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- Écrit par David Sicé
Smaragdgrün (2016)
Ce film est le troisième et dernier épisode de la Trilogie des gemmes.
Bleu Saphir (2014, Saphirblau)
Sortie annoncée en Allemagne le 6 juillet 2016, repoussé du 30 juin 2016.
Sortie annoncée en blu-ray français le 21 septembre 2016.
Ici l'article de ce blog sur le blu-ray français de Vert émeraude de 2016
De Felix Fuchssteiner, sur un scénario de Katharina Schöde, d'après le roman de Kerstin Gier ; avec Jannis Niewöhner, Rolf Kanies, Maria Ehrich, Josefine Preuß, Peter Simonischek, Florian Bartholomäi, Laura Berlin.
Pour adultes et adolescents.
Londres 1782.
James Auguste Pelegrin Pippin-Butter sort ses six petits chiens espionné par Gwendoline et Lucy, embusquées derrière un petit parapet. Gwendoline fait remarquer que Paul va mieux et Lucy la remercie pour les antibiotiques que Gwendoline avait ramené du 21ème siècle. Comme James passe devant elles, Gwendoline sort de sa cachette et le salue. Surpris et apeuré, James demande s’ils se connaissent et Gwendoline confirme, puis débite qu’elle doit protéger James contre une maladie, la variole, qu’il n’a pas encore, mais bientôt et qu’il va mourir, mais pas tout à fait, parce qu’ensuite il errera des siècles en tant que fantôme, alors Gwendoline va le « vacciner ».
James s’écarte et déclare la conversation terminée. Pour toute réponse, Gwendoline sourit et sort la seringue de sa poche. James pousse alors un grand cri et lâche les laisses de ses six petits chiens, et prend la fuite à travers le jardin. Gwendoline le poursuit en criant qu’elle veut l’aider. Comme James prend de l’avance, il est stoppé par Lucy qui a rattrapé l’un de ses chiens et le distrait en lui parlant du risque qu’il y a à laisser le petit chien devenir obèse. Pendant ce temps, Gwendolin rattrape James et lui plante la seringue dans l’épaule – James tourne de l’œil, puis se relève et s’enfuit à nouveau tandis que Gwendoline et Lucy se félicitent : passé modifié, vie humaine sauvée, et remarque que le fantôme du lycée lui manquera… C’est alors que la vision de Gwendoline se trouble, et elle et Lucy sont emportées dans le Temps.
Dans son lit, Gwendoline rêve de tout ce qu’il lui est arrivé et surtout de Gidéon. Puis elle ouvre les yeux et aperçoit Xémerius, la gargouille suspendue au plafond, qui lui recommande de penser à d’autres choses, à compter les stations du métro, afin qu’elle puisse vraiment dormir. De son côté, Gidéon peine à déchiffrer une prophétie dans un ancien carnet : lorsque la douzième étoile apparaîtra, le destin… le temps terrestre est voué à l’échec… à condition, visible, pâli, l’aigle de l’éternité voit son but atteint. Or, sache que c’est au rubis que l’aigle de l’éternité appartient : son étoile ne se désintègre que lorsqu’elle est tourmentée par l’amour et que sa chute est librement choisie.
Arrive Raphaël, le cousin de Gidéon avec deux cartons à pizza qu’il pose sur le meuble de cuisine : comme Gidéon s’emporte – l’auteur ne pouvait-il pas faire des phrases plus claires ? – Raphaël lui rappelle que ce type vivait au 18ème siècle. Puis il lui propose la pizza au salami. Gidéon soupire et pose la pizza sans ménagement sur le côté. Gidéon reprend et suppose que la douzième étoile, c’est Gwendoline et que l’aigle c’est le Comte – mais c’est quoi son but ? Puis il suppose que le tourment par l’amour serait un chagrin d’amour... Affalé sur une banquette, Raphaël répond, une part de pizza à la main que Gidéon est un super-héros, Gwendoline est une super-héroïne. Gidéon la kiffe, Gwendoline la kiffe, où est le problème ? Gidéon répond que cela pourrait être dangereux pour elle.
