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- Écrit par David Sicé
Ici la page Amazon.fr du DVD anglais du 23 avril 2007 (pas de version française, pas de sous-titres français)
Neverwhere (1996)
Traduction du titre original : Nulle part à jamais.
Diffusé en Angleterre à partir du 12 décembre 1996 sur BBC 2 UK.
Sorti de la VHS anglaise le 1er octobre 1999 (pas de version française).
Sorti du DVD US le 9 septembre 2003 (zone 1, pas de version française).
Sorti du DVD anglais le 23 avril 2007 (pas de version française).
Sorti en DVD US le 15 novembre 2011, coffret du 15ème anniversaire (zone 1).
De Neil Gaiman et Lenny Henry (également scénaristes), réalisé par Dewi Humphreys. Avec Gary Bakewell, Laura Fraser, Hywel Bennett, Clive Russell, Paterson Joseph, Peter Capaldi, Tanya Moodie, Trevor Peacock, Elizabeth Marmur, Tamsin Greig, Damien Lyne, Freddie Jones, Earl Cameron, Richard Leaf.
Pour adultes et adolescents.
Parce qu'il a refusé d'abandonner une jeune fille blessée, Door (Porte) qui s'était écroulée devant lui sur le trottoir, la vie tout à fait normale voire ennuyeuse de Richard Mayhew bascule dans un univers bizarre caché à l'envers de Londres, et plus personne ne semble le reconnaître dans le monde réel et sa carte de crédit ne fonctionne plus. Avec deux tueurs à ses trousses, Richard est déterminé à retrouver Door croyant qu'elle pourra l'aider à retrouver sa vie ordinaire.
Notez que Neverwhere a été adapté en roman en 1996, en bande dessinée en 2005, puis en comédie radiophonique en 2013 par Neil Gaiman. Neverwhere a également été de nombreuses fois adapté en pièce de théâtre. Neil Gaiman a annoncé une suite, The Seven Sisters (les sept sœurs).
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Saison 1 (1996)
Neverwhere S01E01: Porte (Door)
Neverwhere S01E02: Le pont des chevaliers (Knightsbridge)
Neverwhere S01E03: La cour du Comte pour Islington (Earl's Court to Islington)
Neverwhere S01E04: Les frères noirs (Blackfriars)
Neverwhere S01E05: La rue du bas (Down Street)
Neverwhere S01E06: En bas comme en haut (As Above, So Below).
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.
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- Écrit par David Sicé
Star Trek: First Contact (1996)
Autre titre : Star Trek 8, Star Trek VIII.
Sorti aux USA le 22 novembre 1996.
Sorti en Angleterre le 13 décembre 1996.
Sorti en France le 5 mars 1997.
Sorti en blu-ray américain le 22 septembre 2009 (Multi-régions ; anglais Dolby True HD 5.1, français inclus).
Sorti en blu-ray américain le 27 octobre 2009 (identique à l'édition américaine).
De Jonathan Frakes, sur un scénario de Rick Berman (producteur), Brannon Braga, Ronald D. Moore, d'après les séries télévisées créées par Gene Roddenberry, avec Patrick Stewart, Alfre Woodard, James Cromwell, Alice Krige, Jonathan Frakes, Brent Spiner, LeVar Burton, Michael Dorn, Gates McFadden, Marina Sirtis, Robert Picardo, Dwight Schultz, Patti Yasutake.
A bord de l'USS Enterprise E, le capitaine Jean-Luc Picard fait des cauchemars à répétition à propos du temps où il avait été assimilé par les Borgs et convertit en leur porte-parole Locutus. A peine se réveille-t-il qu'il reçoit une communication de l'amiral Hayes lui annonçant qu'une colonie proche de la station Deep Space 5 vient d'être anéantie selon le mode opératoire des Borgs. Picard lui répond alors qu'il le sait déjà, et annonce à son équipage que l'Enterprise ira inspecter la zone neutre, c'est à dire la frontière avec les Romuliens, pour le cas où ces derniers saisirait l'occasion de l'invasion Borg pour attaquer la Fédération à leur tour. Cependant il ne se passe rien dans la Zone neutre et Picard doit avouer à Riker, son officier en second, que l'Enterprise est écarté du front car l'Etat Major estime qu'il serait dangereux d'envoyer contre les Borgs un vaisseau doté d'un capitaine déjà assimilé une fois par les Borgs.
Les bonnes résolutions et le devoir d'obéissance font long feu lorsqu'ils apprennent que les Borgs ont fait une percée et foncent vers la Terre, et porté par l'enthousiasme de ses officiers à l'idée de commettre une haute trahison, Picard donne l'ordre de rejoindre la bataille pour sauver la Terre. Arrivé sur place, l'Enterprise E sauve l'équipage du Défiant, le vaisseau de la station DS9, et récupère Worf comme officier de la Sécurité - pas le vaisseau amiral de la flotte Terrienne - et alors que le vaisseau d'invasion Borg cubique est sur le point d'être détruit, l'Enterprise prend en chasse une sphère Borg que l'envahisseur a lancé sur la Terre.
