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- Écrit par David Sicé
Ici la page Amazon.fr du coffret DVD français de Smallville saison 1
Diffusé en France le 4 janvier 2003 sur M6 FR.
Sorti en coffret DVD français saison 1 le 5 avril 2006.
De Alfred Gough, Miles Millar ; d'après la bande dessinée de Joe Shuster et Jerry Siegel ; avec Tom Welling, Michael Rosenbaum, Allison Mack, Kristin Kreuk, John Glover.
Pour adultes et adolescents.
Octobre 1989. Un essaim d’astéroïdes fonce vers la Terre, et au milieu, une capsule extraterrestre : bienvenue à Smallville, dans l’État du Kansas, 25.001 habitants, la capitale mondiale du maïs crémeux. Un hélicoptère privé survole justement les immenses champs de maïs qui entourent la ville, et à bord de cet hélicoptère, Luthor père referme son journal – qui titrait en première page la disparition du PDG de Queen Industries, présumé mort. Luthor père s’indigne que son fils, Lex, un petit roux d’une dizaine d’années, n’ait pas encore rouvert les yeux depuis leur décollage. Et comme le petit Lex répète qu’il ne peut pas, Luthor père insiste : les Luthors n’ont peur de rien ; ils n’en n’ont pas le luxe, ils sont des meneurs d’hommes. Pour Luthor père, Lex a un destin, et il ne l’assumera pas les yeux fermés. L’enfant refuse d’ouvrir les yeux néanmoins.
Chez un fleuriste de la petite ville, Lana, une petite fille déguisée en fée tente une formule magique sur deux statuettes d’oursons posés sur une table. C’est alors que Jonathan Kent et son épouse Martha poussent la porte de la boutique. Jonathan salue la fleuriste, qui s’étonne de voir en ville ceux qu’elle surnomme « Les reclus ». Martha répond qu’elle veut des tulipes rouges. La fleuriste essaie de lui vendre des fleurs plus chères mais Jonathan lui rappelle que son épouse sait ce qu’elle veut, et la fleuriste de remarquer que les tulipes sont des fleurs pas compliquées. Pendant que la fleuriste va chercher les tulipes, Martha complimente Lana, la petite fille, au sujet de sa belle robe, et fièrement, Lana déclare qu’elle est une princesse-fée. Jonathan demande où sont les parents de la petite fille et Martha réplique qu’ils doivent être à la foire comme tout le monde. Lana demande alors à Martha si elle veut faire un vœu, et Martha répond qu’elle adorerait. Lana fait une passe avec sa baguette magique et prononce la formule « abracadabra », posant l’étoile de la baguette magique sur le front de Martha qui sourit.
Plus tard, Jonathan Kent dépose les deux sacs d’oignons de tulipe sur la plate-forme de leur pick-up, et prend le volant tandis que Martha, à la place du passager, semble rêveuse. Jonathan lui dit alors qu’il sait quel vœu Martha a fait. Martha soupire : voir le petit visage d’un enfant, c’est tout ce qu’elle a jamais voulu. Comme Jonathan l’embrasse, ils sont interrompus par le klaxon d’une jeep qui passe, pleine de majorettes qui saluent les gens dans la rue. Jonathan démarre et le pick-up s’en va dans la rue principale décorée de banderoles « Allez les Corbeaux ! »… tandis qu’à des kilomètres au-dessus d’eux, les astéroïdes et la capsule entrent dans l’atmosphère terrienne et s’embrasent.