Gideon se lève et va cacher le carnet derrière une plinthe de la cuisine. Puis il prend son téléphone portable et appelle Gwendoline – laquelle se réveille en sursaut (mais dans une chambre complètement illuminée par diverses ampoules décoratives) comme son téléphone à elle se met à sonner bruyamment. Comme elle va pour décrocher, la gargouille s’élance et l’avertit : elle ne doit même pas y penser – et elle a l’impression que Gwendoline a déjà oublié que Gidéon lui a brisé le cœur. Alors Gwendoline repose le téléphone... Le téléphone bipe et Gwendoline le reprend aussitôt pour écouter le message de Gidéon : c’est urgent, il a les mémoires du Comte Saint-Germain car Paul les lui a données, Gwendoline doit vraiment faire attention, n’en parler à personne et le rappeler. Alors Xémerius la gargouille fait un signe à Gwendoline, qui refaire la caisse en bois contenant le chronographe volé par Lucy et Paul – et la range dans son placard.
Pendant ce temps, se tient une réunion extraordinaire au siège du Cercle. Or Whitman vient de s’autoproclamer grand-maître et il est interpellé : où se trouve William de Villiers, le précédent grand-maître qui était censé les guider ? Whitman ne répond rien et fait un signe en direction de l’entrée de la grande salle – car justement, William de Villiers fait son entrée et explique que le Comte Saint-Germain vient de personnellement choisir Whitman comme nouveau grand-maître, tandis que William de Villiers se chargera désormais de leurs relations avec les marchés financiers internationaux.
William de Villiers sert alors la main de Whitman puis lui remet une enveloppe cachetée, que Whitman fait immédiatement passer à son voisin de droite. Puis Whitman déclare qu’ils doivent veiller à ce que le Rubis (Gwendoline) et le diamant (Gidéon) remplissent leur grande mission – ils ne doivent prendre aucun risque supplémentaire, donc surveillance continue de la sphère privée. William de Villiers précise qu’ils comptent sur l’aide de Scotland Yard et du Ministère de l’Intérieur. Et il ajoute que ceux qui ne sont pas avec eux sont contre eux : ils doivent se tenir prêts pour l’avènement d’une ère nouvelle et meilleur – finances, médias, soins médicaux. Le temps presse : l’ascension de l’aigle est imminente... Sur ce tous les membres de la réunion se lèvent et concluent par une devise en latin : Vita Sit In Aeternitem ( ? La vie s’inscrit dans l’Éternité).
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Thunderbirds Are Go S01E22: Designated Driver (2015)
Traduction du titre original : Chauffeur désigné.
Diffusé en Angleterre sur ITV UK le 26 décembre 2015.
Diffusion en France le dimanche 24 janvier 2016 à 18 heures sur Canal J.
Sortie du DVD anglais annoncée pour début 2016 (pas de version française)
De Rob Hoegee. Avec Rasmus Hardiker, David Graham, Rosamund Pike, Sylvia Anderson, Bob Golding, Simon Greenall.
D'après la série télévisée de Gerry et Sylvia Anderson. Effets spéciaux, images de synthèses et maquette de Weta Workshop.
Alan s’est encore endormi sur son tapis. Il est réveillé en sursaut par Scott, qui veut qu’il s’habille en embarque avec lui dans le Thunderbird 1 car ils ont une urgence. Embarqué, Alan s’imagine déjà à avoir à sauver la planète d’un météore, Tokyo d’un tremblement de terre qui aurait enseveli le métro, ou encore une centrale atomique dont l’un des réacteurs serait entré en fusion – mais Scott lui répond qu’il s’agit de quelque chose de plus important que toutes ces choses…
Mais à la stupéfaction d’Alan, ils atterrissent devant la luxueuse propriété de Lady Penelope, et quand ils se présentent à la porte d’entrée, dont les heurtoirs sont l’effigie du petit chien de Lady Penelope, c’est Parker qui leur ouvre, et annonce que le jour est venu pour Alan d’apprendre à conduire.
Scott reparti avec le Thunderbird 1, Alan demande à Parker s’il est sérieux. Parker est sérieux au point d’avoir prévu une casquette de chauffeur comme la sienne pour Alan. Par ailleurs, Parker a appris à conduire à tous les frères d’Alan, ainsi qu’au père d’Alan, et à tout les frères de son père, et à son grand-père, et à tous les pères Tracy… Enfin, presque, Parker n’est pas si vieux. Alors Alan s’esclaffe et demande à Parker s’il apprend aussi le parking. Parker rappelle à l’ordre Alan : il ne faut pas se moquer de l’école de conduite de Parker.
C’est alors que Lady Pénélope sort de la maison avec son petit chien et rappelle à Parker qu’elle lui a interdit d’enseigner à Alan tout ses coups en douce : pas de course-poursuite, de manœuvre d’évasion… Or, c’est justement ce qui intéresse Alan. Parker reconnait cependant que Lady Penelope a raison : Alan doit d’abord apprendre les bases. Lady Penelope signale alors à Parker que Lady Silvia, la grand-tante de Lady Pénélope, viendra cet après-midi prendre le thé, ce qui semble beaucoup réjouir Parker.
