Close Encounter Of The Third Kind (1977)
Traduction du titre original : Rencontre à courte distance du troisième type.
Attention, ce film existe au moins en trois montages : original cinéma 1977, Special Cut 1980, VHS et Laserdisc 1998.
Sorti aux USA le 16 novembre 1977.
Sorti en France le 28 février 1978.
Sorti en Angleterre le 14 mars 1978.
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR 30ème anniversaire le 5 novembre 2007 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
Sorti en blu-ray américain coffret 2 BR 30ème anniversaire le 13 novembre 2007 - 3 montages (multi-régions, anglais DTS HD MA 5.1, français Dolby True HD 5.1, image et son excellents).
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR 30ème anniversaire le 8 novembre 2010 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
Sorti en blu-ray américain simple BR 30ème anniversaire le 14 février 2011 - 3 montages (multi-régions, identique à l'édition précédente, sans le BR de bonus).
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR Ultimate Metal 30ème anniversaire le 24 février 2016 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
De Steven Spielberg (également scénariste) ; avec Richard Dreyfuss, François Truffaut, Teri Garr, Melinda Dillon, Bob Balaban, J. Patrick McNamara, Warren J. Kemmerling, Lance Henriksen, Justin Dreyfuss.
Pour adultes et adolescents.
Une tempête de sable dans le désert de la Sonora au Mexique, de nos jours. Des hommes descendus d’un 4x4 et se protégeant la bouche marchent le long d’une clôture rudimentaire. L’un d’eux, un français nommé Lacombe, demande en anglais à des policiers mexicains s’ils sont les premiers arrivés. Ils ne le comprennent pas. Lacombe tente alors de s’exprimer en espagnol et le policier (édenté) se met à parler très vite. Il finit par le suivre jusqu’à un portail.
Ils sont rejoints par d’autres hommes et Lacombe arrivé leur demande s’ils ont un interprète avec eux. Un barbu s’avance, mais explique qu’il est seulement cartographe. Lacombe lui demande s’il peut traduire du français à l’anglais, puis de l’anglais au français. Le barbu confirme : il vient d’ailleurs d’expliquer au chef d’équipe à la villa Hermosa qu’ils avaient été pris par surprise. Le premier homme demande cette fois en français s’il est monsieur Logli, et l’autre confirme : Laughlin. Lacombe demande ensuite depuis combien de temps Laughlin travaille sur le projet. Avec un fort accent canadien, Laughlin répond depuis le début – et qu’en fait il a vu Lacombe à la conférence Montsoreau qui se termina bien, surtout pour Lacombe. Puis li présente au français ses félicitations, si ce n’est pas trop tard.
Un militaire arrive pour les alerter qu’ « ils » sont tous là. Tous les hommes convergent vers le portail, qui donne sur une casse automobile. Ils accourent auprès d’un avion posé au milieu, à la cocarde états-unienne, à la recherche de traces d’atterrissage – puis inspectent deux autres avions identiques posés à côté, puis un quatrième et un cinquième. Lacombe crie alors qu’il veut que les numéros de moteurs soient relevés, et Laughlin traduit. Des militaires grimpent sur l’épaule d’autres pour regarder derrière l’hélice de chaque avion.
Finalement, Laughlin demande à Lacombe ce qui se passe. Lacombe répond que c’est le vol 19 – une mission d’entrainement aérien décollé de Fort Lauderdale – ils tiraient sur un vieux navire. Laughlin s’étonne : qui vole encore à bord de tels coucous ? Lacombe répond : personne – ces avions ont disparu en 1945. Laughlin objecte : mais tous les avions ont l’air flambant neuf ! Et comme Lacombe ouvre le cockpit et découvre des photos neuves d’une épouse et d’enfants des années 1940 glissés dans le tableau de bord, Laughlin demande où sont les pilotes. Lacombe fouille sous le tableau de bord et trouve un calendrier de 1945 d’une société de Pensacola en Floride, ouvert au mois de mai. Puis quelqu’un enclenche le contact : la batterie fonctionne, il y a du carburant – l’hélice se met à tourner.
Le policier mexicain vient alors chercher Lacombe pour le conduire auprès du vieux patron de la casse, qui semble en état de choc ; Lacombe proteste : il ne comprend pas l’espagnol. Mais un membre de son équipe traduit : le patron a vu ce qui s’est passé la nuit d’avant. Le petit vieux ne répond pas, mais Lacombe examine son visage : il est bronzé d’un côté et pas de l’autre. Lacombe s’interroge : un coup de soleil. Alors le vieux se met à répéter que le soleil s’est levé la nuit d’avant, et qu’il a chanté pour lui…
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