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La bête, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 7 février 2024
Affichages : 657

La bête, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Ne pas confondre avec le film de 1975 de Walerian Borowczyk du même titre.
Ne pas confondre avec le film La Bête dans la jungle de 2023 adapté de la même nouvelle de Henry James.


Sorti au cinéma en France le 7 février 2024.
Sorti en blu-ray français AD VITAM FR le 7 juin 2024.

Toxique : le film prétend défendre l'humanité et la liberté d'émotion pour conclure le contraire et ne montrer que des personnages pas plus humains que des zombies à n'importe laquelle des trois époques de leurs vies antérieures. On croirait le film tourné pour persuader le spectateur de se laisser décérébrer parce qu'une intelligence artificielle le lui aura dit, une intelligence artificielle programmée et tordue par on ne sait quel ennemi définitif de la nation et de l'humanité.

Spoiler : Le film donne aussi, comme tous les films woke, une image déplorable de la femme, l'héroïne étant d'une passivité, débilité, d'une imprudence suicidaire tout en jouant les bourges sophistiquées cédant invariablement à ses passions pour a) mourir noyée ou brûlée vive bien que prévenue sur le risque incendie des lieux, b) violée après assassinée par un nécrophile bien que prévenue et disposant de toute latitude pour échapper à son sort, c) prête à subir une lobotomie sous prétexte qu'elle veut qu'un déjà lobotomisé tombe encore amoureux d'elle.

De Bertrand Bonello (également scénariste), sur un scénario de Guillaume Bréaud, Benjamin Charbit, librement adapté du roman du 26 février 1903 The Beast in the Jungle (La bête dans la jungle) de Henry James; avec Léa Seydoux, George MacKay, Guslagie Malanda, Dasha Nekrasova, Martin Scali, Elina Löwensohn.

Pour adultes

(presse, prospective fantastique, vie antérieure, woke, toxique) Une blonde en pantalon et chemisier lamé, se tient debout pieds nus sur un fond vert. Le réalisateur, en voix off lui ordonne : « Commence à marcher. Encore. Okay, par ici ça va. Tourne-toi un peu… Euh, tu vois, là derrière moi, ça c’est le salon d’où tu viens ; l’escalier est juste là, sur la gauche ; sur ta droite, tu as la fenêtre de la cuisine ; sur la table, qui est ici, tu as le couteau. »

Il n’y a que du vert autour d’elle : pas de table, pas de couteau. Mais la blonde regarde bien vers sa droite. Le réalisateur reprend : « Et tu vois la marque, en scotch ? »

Il n’y a pas de marque en scotch, nulle part. « Euh, vraiment sur ta droite ? » L’actrice ne répond rien, regarde le réalisateur : « ça, c’est là où va apparaître l’ombre de la Bête : à un moment, tu regardes par là, et tu la vois. »

La blonde regarde par-dessus son épaule droite. « Okay ? » Elle repond « Okay. » et regarde à nouveau la caméra, c’est-à-dire le réalisateur.
Le réalisateur hésite puis déclare : « Ben… dégage un peu tes cheveux. »

La blonde ramène et lisse ses cheveux relativement courts en arrière. « Voilà, comme ça… » encourage le réalisateur : « … et fais deux trois pas vers moi. »

La blonde rajuste sa ceinture et fait les pas en question : elle est désormais cadrée à mi-cuisses, arborant l’expression vaguement constipée de tous les acteurs et actrices français de nos jours, généralisée depuis peut-être les années 1990 : cela doit mettre en valeur le gloss sur ses lèvres et éviter d’abîmer son maquillage avec des expressions et des micro-expressions un peu naturelle et définitivement plus convaincante quand il s’agit d’incarner un personnage digne de ce nom.