Mais Alan intervient pour demander à Parker quelles bases il va apprendre : lancer des fumigènes, déployer les ailes de la voiture, balancer de l’huile sur la route ? Parker détrompe alors Alan : personne ne conduit la FAB 1 à part Parker, car de toute manière, tous ses élèves ne conduisent qu’une seule voiture – la FAB zéro, qui date d’avant la naissance d’Alan. Alan est indigné, c’est pratiquement une antiquité ! Parker répond alors que ce qui a été bon pour ses frères sera bon pour Alan. Par ailleurs, il se trouve que Parker aime les antiquités, par exemple Lady Sylvia.
Première leçon : comment ouvrir la porte. Alan appuie sur un bouton, et la porte s’ouvre. Seconde leçon, comment fermer la porte. Alan appuie sur le même bouton, et la porte se referme. Comment soulever sa casquette. Alan soulève sa casquette. Et la leçon la plus importe de tous, comment s’adresser à sa passagère. Parker se lance alors dans une imitation de Lady Pénélope, que surprend Lady Pénélope – laquelle, pour se venger et ajouter un cachet d’authenticité à la prestation de Parker, lui confie son petit chien.
Une fois dans la voiture, Parker rappelle à Alan que la vitesse est limité à 5 miles par heure, ce pourquoi ils roulent au pas. Puis Parker explique à Alan ce qu’est une pédale de frein… Et tandis que la FAB zéro s’éloigne, Lady Pénélope, très nerveuse, accueille Lady Sylvia, qui veut absolument parler affaire et n’arrête pas de réclamer le thé, même après cinq tasses, ce qui commence à inquiéter Lady Pénélope. Lady Sylvia déclare alors qu’elle veut bien entendre parler de la vie trépidante de Lady Pénélope si celle-ci ne veut pas entendre parler de thé. C’est alors que deux voleurs fracassent la fenêtre et mettre les deux femmes en demeure de leur remettre tout ce qui a de la valeur dans la maison.
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Second Chance S01E01: A Suitable Donor (2015).
Autres titres : The Frankenstein Code, Looking Glass.
Diffusé en avant première aux USA le 25 décembre 2015 sur FOX US.
Diffusion annoncée aux USA le 13 janvier 2016.
De Rand Ravich, d'après Frankenstein (1818), le roman de Mary Shelley ; avec Robert Kazinsky, Dilshad Vadsaria, Adhir Kalyan, Ciara Bravo, Tim DeKay.
Pour adultes et adolescents.
Que feriez-vous avec une seconde chance ? Avand de répondre, laissez-moi vous donner un conseil : les secondes chances peuvent être de véritables monstres.
Seattle, USA, trois mois plus tôt. Un homme en costume cravate – Duval Pritchard – frappe à la porte de l’appartement 306. La voisine le prévient qu’elle va appeler la police à cause de la musique qui tourne en boucle, mais Duval lui répond que ce ne sera pas nécessaire, mais comme la voisine insiste, Duval lui montre son badge du FBI (la police fédérale américaine), ce qui la fait taire.
Duval finit par utiliser ses clés pour entrer dans l’appartement : il annonce alors à son père, le vieil homme avachi en robe de chambre dans le fauteuil en cuir du salon, que les voisins commencent à se plaindre du bruit. Celui-ci ne répond rien, et Duval va arrêter le tourne-disque. Puis comme le vieil homme – Jimmy Pritchard – a une cigarette à la main, Duval la lui prend et Jimmy répond enfin qu’il s’amusait beaucoup plus avant son arrivée. Ce à quoi Duval répond qu’il est trois heures de l’après-midi et demande à Jimmy s’il compte s’habiller ce jour-là. Jimmy répond qu’il va y réfléchir. Duval remarque alors les coupures de presse sur la table et demande à son père de quoi il s’agit. En fait, Jimmy travaille sur l’une des enquêtes de Duval – six attaques de banque, un garde tué et personne encore en prison, et selon Jimmy, à son époque, ils auraient fait ce qui était nécessaire d’être fait.
