Chapeau Melon et Bottes de Cuir, la saison 4 de la série télévisée de 1961Feu orange télévision

The Avengers S04E13: Silent Dust (1966)

Noter que cet épisode est aussi numéroté S04E12

Épisode précédent <> Épisode suivant

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1961)

Quatrième saison noir et blanc.
Diffusée en Angleterre le 1er janvier 1966 sur ITV1.
Diffusée en France le 9 mai 1967 (sur ORTF FR)
Sorti en blu-ray anglais région B coffret 7 BR (image excellente 1080p format original 1:33; anglais et allemand sous-titré anglais, LPCM 2.0 correct, nombreux bonus)
Sorti en coffret blu-ray français le 20 octobre 2015 (commentaires des épisodes manquants, petits problèmes de vitesse et de portions manquantes dans les versions françaises).

De Brian Clemens ; avec Patrick Macnee, Diana Rigg.

Pour adultes et adolescents.

Steed perd son temps. Steed répond, pas tant que cela, et il lui dit qu’il y a quelque chose dans son dos. Comme elle le fait, Steed s’indigne : il ne faut pas regarder. Mme Peel se ravise et demande en se cachant derrière son canotier, s’il s’agit d’une merlette. Steed répond qu’il s’agit d’un homme – dans un arbre, avec des jumelles, en train de les observer.

Puis Steed donne la bouteille de rosée à Mme Peel : il doit rentrer à Londres – à elle de découvrir ce que l’homme leur voulait. Pendant ce temps, l’espion est précipitamment descendu de son arbre, et chargeant son gros sac à dos, se hâte de traverser un champ – pour se retrouver nez à nez avec Mme Peel, qui lui demande immédiatement pourquoi il l’observait. Avec un sourire forcé, l’homme prétend qu’il observait seulement les oiseaux. Mme Peel lui demande s’il en observait un en particulier. L’homme confirme : l’albatros à tête noire. Mme Peel n’est pas convaincue, et lui demande son nom.

L’homme se présente comme un certain Quince. Puis Mme Peel répond que personne n’a plus vu d’albatros à tête noir en Angleterre depuis cent ans : il le sait et elle le sait, alors autant ne pas jouer à ce jeu-là. Quince répond en souriant que c’était à Norfolk en 1850. Comme Mme Peel remarque qu’elle peut supposer qu’ils sont deux à s’y connaître en oiseaux, Quince répond qu’il peut cependant lui poser une question dont elle ignore la réponse : où sont passées les merlettes. Et de ricaner.

De fait, et tandis qu’ils descendent un petit talus, Quince explique à Mme Peel que presque toutes les espèces sont touchées et même les papillons commencent à disparaître. Au bas du talus, Quince tombe face à un chien, puis un chasseur en colère : il avait déjà averti Quince – le terrain est privé, qu’il dégage. Mme Peel s’avance et répond que c’est de sa faute, elle ignorait ce détail. Le chasseur, ou plus exactement garde-chasse, Mellors, répond que le maître des lieux tire à la perdrix et ne veut pas que les intrus les fassent fuir. Mme Peel répond qu’ils n’ont causé aucun tort – et Quince remarque qu’ils n’ont pas vu non plus de perdrix. Arrive un second homme à cheval, Peter Omrod. Mellors devient menaçant et demande si Quince le traite de menteur. Le second homme demande alors ce qui se passe. Comme Mellors commence à dire qu’il s’agit d’intrus, Omrod l’interrompt et l’envoie s’occuper d’un trou dans la clôture : il s’occupera lui-même des intrus.

Omrod, distingué et moustachu descend de cheval et sourit : il doit excuser Mellors – lequel ne voulait que bien faire, mais manque de charme voilà tout. Puis Omrod remarque qu’il a déjà vu Mme Peel et lui demande de s’excuser, il manque de mémoire concernant les intrus. Mme Peel se présente immédiatement comme faisant partie de la fondation britannique pour l’Ornithologie – et présente Quince. Omrod lui demande alors si elle est à la recherche de quelque chose en particulier et Quince répond : les merlettes.