La caméra s’approche, la cadrant désormais à la taille ; le réalisateur demande : « ça va ? » et elle répond, s’animant un peu avec un sourire asymétrique plus marqué du côté gauche : « ça va, je suis prête. »

Va-t-elle se fouler un cil ? Le suspens est intolérable. Elle hausse les épaules, puis laisse retomber ses épaules et ses bras. Possiblement son échauffement du jour : c’est quand même physique le métier d’acteur.
Le réalisateur dit enfin : « Et c’est… quand tu veux. »

Et nous passons sur une autre caméra, serré sur son visage, de trois-quart profil droit. On entend alors de vagues effets sonores, rappelant vaguement un très lointain vrombissement d’hélicoptère et des coups sourds, qui, si l’on en croit les regards de l’actrice, pourrait venir de plusieurs côtés et d’en haut, mais rien n’est moins certain car nous n’avons pour l’instant vu nulle part les hauts parleurs qui sonoriseraient ce plateau.

De manière piquante, alors que la blonde maintenant se déplace pieds nus en reculant, sur le tapis vert, nous entendons le bruit des pas que font ses chaussures sur un parquet. Et elle se retrouve tout de suite à côté d’une table peinte en vert — qui n’était certainement pas à cette place quand elle est entrée sur le plateau par sa droite. Il y a bien un couteau de cuisine posé sur la table, comme annoncé. Après une hésitation, elle empoigne le couteau.

Alors nous passons au point de vue d’une caméra qui cadre la blonde de dos à mi-cuisse, tenant le couteau, et la table a soudain disparu, alors que ladite table se trouvait exactement sous la main qui avait empoigné le couteau.

La blonde se retourne pas très vite, recule et logiquement aurait dû alors heurter la table qui aura subitement disparu, probablement au montage, alors que la scène est censée être tournée d’une seule prise.

La blonde regard autour d’elle avec la caméra qui serre toujours davantage sur son visage, puis sur son nez, sur son œil droit, puis hop, l’image saute, et nous revoilà moins serré cette fois sur son œil gauche et sa boucle d’oreille gauche.

La blonde lève les yeux, puis se tourne vers sa droite et se met à hurler de manière pas vraiment convaincante tandis que son image se brouille suite à l’application inopiné du filtre « verre dépoli » de Totoshop, version animée.

Titre du film : « la Bête »

Sans transition (vous vous attendiez à quoi avec une écriture et un montage pareil ?), une violoniste en robe de soirée Belle époque (?) joue devant les lambris doré d’un salon raccord, accompagnée d’un pianiste à nœud papillon moyennement raccord concernant la coiffure masculine (pas de brillantine) ou la pilosité faciale (ni moustache, ni barbiche, ni barbe). En théorie, il devrait être en queue de pie, mais j’en doute fortement.

Un élégant jeune homme lui aussi plus ou moins habillé belle époque avec cette fois un nœud d’Ascot semble improbablement faire tapisserie dans ce genre d’évènement mondain, faisant mine d’admirer la violoniste et d’apprécier la musique, mais il est probablement là seulement pour être dans le champ de la caméra au début du mouvement qui consiste à s’écarter pour laisser la même blonde du début se poser en plein milieu de l’écran, avec le même air mi-constipée du début, mais un maquillage et une perruque blonde plus ou moins raccord avec l’ambiance Belle époque. Elle porte un pendentif doré de style égyptien et des gants.

A lambiner depuis le salon où la violoniste et le pianiste joue jusqu’à un autre de la même réception, elle croise entre autres un serveurs, à peine brillantiné et sans pilosité faciale (la production de ce film est vraiment fauchée), qui porte un plateau de trois coupes d’un champagne transparent et pratiquement sans bulle. A court de Périer ? C’est fou !

La blonde attrape une coupe, remercie le serveur et continue sa promenade. Elle boit une gorgée de son « champagne », puis s’approche d’une travestie à qui elle souffle : « Pauline ? Vous n’auriez pas vu mon mari ? » et Pauline répond : « Il était dans l’aut’ salon il y a quelque minute. »

Les deux femmes relèvent leur menton, la blonde se détourne, Pauline la brune reste scotchée au mur du troisième salon, ce qui pose la question de quel pourrait être « l’autre salon » et de si la réplique a été écrite en totale ignorance d’où serait tourné la scène.

La blonde en tout cas a fait demi tour et s’est remise à marcher nonchalamment à pas relativement lourd, dodelinant de la tête à chaque pas sans veiller à son maintien ni à son port : ce n’est pas comme si elle évoluait dans la haute société, mais en fait si. Ou alors elle aura déjà trop bu de son « champagne » (une gorgée si l’on en croit le montage).