L’hélicoptère des Luthors a atterrit près des champs, et le petit Lex s’amuse à lancer des cailloux sur un corbeau perché sur un piquet. Lex est immédiatement rappelé à l’ordre par son père, occupé à signer des papiers avec les propriétaires des silos voisins. Pendant ce temps, Lex s’enfonce dans le champ de maïs, en suivant un sentier tracé au milieu des plans serrés plus grands que lui. C’est alors que l’enfant entend la voix d’un jeune homme qui l’appelle au secours. Lex se retourne lentement, mais il n’y a personne. Pourtant, la voix l’appelle encore. Lex aperçoit alors un épouvantail de dos, attaché à un pieu – Lex prend peur et s’en va en courant. Comme il veut inspirer une bouffée de son inhalateur, il trébuche et se retrouve à plat-ventre. Il récupère son inhalateur et, va s’adosser, assis contre un poteau. Alors la voix l’appelle à nouveau : un jeune homme est crucifié en caleçon au poteau, avec un S peint en rouge sur sa poitrine. Le jeune homme supplie alors Lex de l’aider, tandis qu’au-dessus de lui, une première traînée de feu traverse le ciel.
Le météore s’écrase en plein champ un peu plus loin, couchant tous les plants de maïs dans une détonation fracassante. Lex prend à nouveau la fuite tandis qu’un vent furieux et un mur de poussière avance dans la direction de l’enfant et du jeune homme crucifié. Celui-ci est frappé de plein fouet, et Lex est projeté en l’air la seconde d’après. En ville, la joyeuse foule s’est immobilisée en entendant la première détonation et tout le monde suit des yeux la direction de la traînée de fumée noire laissé par le météore. La fleuriste sort de sa boutique, tenant dans ses bras la petite Lana. Les parents de Lana font alors signe à la petite fille depuis l’autre côté de la rue et la petite fille les appelle joyeusement. Puis une seconde détonation retentit, et cette fois la boule de feu descend droit sur la ville – droit sur les parents de Lana… Leur voiture explose dans une énorme gerbe de flammes, tandis que des débris sont projetés dans toute la rue.
Comme la carcasse retombe, la foule panique et s’enfuit dans tous les sens, tandis que trois autres traînées de feu passent au-dessus des toits : le château-d’eau explose, un grand bâtiment est traversé de part en part et d’autres voitures ou camionnettes sont projetées en l’air éjectant leur carburant enflammé dans toutes les directions. Sur la route, les Kent entendent et voient dans leur rétroviseur un météore s’écraser sur leur gauche. Puis c’est le panneau de bienvenue à Smallville qui est pulvérisé sur leur droite. Puis la route est emportée devant eux par un mur de fumées. Jonathan Kent freine, mais il est déjà trop tard et son pick-up se retourne. Du côté des silos, Luthor père s’est précipité vers le champ de maïs en appelant son fils : tous les plants de maïs sont couchés, à perte de vue. Alors Luthor père aperçoit une touffe de cheveux roux au milieu des bardes, puis la bosse du corps de l’enfant sous les plantes. Luthor court dégager Lex, mais se redresse, choqué : Lex est indemne, mais en état de choc et complètement chauve.
Sur la route, dans leur pick-up retourné, les Kent reviennent à eux, encore suspendus à leur siège, retenus par leurs ceintures de sécurité. C’est alors que Jonathan aperçoit les jambes d’un petit enfant nu qui marche jusqu’à eux.
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- Écrit par David Sicé
The others 2001
Sorti aux USA le 10 août 2001.
Sorti en Angleterre le 2 novembre 2001.
Sorti en France le 26 décembre 2001.
Sorti en coffret 2DVD français le 5 février 2007 (1DVD film 1DVD bonus ; image 1.75:1, non respecté ; anglais DD 5.1, français DD 5.1, français DTS 5.1)
Sorti en blu-ray américain le 2 décembre 2009 (image 1.78:1, non respecté, original 1.85:1, anglais DTS HD MA 5.1) chez PAN VISION.
Sorti en blu-ray français le 22 septembre 2009 (région B, &.78:1 non respecté, anglais et français DTS HD MA 5.1) chez STUDIO CANAL.
Sorti en blu-ray américain le 20 décembre 2011 (région A ; image 1.78:1, non respecté, original 1.85:1, anglais DTS HD MA 5.1) chez LYONSGATE.