Omrod s’étonne : qu’ont les merlettes de spécial. Mme Peel répond qu’il n’y en pas. Omrod répond que si on ne peut pas les chasser ou les abattre, cela ne l’intéresse pas. Puis après avoir proposé d’en débattre une autre fois, et avoir fait remarquer qu’il a une tenue de chasseresse qui irait comme un gant à Mme Peel, Omrod remonte à cheval et prend congé, et va retrouver dans l’étable une brute nommée Juggings, occupé à boire de l’alcool et couper du bois à la hache. Omrod demande ensuite à Juggings s’il sera disponible le lendemain soir, pour deux sessions. Juggings est partant et remarque qu’il a abattu un bœuf la veille et ramènera les côtelettes. Et comme Omrod le traite de vilain assoiffé de sang, Juggings rit et répond que le cavalier a de la chance qu’il en soit un.

Pendant ce temps, Steed est amené par le ministre jusqu’à Manderley. Steed découvre alors une zone d’expérimentation d’un fertilisant, la Poussière Silencieuse, qui a détruit toute vie dix ans auparavant.

***

Ici la page de l'épisode du site dissolute.com avec tous les détails de production.


***

Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr

***

Mary Poppins, le film de 1964

Voici la liste des articles de ce blog consacrés aux films de Science-fiction, Fantasy, Fantastique et Aventure annoncé pour l'année 1965. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure de la rédaction des articles.

Ici le calendrier cinéma pour 1966.

Ici le calendrier cinéma pour 1964.

***

Annoncés en octobre 1965

Aux USA

La planète des vampires (25 octobre 1965)

Mary Poppins, le film de 1964 La planète des vampires, le film de 1965

Annoncés en septembre 1965

En France

Mary Poppins (musical, 15 septembre)

En Italie

La planète des vampires (15 septembre 1965)

***

Annoncés en juin 1965

Aux USA

 

The City Under The Sea (juin, War-Gods Of The Deep)

***

Station 3: Ultra Secret, le film de 1965 Quand la Terre s'entrouvrira, le film de 1965

Annoncés en avril 1965

Aux USA

Station 3: Ultra secret (1965, The Satan's Bug)

Quand la Terre s'entrouvrira (15 avril, Crack In The World)

***

Chapeau Melon et Bottes de Cuir, la saison 4 de la série télévisée de 1961 Feu vert télévision

The Avengers S04E06: Too Many Christmas Trees (1965)
Traduction du titre original : Trop d'arbres de Noël.

Épisode précédent <> Épisode suivant

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1961)

Noter que cet épisode est aussi numéroté S04E13 et S04E04

Quatrième saison noir et blanc.
Diffusée en Angleterre le 25 décembre 1965 sur ITV1.
Diffusée en France le 21 septembre 1973 ORTF 2 FR.
Sorti en blu-ray anglais région B coffret 7 BR (image excellente 1080p format original 1:33; anglais et allemand sous-titré anglais, LPCM 2.0 correct, nombreux bonus)
Sorti en coffret blu-ray français le 20 octobre 2015 (commentaires des épisodes manquants, petits problèmes de vitesse et de portions manquantes dans les versions françaises).

De Brian Clemens. Avec Patrick Macnee, Diana Rigg,

Pour adultes et adolescents.

Steed endormi rêve de clochettes de Noël. En pyjama, il marche pieds nus dans la neige, un parapluie blanc à la main et un chapeau melon blanc sur la tête. Il arrive à un champ de sapins de Noël en balsa peint, décoré avec des étoiles géométriques pailletées et de boules de Noël. Circonspect, il avance parmi les faux arbres et arrive face à un grand panier remplis de paquets enrubannés, ce qui le fait sourire.