La caméra balaye un quart du salon pour s’arrêter sur un blond un peu plus brillantiné que les autres, toujours pas de pilosité facilae, nœud papillon et impossible de voir s’il porte la queue de pie Belle Epoque. Il semble s’en aller après avoir jeté un coup d’œil entendu à la blonde.

La caméra étant occupée à panner sur les lambris peints en blanc et leurs dorures, c’est en voix off que la blonde demande à quelqu’un sur son ton pas particulièrement distingué : « Tu n’aurais pas vu Georges ? » et une femme inconnue lui répond : « Si, il était dans le salon de l’autre côté il y a cinq minutes. »

La femme inconnue apparaît marchant avec la blonde : c’est une brune d’âge mür avec collier d’argent en forme de serpent et aigrette blanche dans le serre-tête rehaussé de strass. Elle demande : « Mais dis-moi, pourquoi dans les fêtes on cherche toujours les gens avec qui on vit, et que l’on voit tous les jours ? »

Une autre question pertinente serait : Et pourquoi dans les fêtes ne tiendrait-on de conversation que de trois courtes répliques sans égard ni aucun a-propos ?

Et les deux semblent être dans le troisième salon d’une suite qui n’en compte que trois : je ne vois pas comment la blonde aurait pu louper son mari en balayant les trois salons depuis le début apparent de la prise, à part si elle l’aurait étranglé discrètement et caché dans un placard, le piano à queue n’étant pas la meilleure cachette bien que je n’aurais su dire si le pianiste en jouait pour de vrai.

La blonde pouffe fort intelligemment et les deux femmes partent dans des directions opposées. Elle prend une autre gorgée de « champagne », et revenant dans le second salon, elle est accostée par une troisième femme, plus gironde, en noir : « Vous vous amusez ? — Beaucoup, mais j’ai perdu mon mari… — Oh quelle chance ! Profitez-en… — J’en profite ! » et d’ajouter en brandissant sa coupe de « champagne » dont elle n’a pris que deux gorgées, et cela se voit : « Trop ! »

Après quelques pas, la veuve noire déclare : « Je crois que je l’ai vu partir par là, il a dû aller voir l’atelier… — L’atelier ? — Vous n’avez pas rencontré Anton ? — Non… »

La veuve noir attire vers elle un jeune homme au gilet bordeaux et cheveux blonds vaguement raphaëliens – non brillantinés, aucune pilosité faciale, nœud d’ascot ? qui avait une grande conversation inaudible à moins de cinquante centimètres de ces dames : « Anton ! » et de présenter la blonde : « Gabrielle ». La veuve noire explique : « On lui a prêté une pièce au fond de la maison pour qu’il puisse travailler : ce soir, il montre des choses, allez-y : c’est puissant et aussi sombre que l’époque est lumineuse… Curieux contraste. »

Le jeune homme sourit sans montrer les dents ni dire quoi que ce soit. « Dans ce cas… » dit encore la veuve noir : « Je vous laisse ! »

Dans quel cas ?

Ils semblent tous les deux simultanément se mettre à marcher dans une direction précise. « C’est par là, demande Gabrielle. Et Anton répond : « Oui. Après le salon du fond, à droite. »

Quatre salons en enfilade et personne ne sait compter ou donner un point de repère du genre celui du piano, ou celui près de l’entrée ?

Arrangeant, Anton propose : « Je peux vous emmener si vous voulez ? »

Ce n’est pas ce qu’il était déjà en train de faire en prenant la même direction que Gabrielle et en confirmant qu’il s’agissait de celle de l’atelier ?
Gabrielle répond : « Merci, mais je peux me débrouiller ».

Apparemment pas, vu tout le temps perdu depuis le début de la scène à prétendre chercher son mari et à s’entendre répondre : « Il dans l’autre salon » trois fois, puis « il est dans l’atelier. »
Anton, toujours serviable : « Mais vous ne voulez pas un verre avant ? »

Comprenez-le, il n’expose que devant des invitées trop saoules pour y voir clair et résister à son art « puissant et sombre ».