La sphère Borg créé un vortex temporel, et l'Enterprise E pris dans son sillage parvient à détecter que la Terre a été instantanément assimilée, ce qui voudrait dire que les Borgs ont réussi leur invasion dans le passé, sans pour autant avoir anéanti l'Enterprise E dans le présent car ce dernier aurait été protégé par le sillage temporel de la sphère Borg. Picard décide donc de suivre la sphère Borg dans le passé - dix ans après la troisième guerre mondiale, le 4 avril 2063 - pour empêcher l'invasion borg, et découvre que l'envahisseur cible un ancien silo de missiles dans le Montana (Amérique du Nord) où un certain Zephram Cochran, alcoolique fini (!) mettait au point le premier vaisseau capable de voyager d'étoiles en étoiles - le vol expérimental enclenchant alors la procédure de premier contact avec les Vulcains, et dans la foulée la fondation de la Fédération et la reconstruction de la Terre, détruite par les guerres civiles, ouvrant une période de paix et de prospérité durable.
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- Écrit par David Sicé
L'Opéra de l'Espace E1: La compagnie des fous (1996)
Sorti en France en octobre 1996 chez FLEUVE NOIR.
De Laurent Genefort.
Pour adultes et adolescents.
Axelkahn est l'un des chanteurs lyriques les plus renommés, mais un jour, sa voix se flétrit. En effet, les implants Yuweh situés le long de ses cordes vocales ne fonctionnent plus. Il faudrait les réparer, mais voilà: personne ne sait où se trouvent les Yuweh, ces architectes planétaires, ni comment les contacter.
Commence alors pour lui une quête, qui débutera par un voyage vers les bulbes Griffith, agrégat humains où l'on dit avoir rencontré les Yuweh. Là, pour parvenir à ses fins, Axelkahn réunit une troupe de théâtre, la Compagnie des Fous. Elle mérite bien son nom, avec des membres comme Tick, qui ne sait présenter qu'une syllabe ; Enzyme, qui prend la douleur d'autrui comme sienne ; ou Aiguille, dont le phrasé a été distordu par un coup de poignard...
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- Écrit par David Sicé
Neverwhere (1996)
Traduction du titre anglais : Jamaisnullepart.
Noter qu’il s’agit de la novélisation de la mini-série de 1996 de Neil Gaiman par lui-même.
Attention : il en existe trois versions de ce roman en plus de l’adaptation théâtrale et de la bande-dessinée :
* originale d’octobre 1996 chez BBC BOOKS,
* explicitée pour l’édition américaine de 1997 chez PENGUIN BOOKS,
* révisée en mélangeant les deux versions précédentes— possiblement la « version longue inédite en France » de 2010 parue AU DIABLE VAUVERT sous deux couvertures différentes (collection jeunesse / collection adulte).
Ce roman appartient à la série London Below et est suivi par How the Marquis Got His Coat Back (2014).
Sorti en Angleterre en septembre 1996 chez BBC BOOKS UK.
Sorti aux USA dans sa version explicité en 1997 chez PENGUIN BOOKS.
Traduction de la version explicitée américaine de 1997 en grand format français par Patrick Marcel en octobre 1998 pour J’AI LU MILLENAIRE,
Réédité en poche le 13 avril 2001 chez J’AI LU, en décembre 2001, en janvier 2003, en octobre 2004.
Réédité AU DIABLE VAUVERT en mai 2010.
Réédité chez J’AI LU FANTASTIQUE en janvier 2011, en février 2013 et en mars 2020.
De Neil Gaiman.
Pour adultes et adolescents.
Parce qu'il veut bien faire, le jeune Richard Mayhew vole au secours d'une jeune fille apparemment sans abri, se prénommant "Porte". Sa vie toute tracée et très ordinaire bascule entièrement dans l'envers du décor, Porte étant poursuivie par des assassins des royaumes surnaturels que cachent le métro londonien. Or il n'y a que le premier pas qui compte et il va se retrouver très vite coupé de son monde tandis que le monde de la jeune fugitive n'est que morts violentes et folie pas toujours douce.
*
Le texte original anglais de Neil Gaiman publié en septembre 1996 chez BBC BOOKS.
Prologue
The night before he went to London, Richard Mayhew was not enjoying himself.
He had begun the evening by enjoying himself: he had enjoyed reading the goodbye cards, and receiving the hugs from several not entirely unattractive young ladies of his acquaintance; he had enjoyed the warnings about the evils and dangers of London, and the gift of the white umbrella with the map of London Underground on it that the lads had clubbed together to get him; he had enjoyed the first few pints of ale; but then, with each successive pint of ale, he found he was enjoying himself significantly less; until now he was sitting and shivering on the pavement outside the pub, weighing the conflicting merits of being sick and not being sick, and not enjoying himself at all.
