1983, The Dead Zone)
L'étoffe des héros (21 octobre, The Right Stuff)
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Septembre 1983
En France
En Angleterre
La quatrième dimension, le film (1er septembre, Twilight Zone: The Movie)
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Août 1983
En France
Superman III (10 août)
Yor, le chasseur du futur (24 août, Yor, the Hunter from the Future, Il mondo di Yor)
Aux USA
Metalstorm, la tempête d'acier (19 août, Metalstorm: The Destruction of Jared-Syn)
Yor, le chasseur du futur (19 août, Yor, the Hunter from the Future, Il mondo di Yor)
Tygra, la Glace et le Feu (animé, 26 août 1983, Fire And Ice)
En Angleterre
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Juillet 1983
En France
Les prédateurs (13 juillet, The Hunger)
Aux USA
En Angleterre
Superman III (19 juillet)
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Annoncés pour juin 1983
En France
Testament (13 juin)
Creepshow 1982 (22 juin)
Aux USA
L'homme aux deux cerveaux 1983 (3 juin, The Man With Two Brains)
Superman III (17 juin)
La quatrième dimension, le film (24 juin, Twilight Zone: The Movie)
En Angleterre
Le retour du jedi (2 juin, Star Wars: Episode VI - Return of the Jedi)
House Of The Long Shadows (17 juin)
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Annoncés pour mai 1983
En France
Zombie 1978 (11 mai, Dawn of the Dead)
Aux USA
Le guerrier de l'espace (20 mai, Spacehunter: Adventures in the Forbidden Zone)
Le retour du Jedi (25 mai 1983, Star Wars 6)
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Avril 1983
En France
Le dernier combat (6 avril)
Dar l'invincible (27 avril, The Beastmaster)
Les prédateurs (29 avril, The Hunger)
Aux USA
The Deadly Spaw (22 avril)
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Mars 1983
En France
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Février 1983
En France
Le camion de la mort 1981 (9 février, Warlords of the 21st Century)
L'emprise 1982 (23 février, The Entity)
Aux USA
L'emprise 1982 (4 février, The Entity)
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Janvier 1983
En France
Amityville 2: Le possédé (5 janvier, Amityville II : The possession)
Amityville 3, 3D (19 janvier)
Le prix du danger (26 janvier, The Price Of Peril)
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