« J’ai un verre ! », répond Gabrielle en brandissant sous le nez de l’artiste sa coupe de champagne quasiment pleine. D’un autre côté, Anton pourrait être aveugle et comme ça il sentira au moins l’odeur des bulles, à supposer qu’il y en ait encore depuis tout ce temps, s’il y en a jamais eu.

Anton ajoute : « Et un gant qui cache quelque chose. »

Comment a-t-il deviné que Gabrielle était lépreuse ?

« Je m’incline, déclare Anton : j’espère que cela vous plaira. »

« J’en suis sûre ! »

Et Gabrielle d’entrer dans le cinquième salon — une bibliothèque — à l’entrée duquel l’attendait le même serveur que dans le salon de musique — la maison n’en a qu’un — avec trois coupes de champagne sur son plateau, le même nombre que dans le salon à musique : faut croire que les invités n’en prennent jamais qu’une seule à la fois.

Gabrielle dépose sa coupe presque pleine définitivement remplie d’un liquide clair en comparaison de celui plus doré des coupes sur le plateau, prend une coupe de ce qui ressemble davantage à du champagne qui ne mousse plus mais pétille encore.

Gabrielle longe les rayons de reliures apparemment précieuses et manque de se casser la figure parce que les robes longues et étroites, c’est traître à toutes les époques, même en terrain plat et sans avoir bu deux gorgées de prétendu champagne. Histoire de pousser le challenge, elle entre dans le salon suivant en buvant une gorgée de son plus probable champagne.

Gabrielle arrive alors devant un premier tableau représentant Nicolas Sarkozy à poils cuisses écartées assis entre un fond blanc et un fond noir. Plus loin au mur deux autres toiles représentant deux hommes, l’un semblant se soucier de modestie. Plus loin un jeune homme probablement nu se cache derrière une femme à robe rouge devant un arbre dépenaillé aux feuilles noire, et il y a un portrait relativement classique d’un blond à menton pointu – apparemment habillé.

Gabrielle en est à considérée les cours de la bourse et la grosse bite d’abordage du second homme nu de l’exposition quand elle semble remarquer l’homme de dos qui s’intéressait de plus près au portrait du blond habillé…

Mais elle préfère s’absorber dans la contemplation d’un autre homme nu cuisses écartées qui se baisse : plantée le nez dessus, elle laisse l’homme qu’elle avait repéré la rejoindre : ils ont tellement en commun…
Le jeune homme lui glisse à l’oreille : « Vous en pensez quoi ? »

Les deux ont le visage très rouge, mais cela doit être le champagne. Elle répond : « C’est… violent. Psychiatrique. Mais c’est beau, je trouve. »

Le jeune homme assure : « Il pourrait vous peindre… »

Nue cuisse écartée, mais certainement très cher.

Ils se regardent, lui, souriant, elle pouffant fort intelligemment. Elle fit par répondre : « Jamais de la vie… Je tiens à mon âme. »

Le jeune homme reprend comme elle ferme les yeux : « Vous vous souvenez, n’est-ce pas ? »

Elle rouvre les yeux et demande « De quoi ? »

Il répond : « Que nous nous sommes déjà rencontrés. — Ah oui ? — … à Rome, il y a des années, il y a trois un an, un dîner organisé après une représentation de Madame Butterfly. Vous étiez avec votre oncle et votre tante ; vous portiez une robe d’un vert assez foncé et un chignon. »

Toutes les femmes portent le chignon à cette réception…

Gabrielle réfléchit, puis se retourne vers le jeune homme : « C’était à Naples, pas à Rome »

Sans faire la liaison entre « pas » et « à » ; or la liaison est obligatoire en français soutenu, surtout avant la seconde guerre mondiale, entre l’adverbe monosyllabique et le mot qui suit : Gabrielle aurait dû dire « paz’à Rome. » mais ce n’est qu’une des bourdes anachroniques que les acteurs et actrices de ce film enquillent depuis le début de la scène.

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Chroniques de la Science-Fiction du 5 février 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 5 février 2024
Affichages : 544

Chroniques de la Science-Fiction du 5 février 2024

Chroniques de la Science-Fiction #2024-02-05

Numéro précédent <> Numéro suivant.

