SurrealEstate, la série télévisée de 2021

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 16 juillet 2021

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SurrealEstate (2021)
Traduction du titre : Immobilier surréaliste.
Autre titre : The Surrealtor. (l'agent immobilier surréaliste).

Une saison de 10 épisodes de 43 minutes chaque environ.

Diffusé aux USA à partir du 16 juillet 2020 sur SYFY US.

De George Olson ; avec Tim Rozon, Sarah Levy, Adam Korson.

La nuit, une jeune femme seule dans une grande maison isolée feuillette un livre médical illustré d'images autopsies quand soudain... Et sans même avoir eu besoin d'appeler Ghostbuster, l'agent immobilier Nick Roman frappe à sa porte et l'encourage fortement à faire appel à son agence : en effet, lui et une équipe de spécialistes d'élite traitent les cas que personne d'autre ne peut traiter : les maisons hantées et possédées qui font littéralement fuir les acheteurs potentiels, et jamais elle n'arrivera à revendre cette maison, en grand péril de perdre toute valeur sur le marché de l'immobilier américain, ce qui serait la véritable tragédie (NDR, je n'enjolive pas).

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Schmigadoon, la série télévisée musicale de 2021

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 16 juillet 2021

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Schmigadoon (2021)

Diffusé sur APPLE TV+ à partir du 16 juillet 2021.

De Cinco Paul et Ken Daurio, inspiré du film et de la comédie musicale Brigadoon 1947 ; avec Cecily Strong, Keegan-Michael Key, Alan Cumming, Fred Armisen, Kristin Chenoweth, Aaron Tveit.

Pour adulte et adolescents.

Le couple de Melissa et Josh bat de l’aile, aussi tentent-ils un voyage « en amoureux » pour ranimer la flamme. Heureusement ou malheureusement pour lui, ils franchissent le pont magique menant à Schmigadoon, un village enchanté qui pour l’éternité vit dans les décors acidulés et dans le caractère d’une comédie musicale des années 1940. Alors que Mélissa cherche seulement les toilettes, ils sont accueillis comme il se doit par un ballet chanté.

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Fear Street part 3 : 1666, le film de 2021

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 16 juillet 2021

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Fear Street, part Three: 1666(2021)
Traduction du titre : la rue de la peur, troisième partie 1666.

Diffusé à partir du 16 juillet 2021 à l'international sur NETFLIX FR / INT.

De Leigh Janiak (également scénariste), sur un scénario de Kate Trefry et Phil Graziadei, d'après les romans du même nom de R. L. Stine. Avec Kiana Madeira, Ashley Zukerman, Gillian Jacobs, Olivia Scott Welch, Benjamin Flores Jr., Darrell Britt-Gibson

Pour adultes.

(slasher / horreur fantastique, presse) Grâce au récit de Ziggy, Deena retrouve la main coupée de la sorcière enterrée au pied de l'arbre qui occupe désormais le centre du centre commercial, et ramène la main coupée sur la tombe de la sorcière "accidentellement" découverte dans la forêt. Mais au lieu de stopper la "malédiction", Deena se retrouve projetée en 1666 dans le corps de la sorcière elle même, Sarah Fier, quelques jours avant sa pendaison. Et bien figurez-vous que cette petite communauté protestante du 17ème siècle parle exactement comme les américains mal élevés des années 1990 (ou plutôt 2020, on ne parlait pas comme ça dans les années 1990) et la moitié sont noirs de peau comme si les protestants fuyant les guerres de religion européennes auraient pu venir d'Afrique noire, tout en ignorant tout de l'esclavage ou du racisme, et tout des indiens d'Amérique, qui sont comme littéralement effacés par le révisionnisme woke des années 2020. Mais la fête ne fait que commencer, car quelqu'un qui s'apprête à sacrifier à tous les démons de l'Enfer une poignée de membres de la communauté semble ignorer les bases les plus élémentaires de la sorcellerie, de la possession démoniaque et de comment une âme pure pourrait bien être cédée aux démons en question (un indice, les scénaristes du Shining de Kubrick avaient fait leur devoir, eux).