Ils sont interrompus par le bruit de la chasse d’eau des toilettes, et Duval, surpris, demande à son père s’il y a quelqu’un d’autre dans la maison, ce que Jimmy confirme : une jeune femme blonde et souriante sort des toilettes, annonçant qu’elle était sur le point de partir. Jimmy la présente à son fils comme étant Bettina – soit-disant membre de son club d’amateurs de musique. Selon Jimmy, ils se voient une fois par semaine. Bettina dit alors à Duval de ne pas s’inquiéter : son père est trop vieux pour faire grand chose de n’importe quoi. Ce à quoi Duval répond qu’en conséquence ce pas grand-chose ne devrait pas lui avoir coûté très cher. Jimmy interdit alors à Bettina de répondre à Duval, car selon lui, il est impoli de parler d’argent, et son fils devrait le savoir. Jimmy rappelle alors à Duval de ne pas être grossier, et Bettina s’en va en disant à Jimmy qu’il sait où la trouver.
Et comme Bettina ouvre la porte, elle se retrouve nez à nez avec une jeune fille, à laquelle elle demande si elle est aussi là pour le club des amateurs de musique, et la jeune fille ne comprend pas de quel club Bettina parle : il s’agit en fait de Gracie, la fille de Duval et petite-fille de Jimmy. Comme Duval rappelle à Gracie qu’elle devait rester dans la voiture, Gracie répond qu’elle voulait saluer son grand-père. Comme Gracie demande qui était Bettina, son père lui demande de vider dans l’évier ce qui reste de Bourbon dans la bouteille posée sur la table à côté de son grand-père. Gracie demande alors à son grand-père s’il se rappelle de ce que le médecin à dit à propos de mélanger ses médicaments avec du Bourbon. Jimmy répond qu’il a dû renoncer à l’un des deux, mais ne se souvient pas duquel.
Puis Jimmy demande ce que sont devenus ses autres disques, et Duval répond qu’ils sont dans des cartons, car ils ont dû déménager sa maison après la mort de la mère du Duval. Ils sont désormais au grenier, il les descendra à son retour. Gracie rappelle alors à son grand-père qu’elle et Duval vont passer deux jours à visiter la future université de Gracie. Jimmy reproche alors à Duval d’avoir du temps pour faire cela. Duval réplique qu’il s’agit seulement de deux jours avec sa fille et qu’il y a droit. Comme Gracie doit s’en aller avec son père, la jeune fille dit à son grand-père qu’elle lui a laissé un peu de Bourbon dans un verre à côté de l’évier et qu’il sera toujours le Sherif à ses yeux, ce à quoi Jimmy répond qu’il ne faut pas qu’elle le répète car Duval n’aimerait pas entendre cela.
Dans les couloirs de la société de haute technologie Looking Glass (le verre miroir), Otto roule à trottinette jusqu’au bureau de sa sœur jumelle, Mary. Celle-ci la convoqué parce que le conseil d’administration veut savoir ce que le jeune homme fait avec son budget. Otto répond que son traitement expérimental a fonctionné avec les poissons et qu’il voudrait passer à l’expérimentation humaine. Sa sœur lui rappelle qu’il doit d’abord passer par l’expérimentation sur les souris, les rats, puis les chimpanzés. Mais Otto répond qu’ils ne peuvent pas attendre : Mary est trop malade. Otto rappelle que les poissons étaient morts et qu’ils ont réussi à les ramener à la vie.
La nuit suivante, Jimmy s’est rendu dans la villa de son fils pour récupérer ses disques. Il commence par faire un raid sur les alcools, puis trouve les cartons dans la pièce où ils sont entreposés. Il en ouvre un et tombe sur un exemplaire du journal The Seattle Citizen, qui fait sa une sur la démission du Shérif Prichard après avoir fabriqué des preuves et fait pression sur un témoin – illustrée par une photo de Jimmy encore en uniforme. Jimmy soupire mais trouve ses disques 33 tours dessous. Comme il referme le carton et veut le soulever, le vieil homme entend un bruit suspect dans la maison. Puis un autre.
Jimmy récupère un couteau de combat dans un autre carton, et comme il ouvre la porte du bureau de son fils, il découvre un homme avec une lampe torche et des gants de plastique bleus en train de fouiller. Jimmy interpelle l’inconnu, lui demandant ce qu’il fait là. Comme l’autre ne répond pas et lui braque la torche dans les yeux, Jimmy menace de lui lancer le couteau, sans remarquer que derrière lui, un autre homme lui braque son pistolet automatique sur la tempe. Le premier cambrioleur dit alors à l’autre de ne pas le faire – et l’autre cambrioleur sonne Jimmy avec son pistolet. Comme Jimmy s’écroule à terre, l’autre cambrioleur, qui semble être le chef, se fait confirmer qu’ils ont trouvé ce qu’ils étaient venus chercher, et ordonne au premier de nettoyer les lieux pour laisser l’impression que rien n’était arrivé. Comme Jimmy leur dit d’aller en arrière, le chef lui répond qu’il a une meilleure idée.