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 6 pages A5 couleurs.

Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2024

Sorti le 18 janvier 2024 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Désormais, l'exemplaire .pdf ne contient plus que le calendrier des diffusions et des sorties de la semaine, reproduit ci-dessous.

***

Les sorties de la semaine du 5 février 2024
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.


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LUNDI 5 FÉVRIER 2024

BLU-RAY UK
The Kingdom 1994** (Riget 1,2, Exodus, horreur, fantôme, 7 br, 5/2, MUBI UK)

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MARDI 6 FÉVRIER 2024

TÉLÉVISION INT
Quantum Leap 2023* S2E10: (woke, 6/2, NBC US)
La Brea 2024** S3E05 : The Road Home part 1 (monde perdu, 6/2, NBC US)

BLU-RAY FR
Perseo l'invincibile 1963 (heroic fantasy, br+dvd, 6/2, ARTUS FILMS FR)
The Day the Earth Froze 1959** (Sampo, heroic fantasy, br+dvd, 6/2, ARTUS FR)

BLU-RAY US
BloodRayne 2005* (fantasy, br+4K, 6/2, MASSACRE VIDEO US)
Burnt Offerings 1976 (fantôme, Trauma, br, 6/2, KINO LORBER US)
Terminal Man 1974 (cyberpunk, M. Crichton, br, 6/2, SHOUT FACTORY US)
OSS 117, 5 films collection 1963** (technothriller, vf, 3br, 6/2, KINO LORBER US)
The Kingdom 1994** (Riget 1,2, Exodus, hor, fantôme, 7 br, 6/2, MUBI US)
Handyman Saitou in Another World 2023 S1 (série ani, ftz, 2br, 6/2, CRUNCHY)
Attention, les doublages anglais de chez cet éditeur wokisent la version originale.
Tears To Tiara 2009 S1 (série animée, fantasy, 3br, 6/2, SENTAI US)

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MERCREDI 7 FEVRIER 2024

CINE FR
La Bête 2024 (dystopie, réincarnation, romance) 7/2, ciné FR.

CINE US
Paprika 2006**** (animé, cyberpunk, rêve) ressortie 7/2, ciné US.

BLU-RAY FR
Le règne animal 2023 (apocalypse mutant, br+4K, 7/2, STUDIO CANAL FR)
The Creator 2023* (robots cyberwoke, br+4K, 7/2, DISNEY FR)
Batman v Superman: Dawn of Justice 2016* (super, 2br+4K, 7/2, ulti, WARNER)
V For Vendetta 2005*** (dystopie, br+4K, 7/2, WARNER BROS FR)
The Mandalorian 2020* (fx starwars, 2br+2x4K, 7/2, DISNEY FR)

BANDE-DESSINEE FR
Les guerres d’Aran 2024 T3 : La bataille…, 7/2, Jarry / Yerofeieva, SOLEIL FR)

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JEUDI 8 FEVRIER 2024

CINEMA DE
Night Swim 2024* (horreur fantôme, 8 /2, ciné DE)
All Of Us Strangers 2023 (LGBTQ fantôme, 8 /2, ciné DE)

TELEVISION INT
Halo 2024*** S2E01+2: Sanctuary + Sword (spaceop militariste, 8 /2, PARAMOUNT + INT/FR)

TELEVISION US
Sanctuary: A Witch's Tale 2024 S1E07 (fantastique, sorcier, policier, adapté du roman de 2020 de V.V. James, AMC US)

BLU-RAY DE
The Deep House 2021** (zombies, br+4K, 8 /2, TURBINE MEDIEN DE)

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VENDREDI 9 FEVRIER 2024

CINE US
Lisa Frankenstein 2024 (comédie romance fantastique) 9/2, ciné US.
Out Of Darkness 2024 (fantasy préhistorique) 9/2, ciné US.
Here For Blood 2022 (comédie horrifique démons) 9/2, ciné US

BANDE-DESSINEE FR
Le champ des possibles 2024 (rom. Virtuel, Cazot / Bernarbé, 9/2, DUPUIS FR)

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SAMEDI 10 ET DIMANCHE 11 FEVRIER 2024

Pas d’actualité de la Science-fiction à ma connaissance.