De Alejandro Amenábar (également scénariste) ; avec Nicole Kidman, Christopher Eccleston, Fionnula Flanagan, Alakina Mann, James Bentley, Eric Sykes, Elaine Cassidy, Renée Asherson, Alexander Vince.
Pour adultes et adolescents.
(fantastique) Maintenant les enfants, êtes vous assis confortablement ? Alors je commence… Cette histoire a commencé il y a des milliers d’années — mais tout fut terminé en seulement sept jours. Pendant tout ce long, très long temps passé, aucune des choses que nous pouvons voir aujourd’hui — le soleil, la lune, les étoiles, la terre, les animaux et les plantes — pas un seul existait. Seul Dieu existait… et de ce fait, lui seul pouvait les avoir créé. Et il le fit.
Jersey, les îles de la Manche, en 1945. Un grand manoir nimbé de brouillard, entouré d’un grand parc, isolé dans une forêt. Une femme blonde s’éveille en hurlant, puis sanglote, plaquant ses mains sur sa bouche. Confuse, elle se redresse, regarde autour d’elle, consulte sa montre et s’assied au bord de son lit.
Pendant ce temps ou plus tard, trois personnages marchent en direction de l’entrée principale du manoir. La dame âgée marche en tête se rappelle : « Monsieur Simpson, ça c’était un personnage ! Je me demande ce qu’il est devenu…
Elle suivi d’un grand homme âgé aux cheveux blancs et d’une jeune fille aux cheveux bruns longs et noués. Tous sont vêtus de noir ou de couleur sombre. Le vieil homme répond jovialement : « J’imagine qu’il est mort, comme tous les autres. » La dame âgé soupire : « Ah, c’était le bon temps… » Elle gravit les marches du perron et sans hésiter tire sur la chaîne de la cloche, tandis que le vieil homme et la jeune fille restent un peu en retrait sur la première marche. Puis la dame se retourne, semblant inspecter visuellement la mise des deux autres. La jeune fille baisse les yeux, le vieil homme se redresse.
Puis voilà la dame qui s’indigne, avec un geste agacé : « Monsieur Tuttle, vos cheveux ! » Le vieil homme se passe alors deux fois la main dans ses cheveux pour les recoiffer, regarde la dame, qui semble approuver du menton, avec une grimace. Alors, la lourde porte d’entrée s’ouvre.à demi, et la maîtresse des lieux — la dame blonde qui hurlait ce matin-là en se réveillant — passe la tête par l’entrebâillement, l’air incrédule. « Oui ? »
La dame âgé explique : « Bonjour Madame, nous sommes venus à propos de… » La femme blonde lui coupe la parole, l’air ravie : « Oh oui, bien sûr… » La dame âgé a l’air très étonné et regarde les deux autres. La maîtresse de maison ouvre davantage la porte et les invite à entrer. Elle explique à son tour : « Je ne vous attendais pas si tôt… »
La dame âgée entre en s’inclinant pour saluer la maîtresse de maison, suivie de près par la jeune fille et le vieil homme moustachu. La maîtresse de maison referme derrière eux la lourde porte, sur le parc noyé de brouillard.
« Vous êtes ? » elle interroge. « Je suis Bertha Mills, Madame, » répond la dame âgée. Les deux autres se sont immédiatement ranger en ligne après elle, qui présente le vieil homme moustachu : « Et voici Edmund Tuttle. » Tuttle hoche plusieurs fois la tête en baissant les yeux : « Heureux de vous rencontrer, Madame. »
La maîtresse de maison lui tend la main que le vieil homme sert en s’inclinant : « Vous devez être le jardinier… » suppose la maîtresse de maison. « Oui, c’est exact, le jardinier… » confirme Tuttle en se redressant.