Les deux criminels ont emmené le vieil homme sur un pont. Le chef explique à Jimmy le scénario : le vieil homme était trop déprimé, avait trop bu – et il l’arrose d’alcool. Et le chef remarque qu’après tout ce que sa famille lui a fait enduré, il est lui-même surpris que Jimmy ait mis autant de temps à se suicider. Puis il ordonne à son complice de faire passer Jimmy par-dessus le bord, et comme l’autre hésite, le chef rappelle que Jimmy a vu leurs visages. Comme le complice empoigne Jimmy par le col, le vieil homme lui dit que son fils les attrapera. Le complice répond à Jimmy que cela ne sera pas le cas. Puis il jette Jimmy Pritchard par-dessus la rembarde, et Jimmy voit toute sa vie défiler sous ses yeux.
Le lendemain matin, la police a retrouvé le corps de Jimmy et l’affaire est effectivement classée comme un suicide. Le même jour passe un reportage sur Otto et sa sœur jumelle Mary : à l’âge de 4 ans, Otto était incapable de communiquer avec le monde. Il s’est alors inventé un langage de 3000 mots que seule sa sœur était capable de comprendre, et c’est elle qui désormais communiquait pour lui. Otto donna alors à Mary l’algorithme de Looking Glass (le verre miroir), que Mary utilisera ensuite pour construire un géant des réseaux sociaux valant 10 milliards de dollars, avec un milliard d’utilisateurs.
Et alors que Mary est en cours d’interview, Otto lui envoie un message lui demandant d’approuver le test de son traitement expérimental sur un donneur potentiel qu’il vient de détecter. Cependant, d’après Arthur, son assistant informatique, Mary refuse toujours les tests sur l’être humain et Otto ne comprend pas : c’est le seul espoir de survie de Mary que de lancer les tests dès à présent. Otto demande alors à Arthur combien de temps il faudra à Mary pour rentrer de New-York. Et comme Mary doit rester encore un jour là-bas, Otto ordonne à Arthur d’échanger les numéros d’identification et de lui faire livrer le corps. Et immédiatement, sur l’écran de l’ordinateur de la morgue, le corps de James Pritchard né le 18 août 1939 et décédé le 5 décembre 2015 change de numéro d’identification pour se retrouver dans une cuve du laboratoire d’Otto.
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Into The Badlands S01E06: Hand of Five Poisons
Traduction du titre original : Dans les Mauvaises Terres : La main aux cinq poisons
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Into The Badlands (2015)
Diffusé aux USA le dimanche 20 décembre 2015 sur AMC US.
De Alfred Gough et Miles Millar ; avec Daniel Wu, Aramis Knight, Emily Beecham, Sarah Bolger, Orla Brady, Marton Csokas, Ally Ioannides, Madeleine Mantock, Benjamin Papac, Mike Seal, Oliver Stark.
Pour adultes.
La place fortifiée du Baron Quinn. Un vrombissement de moto – Sunny s’en va sur la longue route bordée des champs de pavot. Arrivé au bord d’un fleuve, il descend de sa moto, un sac en toile de jute ensanglanté à la main, contenant un objet rond. Il va à la rencontre de deux soldats en armure noire armés de sabre qui attendent devant un bac.
Ayant pris le bac jusqu’à un cargo, Sunny jette le sac ensanglanté sur la table chargée de dossiers d’un homme à gilet violet occupé à faire ses comptes – le Roi de la Rivière. et déclare que c’est le paiement que l’homme avait réclamé. Le Roi de la Rivière se lève, sort la tête décapitée du sac et prend une affichette où se trouve dessiné le portrait de MK pour comparer le dessins avec la tête du jeune homme. Le Roi demande alors à Sunny ce qui est arrivé à l’oreille de MK. Puis il demande si Sunny est sûr de l’identité du décapité. Sunny hoche la tête puis répond que MK a confessé son crime avant que Sunny le clippe.
Le Roi de la Rivière sourit et repose la tête sur sa table. Sunny déclare alors qu’ils ont besoin de quitter les terres du Baron Quinn le soir même. Le Roi s’étonne : il n’avait pas réalisé que c’était Sunny qui dictait les conditions désormais…
Sunny insiste : ils avaient un accord. Le Roi de la Rivière répond qu’il n’est pas en train de lui faire faux-bond. Puis ajoute qu’ils lèveront l’ancre à minuit – et que Sunny ne soit pas en retard : le Temps et la Marée n’attendent personne, même pas Sunny.
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