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Les Chroniques de la Science-fiction de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 30 janvier 2024
Affichages : 950

Chroniques de la Science-Fiction du 23 septembre 2024

Chroniques de la Science-fiction de l'Année 2024

Ici la page des Chroniques de la Science-fiction, le fanzine

Chroniques de la Science-fiction 2023 <> Chroniques de la Science-fiction 2025

Cliquez sur le lien pour trouver la page de ce blog contenant le calendrier de sortie des films et autres récits de la semaine en question, avec les liens pour retrouver les détails du récit sur ce blog.

Cliquez sur le lien du document .pdf pour télécharger le calendrier illustré en couleur des posters, jaquettes et couvertures des récits en question.

Cliquez sur le lien de la page du forum Philippe-Ebly.fr pour accéder à d'autres détails, une éventuelle bande-annonce, une critique plus ou moins détaillée si j'ai pu voir ou lire le récit en question.

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Chroniques de la Science-Fiction du 16 décembre 2024

Décembre 2024

Semaine du 30 décembre 2024

Semaine du 23 décembre 2024

Semaine du 16 décembre 2024

Semaine du 9 décembre 2024

Semaine du 2 décembre 2024

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Novembre 2024

Semaine du 25 novembre 2024

Semaine du 18 novembre 2024

Semaine du 11 novembre 2024

Semaine du 4 novembre 2024

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Octobre 2024

Semaine du 28 octobre 2024

Semaine du 21 octobre 2024

Semaine du 14 octobre 2024

Semaine du 7 octobre 2024

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Septembre 2024

Semaine du 30 septembre 2024

Semaine du 23 septembre 2024

Semaine du 16 septembre 2024

Semaine du 9 septembre 2024

Semaine du 2 septembre 2024

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Chroniques de la Science-Fiction du 12 août 2024

Août 2024

Semaine du 26 août 2024

Semaine du 19 août 2024

Semaine du 12 août 2024

Semaine du 5 août 2024

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Juillet 2024

Semaine du 29 juillet 2024

Semaine du 22 juillet 2024

Semaine du 15 juillet 2024

Semaine du 8 juillet 2024

Semaine du 1er juillet 2024

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Chroniques de la Science-Fiction du 24 juin 2024

Juin 2024

Semaine du 24 juin 2024

Semaine du 17 juin 2024

Semaine du 10 juin 2024

Semaine du 3 juin 2024

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Chroniques de la Science-Fiction du 20 mai 2024

Mai 2024

Semaine du 27 mai 2024

Semaine du 20 mai 2024

Semaine du 13 mai 2024

Semaine du 6 mai 2024

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Semaine du 1er avril 2024

Avril 2024

Semaine du 29 avril 2024

Semaine du 22 avril 2024

Semaine du 15 avril 2024

Semaine du 8 avril 2024

Semaine du 1er avril 2024

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Mars 2024

Semaine du 25 mars 2024

Semaine du 18 mars 2024

Semaine du 11 mars 2024

Semaine du 4 mars 2024

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Chroniques de la Science-Fiction du 26 février 2024

Février 2024

Semaine du 26 février 2024
Semaine du 19 février 2024
Semaine du 12 février 2024
Semaine du 5 février 2024

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Chroniques de la Science-Fiction du 15 janvier 2024

Janvier 2024

Semaine du 29 janvier 2024
Semaine du 22 janvier 2024
Semaine du 15 janvier 2024
Semaine du 8 janvier 2024
Semaine du 1er janvier 2024

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Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 2 février 2024
Affichages : 647

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark (2024)
Titre français : La nuit d'Orion.

Annoncé à l'international pour le 2 février 2024 sur NETFLIX INT/FR.

De Sean Charmatz, sur un scénario de Charlie Kaufman, d'après l'album illustré de 2015 Orion and The Dark de Emma Yarlett ; avec Jacob Tremblay, Paul Walter Hauser, Werner Herzog, Colin Hanks, Ike Barinholtz, Angela Bassett, Natasia Demetriou.

Pour tout public ?