Sur l’un des paquets, il y a une carte « Joyeux Noël, John Steed », alors Steed défait le ruban, ouvre le paquet et découvre une photo de lui grand format avec un cadre ornementé. Le cadre ornementé devient celui d’un miroir dans lequel Steed se reflète, et un Père Noël au masque hideux apparait derrière lui et lui fait signe de le suivre. Le père Noël hideux l’emmène jusqu’à un lit à baldaquins d’où pendent deux longues chaussettes remplies de friandises et pétards. Les deux chaussettes deviennent celles d’un homme en pyjama, qui gît sur son lit, les yeux exorbités. Le Père Noël hideux éclate alors d’un rire sinistre, qui n’en finit plus.

On sonne à la porte de Steed, qui sort de sa chambre en robe de chambre, presque hagard. Dans son salon se dresse un arbre de Noël entièrement décoré. On sonne encore à sa porte. Steed remarque alors les vêtements épars dans la pièce. On sonne encore ; il va enfin ouvrir : c’est Madame Peel, une bouteille de lait à la main.

Comme il la fait entrer, Emma Peel l’avertit : elle est là pour faire une collecte pour les bonnes œuvres et a l’intention de le délester d’au moins cinquante Guinées. Steed lui répond qu’il doublera le don si Emma parle un tout petit peu plus bas. Emma remarque le désordre du salon et remarque que quelqu’un a commencé à fêter Noël tôt. Elle propose donc du café noir, et Steed la remercie. Pendant qu’Emma prépare le café dans la cuisine, Steed sort un coupe-chou d’un tiroir – renonce pour lui préférer un rasoir électrique. Haussant le ton pour se faire entendre, Emma demande depuis la cuisine : c’était la fête de qui ? Quelqu’un qu’elle connait ? Steed lui répond que ce n’était pas une fête, juste un dîner tranquille avec un vieil ami. Emma demande alors si le vieil ami était une blonde, une brune ou une rouquine.

Steed entre dans la cuisine et répond : rose brillant – le Vice Admiral Keevers, aussi chauve que le coude d’un petit bébé. Emma constate alors que cela devait être un dîner vraiment tranquille alors, et Steed répond « sauvage ». Emma s’étonne, mais Steed précise qu’il parle de l’infusion qu’il souhaiterait, au thym sauvage, avec du sucre. Comme Emma prépare l’infusion, elle réplique que vice-amiral ou pas, Keevers a entraîné Steed dans une orgie d’excès. Steed répond qu’il n’a pas eu cette chance : le vieux garçon a 73 ans – ils ont seulement bu la moitié d’un Claret, un verre de porto et ce fut tout. Emma tend à Steed sa tasse et répond qu’il ne peut blâmer les heures supplémentaires. Puis Steed manque de faire tomber sa tasse et cette fois Emma s’inquiète pour de vrai et lui demande ce qui ne va pas.

Steed répond que tout va bien, que ce n’est rien du tout. Emma insiste : Steed ne doit pas souffrir en silence ; il doit lui dire ce qui ne va pas. Steed répond que ce n’est rien : c’est seulement qu’il n’a pas très bien dormi depuis plus ou moins une semaine ; il fait des cauchemars. Emma pose sa main sur le front de Steed et constate qu’il n’a pas de fièvre – elle en déduit ironiquement que ce doit être son passé qui le rattrape. Steed réplique que si c’était le cas, ce serait du plaisir ; alors que c’est terrifiant – toujours le même cauchemar, avec des variations. Emma demande alors quel genre de cauchemar. Steed répond : un cauchemar de Noël…

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

Chapeau Melon... S04E06: Faites de beaux rêves (1965)

***

Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr

***

Chapeau Melon et Bottes de Cuir, la saison 4 de la série télévisée de 1961 Feu vert télévision

The Avengers S04E11: Two's A Crowd (1965)
Traduction du titre original : Deux, c'est trop (jeu de mots sur l'expression "à deux c'est bien, à trois c'est trop".

Noter que cet épisode est aussi numéroté S04E12.