Bertha Mills ajoute en montrant la jeune fille : « Et cette jeune dame s’appelle Lydia. » La maîtresse de maison prend un air condescendant, s’adressant à Lydia : « Avez-vous une grande expérience du service ? » Mais c’est Madame Mills qui répond : « Oh ne laissez pas ce visage d’ange vous tromper : elle est plus âgée qu’elle en a l’air… » La maîtresse de maison demande encore, toujours à Lydia : « Savez-vous repasser ? » La jeune fille hoche la tête, le regard fixe, comme hypnotisée, et Madame Mills semble approuver. Alors la maîtresse de maison se penche sur Lydia et chuchote : « Qu’est-ce qu’il y a ? Le chat a mangé votre langue ? »
Lydia se tourne vers Madame Mills, qui hésite et se retourne vers la maîtresse de maison pour explique : « Elle ne peut pas parler, Madame, la pauvre petite est muette… » La maîtresse de maison se redresse, choquée. Madame Mills ajoute précipitamment : « Mais c’est une bonne petite travailleuse, je peux vous le promettre… » La maîtresse de maison semble convaincue et se détourne : « Très bien, très bien. L’autre bonne que j’avais parlait trop de toute manière. Suivez-moi… »
La maîtresse de maison passe dans le hall, et va pour prendre le grand escalier de bois massif dont les paliers supérieurs sont plongés dans l’obscurité, alors que les fenêtres dispensent la pâle lueur du jour embrumé. « Madame Mills, vous et la fille dormiront dans la chambre du grenier en haut des escaliers ; et vous, Monsieur… — Tuttle, Madame — Tuttle. Vous pouvez dormir dans la cabane derrière la maison. »
Madame Mills l’air de rien passait son doigt sur le bord d’une des tablette contre un mur, portant un buste de bronze encadré de deux chandeliers. La maîtresse de maison ajoute immédiatement : « Comme vous pouvez le constater, le ménage a été plutôt négligé, depuis que les domestiques ont disparu, il y a presque une semaine de cela. » Madame Mills semble surprise : « Vous voulez dire qu’ils ont, disparus, comme ça ? » La maîtresse de maison confirme : « Évaporés. Sans donner leur congé, rien ; ils n’ont même pas réclamé leurs gages. »
La maîtresse de maison a déjà pris en couloir et les trois autres s’empresse de la suivre comme elle achève : « Ils nous ont… simplement abandonnés. » Madame Mills s’étonne : « Quelle étrange manière de faire ! » La maîtresse de maison ouvre une porte verrouillée : « Vous découvrirez bien assez vite que cette maison n’est pas exactement un foyer idéal. D’où mon annonce dans le journal, demandant des gens honnêtes et travailleurs. » La maîtresse de maison fait signe de passer la porte qu’elle vient d’ouvrir et Madame Mills fait passer Lydia devant elle, assurant « Personne n’est plus honnête ni plus travailleur que nous. »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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- Écrit par Greenheart
Titre original : Sen to Chihiro no Kamikakushi
Autre titre : Spirited Away.
Sorti au Japon le 20 juillet 2001.
Sorti en France le 10 avril 2002.
Sorti en DVD français trilingue (japonais, français, anglais) le 26 novembre 2002 (avec deux pistes françaises, dont une DTS 5.1).
Sorti en blu-ray français le 7 janvier 2015.
De Hayao Miyazaki. Avec Rumi Hiiragi, Miyu Irino, Mari Natsuki.
Alors qu'ils sont en route pour leur nouvelle maison, les parents de la petite Chihiro s'arrête inopinément à l'entrée d'un tunnel menant, selon eux, à un parc d'attraction abandonné - le lieu idéal pour pique-niquer. Mais en explorant les lieux, ils découvrent un stand rempli de nourriture succulente - mais personne pour les servir. Prétendant payer après, les parents de Chihiro se gavent littéralement, tandis que Chihiro se refuse à manger quoi que ce soit, craignant la colère des gens du parc.
Ses parents ne lui prêtant plus aucune attention, Chihiro va plus loin et découvre un gigantesque palais au sommet d'une colline, et en contrebas de la passerelle qui y mène, un train qui sort d'un tunnel. C'est alors qu'un jeune homme surgi de nulle part lui ordonne de fuir et traverser la rivière avant que la nuit ne tombe. Or les lanternes sont déjà en train de s'allumer. Mais quand Chihiro retrouve ses parents, une horrible surprise l'attend...