(fantastique, jeunesse, woke, potentiellement toxique et dangereux pour le jeune public) Orion ressemble beaucoup à l'enfant moyen de l'école primaire - timide, sans prétention, avec un béguin secret. Mais sous ses dehors apparemment normaux, Orion est une boule d'anxiété adolescente, complètement consumée par des peurs irrationnelles des abeilles, des chiens, de l'océan, des ondes des téléphones portables, des clowns de gouttière meurtriers, et même de tomber d'une falaise. Mais de toutes ses peurs, la chose dont il a le plus peur est celle qu'il affronte tous les soirs : l'obscurité. Alors, quand l'incarnation littérale de sa pire peur lui rend visite, l'Obscurité entraîne Orion dans un tour du monde en montagnes russes pour lui prouver qu'il n'y a rien à craindre de la nuit. Au fur et à mesure que le couple improbable se rapproche, Orion doit décider s'il peut apprendre à accepter l'inconnu - cesser de laisser la peur contrôler sa vie et enfin embrasser la joie de vivre.

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film animé.

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Les Chroniques de la Science-fiction, le fanzine de 2005 à 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 30 janvier 2024
Affichages : 482

Chroniques de la Science-Fiction du 25 mars 2024

Les Chroniques de la Science-fiction, le fanzine de 2005 à 2024

Ici toutes les chroniques des années...

 2025 - 2024 - 2023 - 2022 - 2021

Les chroniques ont vocation à être complétées rétrospectivement, dans la mesure où je peux retrouver des dates de parution et diffusion fiables et des versions non altérées d'époque des récits chroniqués. Le lecteur doit être conscient que beaucoup de restauration de films ou de séries et leur streaming peuvent avoir été censurés ou remontés d'une manière qui trahirait le témoignage du spectateur ou du lecteur de lecteur de l'époque.

En particulier, les éditions de classiques voient les mots de l'auteur remplacés, des scènes coupées ou remplacés, et des traductions peu importe le média peuvent être fausses ou inventées, et le sens original du récit remplacé par de la propagande.

Beaucoup de récits se sont perdus et n'existent apparemment plus que sous la forme de référence, à supposé qu'ils soient jamais parus, puisque tous les récits annoncés ne sortent pas, et le numérique permet une destruction accélérée et automatisée des exemplaires encore en circulation - en particulier, tout ce qui est diffusé par Internet sans support physique ou sur un support physique crypté, ou exigeant une identification en ligne et l'usage de clés de cryptage que le propriétaire de la clé retire au lecteur / spectateur / joueur.

A l'origine, les Chroniques de la Science-fiction sont un blog html pour tenter de garder trace des sorties quotidiennes des récits de Science-fiction, Fantastique, Fantasy et Aventure et de l'actualité de la Science-fiction et des sciences pouvant inspirer les auteurs. Le blog est devenu un fanzine .pdf essentiellement constitué d'un calendrier des sorties des films, séries et supports physiques, assorti éventuellement des fiches critiques des récits en question ou enfin visionnés ou lus après leur sortie.

En 2023, les Chroniques ont aussi couvert via leur édito l'actualité frénétique de la Science-fiction relayés par la presse internet et les youtubeurs les plus pertinents qui analysaient cette actualité et citaient leurs sources. L'édito et les critiques sont supprimés en 2024 pour libérer le temps de revenir à la création de récits et d'ouvrages à une époque où il est devenu quasiment impossible de lire ou voir des récits de qualité, à part en (re)découvrant ceux du passés, dans la mesure où ils n'ont pas été rendus inaccessibles par les censeurs.

L'initiative de David Sicé part du même constat que pour Véga Express concernant l'actualité des sorties de romans : personne ne sait réellement ce qui sort à quel date. Cette information déjà très mal présentée par les sites censés être dédiés à l'actualité de Science-fiction est en plus très rapidement perdue, et souvent des sites professionnels la place derrière un pay-wall, c'est-à-dire exige un abonnement, en plus de receler vos données personnelles et de vous imposer de la publicité.