Épisode précédent <> Épisode suivant

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1961)

Quatrième saison noir et blanc.
Diffusée en Angleterre le 18 décembre 1965 sur ITV1.
Diffusée en France le 9 juillet 1991 sur TF1 FR.
Sorti en blu-ray anglais région B coffret 7 BR (image excellente 1080p format original 1:33; anglais et allemand sous-titré anglais, LPCM 2.0 correct, nombreux bonus)
Sorti en coffret blu-ray français le 20 octobre 2015 (commentaires des épisodes manquants, petits problèmes de vitesse et de portions manquantes dans les versions françaises).

De Brian Clemens. Avec Patrick Macnee, Diana Rigg.

Pour adultes et adolescents.

Un petit avion à hélice survole Londres armé d’une bombe. Un homme dégarni – l’ambassadeur russe Brodny – se sert une tasse de punch sur sa terrasse. Puis il entend le vrombissement croissant des moteurs, et cherche en vain l’avion… Soudain, l’avion lâche sa bombe – miniature, qui tombe dans le saladier d’où l’ambassadeur venait de servir. Brodny repêche la bombe miniature et trouve un message scotché autour : Arrive à 12 heures, PSEV.

Mme Peel sonne à la porte de Steed sans réponse. Elle pousse la porte, aperçoit Steed apparemment inconscient affalé sur le divan : elle se précipite. Alors un homme en gabardine qui s’était embusqué bondit dans le dos de la jeune femme. Mme Peel lui attrape les pouces et les tord tout en plaquant les mains de son agresseur au sol, qu’elle écrase ensuite de la pointe de sa bottine.

Steed se relève tout sourire et annonce que l’homme à la gabardine – le major Carson – lui doit désormais cinq livres. Puis Steed présente le militaire à genoux encore en train de grimacer de douleur à Mme Peel comme si de rien était. Puis il ajoute que, comme il l’avait assuré au Major Carlson, Mme Peel a toutes les qualifications requise pour le travail en question.

Mme Peel relâche enfin la pression de sa bottine des mains du Major et demande de quel travail Steed parle. Steed explique qu’elle sera son assistante dans sa mission de protection de la conférence. Mme Peel demande alors de quelle conférence parle Steed, et le Major lui répond : une rencontre entre les ministres de la Défense, pour le surlendemain. Steed représentera la sécurité du territoire, mais ils sont certains qu’une tentative d’infiltration aura lieu alors. Mme Steed demande par qui, et le Major répond, par le Colonel Psev.

Steed présente alors Psev comme le roi des espions… et d’indiquer deux épais classeurs portant le nom de Psev en précisant que ce n’est qu’une partie de son dossier. Mme Steed déclare que c’est impressionnant, mais Steed souligne qu’ils n’ont pas la moindre idée de à quoi Psev ressemble – ils n’ont même pas une photo. Le Major Carlson intervient : ils sont cependant certain que Psev est en Angleterre. Et Steed de compléter : où qu’aille Psev, son entourage va. Carlson conclut : et ils ont une photo de ces gens – Alicia Elena, la secrétaire de Psev ; Vogel, son assistant ; Shvedloff, son assistant en second ; Pudeshkin… Troisième assistant ? propose Mme Peel.

Steed reprend : ils sont tous arrivés dans le pays la nuit dernière, et à part ces quatre-là, personne n’a jamais vu Psev – et ils sont certains que c’est Psev qui tentera de faire échouer la conférence. Comme Peel rappelle que Psev est impossible à identifier, Steed remarque que Psev est malgré tout humain, et a certaines habitudes : la crème de violette, un alcool – certains cigares, Jamaïcain Torpedo numéro 2. Il aime les beaux habits et sa garde-robe est plus importante que celle d’une armée de spéculateurs boursiers. Et il a un loisir très particulier, que Mme Peel trouvera certainement fascinant : le modélisme aérien télécommandé.

***

Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965) Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965) Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965) Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965) Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965) Chapeau Melon et Bottes de Cuir S04E11: Un steed de trop (1965)

Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr

***