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- Écrit par David Sicé
Final Fantasy: The Spirits Within (2001)
Traduction du titre original : Fantaisie Finale, les fantômes intérieurs.
Sorti aux USA le 11 juillet 2001.
Sorti en Angleterre le 24 juillet 2001.
Sorti en France le 15 août 2001.
Sorti en DVD français édition collector 2 DVD (anglais et français DD 5.1 immersif, image très belle 16:9ème, 1DVD film, 1DVD nombreux bonus).
Sorti en blu-ray américain le 7 août 2007 (multi-régions, anglais LPCM 5.1, anglais et français DD 5.1)
Sorti en blu-ray français le 22 août 2007 (anglais LPCM 5.1, anglais et français DD 5.1, probablement identique à l'édition américaine multi-régions).
De Hironobu Sakaguchi (également scénariste) et Motonori Sakakibara ; sur un scénario de Al Reinert, Jeff Vintar, Jack Fletcher, B.L. Jurgens, d'après la série de jeux vidéos ; avec Alec Baldwin, Steve Buscemi, Ming-Na Wen, Peri Gilpin, Donald Sutherland, James Woods, Keith David, Jean Simmons, Matt McKenzie.
Pour adultes et adolescents.
Sous un ciel embrasé, tandis que l’orage gronde, un monde de roches déchiquetés. La professeure Aki Ross se tient debout au bord d’une gorge quand un soleil éblouissant émerge de derrière une planète gigantesque qui occupe une partie de l’horizon. Aki protège ses yeux, mais la terre se met à trembler… Aki se réveille, renversée sur le fauteuil de la cabine de pilotage d’un vaisseau spatial en apesanteur, entourée de pupitres illuminés. Chaque nuit, le même rêve, la même monde planète étrange, mais pourquoi ? qu’est-ce que ces rêves essaient de lui dire ?
Aki sauvegarde l’enregistrement de son rêve, puis quitte son fauteuil pour s’envoler à travers la cabine. Cela fait 34 ans qu’ils sont arrivés sur cette planète, et il ne se passe pas un jour sans que les survivants, forcés de vivre dans des cités fortifiées, ne redoutent leur anéantissement. Elle a fait le vœu de mettre fin à cette peur. Elle a la conviction que ses rêves contiennent la solution. La question est : arrivera-t-elle à temps pour sauver la Terre ?
L’ancienne New-York City et ses gorges de pierres jonchées de voitures rouillés et de débris en tas. Deux pinceaux de lumière percent l’air chargé de poussières, illuminant par les fenêtres crevées les bureaux ravagés dans les fauteuils desquels gisent encore des momies. Le vaisseau aérien finit par atterrir au milieu de Time Square. Aki Ross en descend, et à l’aide du viseur qui équipe son œil gauche, elle scrute les alentours, se demandant où ils sont…
La jeune femme fait quelque pas, puis lance une fusée éclairante, et une myriade de braises orangées retombent tout autour d’elle. Son bracelet holographique se met alors à biper et localise un premier écho. Aki avance dans la direction indiquée, lance une seconde fusée tandis que des choses se mettent à gémir, grogner et crier. Elle se met à courir tandis que des choses lumineuses translucides sortent de la terre – et se réfugie dans une ruelle... Alors un second vaisseau aérien apparait au-dessus de Time Square, larguant un commando lourdement armé, qui commence à mitrailler les créatures, qui hurlent de douleur. Pendant ce temps, un des commandos braque son projecteur sur Aki et lui lance qu’elle se trouve dans une zone d’accès interdit et qu’elle ne doit plus bouger. Puis, s’interrogeant sur sa présence, le capitaine des commandos lui ordonne de les suivre. Mais Aki signale qu’un monstre arrive derrière les commandos, et comme ils se retournent pour l’abattre, elle en profite pour s’enfuir. Ils se mettent alors à la poursuivre…
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