Or ces sites n'ont même pas l'information que vous recherchez, ou peuvent la censurer ou l'altérer du jour au lendemain comme pour la Wikipédia. Et l'information juste est souvent remplacée par une information fausse. Donc le seul moyen de savoir quel film ou quel épisode est sorti quand, qui a copié ou inspiré qui, d'où sortent ces récits et s'ils racontent vraiment ce que tout le monde ou certains disent qu'elle raconte - est d'en garder trace au moment où le film sort, l'épisode est diffusé, le dvd ou le blu-ray est mis en vente et ainsi de suite.

Très vite il n'a pas été possible de tracer les sorties de livres, parce que les informations des sites de vente tels Amazon ou des éditeurs ou du Fandom se sont révéler presque toujours faute quand la date réelle de publication au jour près.

Côté bande-dessinée, impossible de tracer la masse des sorties japonaises ou américaine, impossible de tracer les petits éditeurs pour la même raison que pour le livre. Le problème numéro 1 des chroniques étant d'empêcher la propagation d'une information fausse sur l'existence ou la date de parution.

De même c'est le mensonge ou l'opacité des tirages ou les trucages des sites de (fausses) critiques et du (faux) box-office qui rend inutile de présenter des taux d'audiences, ou des recettes par films, épisodes ou même roman : tout le monde ment et les prix censés être attribué en fonction d'une popularité, d'une pertinence ou d'un talent présumé - ne le sont jamais dans les faits. Pour choisir ou étudier tel ou tel récit, vous ne pouvez pas vous baser ces données.

Les résumés des récits chroniqués servent à confirmer que nous parlons bien du même récit. Plus que jamais aujourd'hui, les titres des récits antérieurs sont plagiés (copiés-collés) et certaines productions ont leur titre, poster et dossier de presse arrangés pour tromper le spectateur.

De même, l'internet et avant cela la presse et les fanzines sont remplis de fausses chroniques visant à piéger le lecteur et le faire acheter le droit de voir ou lire un récit qui ne pourra jamais le satisfaire car spécifiquement créé pour ne pas tenir ses promesses.

Cette tendance s'est spectaculairement aggravée en 2023 et les moteurs de recherche des GAFA ne donneront plus accès qu'à des fausses critiques générées par Chat GPT, possiblement sous la signature et avec des voix et des images également générées par Intelligence Artificiel au même titre que les tweets et les photos des légions de trolls générés par des start-ups payées par les studios et autres multinationales pour couler la concurrence et tromper les lecteurs spectateurs joueurs humains, cf. l'affaire Rotten Tomatoes, Sport Illustrated et les autres scandales de 2023.

Jamais les bandes annonces n'ont été aussi fallacieuses, jusqu'à ne contenir aucun plan du film ou faire passer une romance LGBTQ pour un film d'action prospectif ou fantastique échevelé; un film sur un couple qui se suicide par ce qu'ils ont le cancer et leurs affres deux heures durant héritera d'un titre sans équivoque rattaché à la Science-fiction ou à l'Astronautique ou n'importe quoi d'imaginaire qui puisse forcer le clic.

Enfin, avec l'ère des perroquets heuristiques tels chat GPT qui s'est ouvert depuis quelques années déjà, déferlent de faux auteurs poussés par des studios qui ne veulent plus payer des êtres humains talentueux mais veulent quand même faire payer le public la m.rde artificielle virtuelle alors que le travail pour gagner l'argent qui paye tout ça n'a rien de virtuel, pas plus que le temps que vous risquez de perdre à vous intoxiquer la cervelle avec ce qui est seulement de la p.rnographie déguisée.

Les récits existent pour transmettre l'expérience d'êtres humains à êtres humains. Ils servent à enrichir l'expérience réelle d'une expérience rapportée présentée comme de la fiction, et éclairée par des contextes fantastiques qui écartent les manipulations et biais de la réalité. On peut les utiliser pour s'évader, jusqu'à ce que le lecteur spectateur joueur réalise exactement ce à quoi les auteurs pensaient, une fois confrontés dans la réalité à l'indicible - et si possible bien avant.

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  1. Chroniques de la Science-Fiction du 29 janvier 2024
  2. Farò, le phare, le film de 2024
  3. Badland Hunters, le film de 2024
  4. Chroniques de la Science-Fiction du 22 janvier 2024

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