Inside the pub, Richard’s friends continued to celebrate his forthcoming departure, with an enthusiasm that, to Richard’s way of thinking, wad beginning to border on the sinister.
He held on tightly to the rolled-up umbrella, and wondered wether going to London was really a good idea.
‘You wonter keep a eye out,’ said a cracked old voice. ‘They’ll be moving you before you can say Jack Robinson. Or runnin’ you in, I wouldn’t be surprised.’ Two sharp eyes stared out from a beaky, grimy face. ‘You orl right?’
‘Yes, thank you,’ said Richard.
The grimy face softened.
‘Here, poor thing,’ she said, and pushed a fifty-pence piece into Richard’s hand.’Ow long you bin on ther streets, then?’
*
La traduction au plus proche.
Prologue
La nuit d’avant qu’il s’en aille à Londres, Richard Mayhew ne s'amusait pas.
Il avait commencé la soirée en s'amusant : il avait apprécié de lire les cartes de départ et de recevoir les embrassades de plusieurs jeunes femmes de sa connaissance, pas complètement dépourvues d’attraits ; il avait apprécié les mises en garde contre les pièges et les dangers de Londres, et le cadeau du parapluie blanc avec le plan du métro de Londres que les garçons s'étaient cotisés pour lui offrir ; il avait apprécié les premières pintes de bière, mais ensuite, après chaque pinte de bière supplémentaire, il avait réalisé qu'il s'amusait significativement moins, jusqu’à ce qu’il se retrouve à présent assis et frissonnant sur le trottoir à l'extérieur du pub, à peser les mérites conflictuels d'être malade et de ne pas être malade, et de ne pas s'amuser du tout.
À l'intérieur du pub, les amis de Richard continuaient à fêter son prochain départ, avec un enthousiasme qui, vu la façon dont Richard pensait alors, commençait à devenir sinistre.
Il s'accrochait fermement au parapluie plié, et se demandait si partir pour Londres était vraiment une bonne idée.
"Vous f’riez ben d’pas trop fermer l’œil," dit une vieille voix cassée. Ils vous déménageront avant d’avoir pu dire ouf. Ou ça ne m’étonnerait pas qu’ils vous écrasent. » Deux yeux perçants d’un visage crochu grincheux le fixait. "Vous z’allez bien ?
"Oui, merci", répondit Richard.
Le visage lugubre s’était adouci.
« Là, mon pauvre, dit-elle, en glissant une pièce de cinquante pence dans la main de Richard. Combien de temps ça fait qu’vous z’êtes à la rue maint’nant ? »
*
La traduction de Patrick Marcel de 1998 pour J’AI LU MILLENAIRE.
PROLOGUE
Pendant la soirée qui précéda son départ pour Londres, Richard Mayhew ne s’amusa guère.
Il avait débuté la soirée en s’amusant : il s’était musé à lire les cartes d’adieu, à accepter les embrassades de plusieurs jeunes personnes de sa connaissance, pas franchement déplaisantes ; il s’était amusé de toutes les mises en gardes contre les périls et les dangers de Londres, et du grand parapluie blanc imprimé d’une carte du métro londonien que ses amis lui avaient offert en se cotisant. Il s’amusait encore quand vint l’heure des premières pintes de bières. Et puis, à chaque nouvelle pinte, il constata qu’il s’amusait de moins en moins. Jusqu’à cet instant où, assis sur le trottoir, il grelottait devant le pub d’une petite bourgade d’Ecosse, en se demandant s’il valait mieux être malade ou pas. Et il ne s’amusait plus du tout.
A l’intérieur du pub, les amis de Richard continuaient de célébrer son départ imminent avec un enthousiasme que Richard commençait à trouver inquiétant. Assis au bord du trottoir, serrant le poing sur son parapluie roulé, il se demanda si partir au sud pour Londres était vraiment une bonne idée.
— Faites gaffe, annonça une vieille voix cassée. Y vont vous faire circuler avant que z’ayez eu le temps de dire ouf. Ou vous fourre au bloc, ça m’étonnerait pas non plus. (Deux yeux perçants le fixaient au milieu d’un visage crasseux en forme de bec.) Ça va bien ?
— Oui, merci.
Richard était un jeune homme au visage ouvert, aux cheveux légèrement bouclés et aux grands yeux noisette ; il avait l’air fripé de quelqu’un qui se lève tout juste, ce qui lui conférait auprès du sexe opposé plus d’attrait qu’il ne le comprendrait ni le croirait jamais.
Le visage crasseux s’adoucit.
— Tiens, mon pauvret, dit-elle en fourrant une pièce de cinquante pence au creux de la main de Richard. Alors, ça fait combien de temps que t’es à la rue ?
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.
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