Sous la Seine, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Sous la Seine (2024)
Titre anglais : Under Paris.

Toxique propagandaire artificiel : scénario incohérent globalement ignorant des réalités physiques, biologiques et sociologiquesle comportement des prétendus spécialistes à l'écran vis à vis de requins est ineptes. Les défenderesses des requins (toutes des femmes aux cheveux colorés d'allure plus ou moins intellectuelles limite ) sont présentés comme prêtes à laisser tuer tout le monde en coupant la balise du requin mangeur d'hommes comme de femmes et d'enfants. Anne Hidalgo maire de Paris est caricaturée dans ce film, mais aucun autre membre de la classe politique tels le président Macron ni aucune chaîne d'information officielle, ni aucun patron des médias. La production semble ignorer que les ondes de choc des explosions sous-marines tuent les requins comme les plongeurs et il parait impossible que le niveau de l'eau monte si l'eau se déverse dans le siphon des souterrains parisiens, surtout sans faire s'effondrer aucun des bâtiments construits sur les catacombes inondées.

Diffusé à l'international à partir du 5 juin 2024 sur NETFLIX INT/FR.

De Xavier Gens (également scénariste) ; sur un scénario de Yannick Dahan, Maud Heywang ; avec Bérénice Bejo, Nassim Lyes, Léa Léviant, Aurélia Petit.

(monstres, woke, artificiel, toxique propagandaire) Les espèces qui survivent ne sont ni les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais plutôt celles qui s’adaptent le mieux aux changements.
Basé sur Charles Darwin.

NDT : La citation est fausse et contraire à ce qu’affirme Charles Darwin dans son traité L'Origine des Espèces, publiée en 1859 : une espèce survit parce qu’elle a déjà les caractéristiques physiques lui permettant de survivre aux changements et non parce qu’elle s’est adaptée.

Une boule à neige contenant une réplique miniature de la Tour Eiffel flotte entre les eaux sombres sous la surface d’une eau jonchée d’autres objets flottant à la surface, tandis que le fond d’un navire avance au-dessus.

A la surface, l’Explore Yacht (!?!) avance, son échelle pour descendre et remonter sur le pont déjà ou encore en place. Le yacht traverse une zone où la surface des eaux est abondamment jonchée de débris, tandis que deux plongeurs torses nus rangent apparemment leur équipement, et qu’une troisième membre d’équipage en chemise à fleurs fouille dans une caissette en plastique fluo.

Puis une femme (Sofia Assalas) enregistre sa présentation vidéo, l’air convaincue : « Nous sommes ici sur le septième continent, un vortex de déchets d’une superficie de trois millions de kilomètres carrés — soit quatre à six fois la France : environ un million d’oiseaux et cent mille mamifères marins meurent chaque année de l’ingestion de plastique… »

La femme s’interrompt avec un geste de lassitude : « Oh non, c’est nul ! » Le caméraman proteste : « Non mais vas-y ! »

La femme explique : « Non mais dès que je donne des chiffres, c’est nul ! » Le caméraman soutient : « mais non c’est pas nul ; tu vas pas couper : vas-y, reprend ! » La femme soupire. Le caméraman lui sourit et lui caresse le menton : « Vas-y ! Je t’aime ! » La femme sourit à son tour et minaude : « Arrête ! — Allez, on y va ! — Ok, vas-y — action ! »

La femme reprend son laïus : « Depuis plus de trois ans, avec mon équipe nous balisons différentes espèces de requins afin d’étudier leur évolution biologique… »

La voix d’une autre femme l’interrompt : « Sofia ! » et une jeune fille aux cheveux roses cavale lourdement pour stopper face au couple, talonné par un plongeur baraqué barbu torse nu : « ça y est, on a un signal… On y va ? » Le caméraman se tourne vers la femme (Sofia) : « Allez go ! »

Tous migrent vers l’arrière du pont supérieur, c’est-à-dire les escaliers menant au point inférieur, tandis que Sofia lance : « Cap sud-est, stabilisez à six mètres et vous l’attendez ! » et son compagnon : « Allez go, go, go, go, go les gars : plongée dans cinq minutes ! »

Le caméraman dépose son appareil vidéo dans un casier plastique fluo orange à côté du micro-ondes ( !) du coin cuisine en plein air ( !!!) sur le pont inférieur, tombe la chemise. L’autre plongeur, le baraqué barbu déjà torse nu répond : « Je vais charger les darts pour la biopsie, y’a juste les caméras… » et un autre homme lui répond : « C’est bon, elles sont fixées — mais les pétez pas cette fois ! »

Un autre plongeur se plaint : « Putain, elle pouvait pas nous faire plonger dans un endroit plus dégueux ? »

Dans le poste de pilotage du yacht, deux femmes se précipitent, dont Sofia, qui étrangement a trouvé le moyen de se rhabiller instantanément alors qu’elle tombait sa chemise comme les autres la minute d’avant. Sofia chausse un casque-micro et consulte l’écran LCD couleur monté sur le tableau de bord, affichant une carte à très grande échelle avec leur position et leur course… entre l’Australie et l’Amérique du Sud.

Sur le coté de la carte, sont affichés : Lilith (apparemment le petit nom de la requine, NDT : déesse mésopotamienne liée au vent et à la tempête, devenue démon infernal dans la mythologie judéo-chrétienne) ; âge 3 ans, 546 jours (NDT : une année standard fait 360 jours, 3x360 jours font 1080 jours, soit deux fois plus que trois ans) ; Espèce Mako ; vitesse 20 km/h, température 24 degrés, lieu taguée : Nord de l’Océan Pacifique ; dernier ping, 25 avril 2021, 2 heures 11 et 22 seconde de l’après-midi.

En bonus en bas à droite de l’écran, une photo de la requine qui sourit de toutes ses dents remontant à la surface pour sans doute happer un plongeur ou une autre quelconque juteuse proie.

Nous sommes donc le 25 avril 2021 à deux heures 11 au milieu du Pacifique Sud.
Sofia fronce les sourcils et demande à sa collègue la distance : « Cinq cent mètres. »

La jeune fille aux cheveux roses — qui en quelques seconde a chaussé une casquette et son casque micro — a lu la distance écrite en gros sur l’autre écran plat affichant un balayage radar et une température de 21 degrés, soit trois de plus que le premier écran au même instant. La fille aux cheveux roses sourit elle aussi de toutes ses dents en précisant : « Elle s’approche ! »

Sofia partage visiblement l’enthousiasme de sa collègue : elles vont bientôt avoir une vidéo de leurs plongeurs en train de se faire bouffer en direct. Je note qu’aucune de ces wokettes n’avaient l’intention de plonger avec les hommes.

(NDT : résumé rédigé avant d'avoir vu les scènes suivantes)

Sous la Seine, le film de 2024

Sous la Seine, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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