Revenue de sa vision, Deena a tout compris de sa leçon woke : tout ira pour le mieux et les tueurs en série partiront en fumée si elle tue suffisamment de riches blancs pour s'emparer de leurs maisons et de leurs richesses : les pauvres chéris, ils n'étaient responsables de rien, c'est juste le méchant blanc qui a gravé leur nom...

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Belle, le film animé de 2021

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 16 juillet 2021

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Belle (2021)

Titre original : 竜とそばかすの姫, Ryū to Sobakasu no Hime, le dragon et la princesse aux tâches de rousseur.

Sorti au Japon le 16 juillet 2021.
Sorti en France le 29 décembre 2021.
Annoncé en blu-ray japonais le 20 avril 2022.
Sorti en blu-ray américain le 17 mai 2022.

De Mamoru Hosoda (également scénariste), avec Kaho Nakamura, Ryō Narita, Shōta Sometani, Tina Tamashiro, Lilas Ikuta, Kōji Yakusho, Takeru Satoh.

Pour adultes et adolescents.

U est une autre réalité. As est un autre soi-même. Dans la réalité vous ne pouvez jamais repartir du zéro, mais vous pouvez toujours le faire dans U. (chanté) « Allez, venez tout seul ou par millions, suivez le rythme, claquez vos talons, laissez votre cœur danser, plongez dans la mode, traversez en volant ce moment jamais raconté, jamais nommé et tendez vos mains pour attraper le croissant de la Lune, et si parfois je ne sais pas m’exprimer, je veux quand même te connaître. » Vous pouvez vivre comme un autre vous-même, vous pouvez commencer une nouvelle vie, vous pouvez changer le monde (NDR : un qui n’existe pas). (chanté) « Le temps n’attend personne ».

Une jeune fille aux cheveux noirs émerge de sous sa couette en nage, pour reprendre son souffle, étreignant un micro. Les oiseaux chantent dehors, le soleil brille par la fenêtre et quelqu’un l’appelle alors qu’elle est encore au lit : Suzu ! Quelqu’un qui se demande ce qu’il lui arrive. Elle répond rien du tout et tombe de son lit, faisant dégringoler tous ses livres.

Habillée, elle fait le ménage, se verse du thé, le boit assise sur le perron de sa maison isolée dans la montagne verdoyante, tandis que son chien finit sa gamelle. Un jeune homme aux cheveux noirs, pantalons gris, mocassins et tee-shirt bleu sort de la maison et demande s’il veut qu’il la conduise quelque part. Elle refuse. Il lui demande si elle veut sortir dîner. Elle ne veut pas. Résigné, le jeune homme lui dit à plus tard et s’en va dans sa grosse voiture.

Sur l’écran du smartphone de Suzu, le portrait stylisé d’une jeune fille aux cheveux roses et aux yeux fermés, sous-titré du mot « Bell ». Des phylactères défilent sur tout l’écran : Bell est la fille la plus hot de U. — Ses chansons sont uniques — Elle chante avec tellement de confiance en elle ! — Le plus gros score d’audience sur cinq milliards d’utilisateurs. — Qui est-elle?

La jeune fille assise sur son perron s’est figée. Son grand chien blanc relève la tête et gémit, inquiet. Elle soupire. Plus tard elle descend l’escalier de pierre pour rejoindre la petite ville au bord de la mer au bas des montagnes, puis la petite route. Elle franchit un pont, attend à l’arrêt de bus. Elle est seule dans le bus, arrive dans une gare. Ils sont trois dans le wagon. Il y a une fête dans son lycée ( ?) avec une fanfare féminine qui joue dans la cour sous un grand marronnier. Depuis une galerie en hauteur, Suzu regarde comme effarée la soliste saxophoniste jouer longs cheveux au vent tout en faisant les mêmes pas que le reste de la fanfare.

Suzu soupire : la soliste est si belle. La voisine revêche, tête baissée, yeux cachées par ses grandes lunettes, rétorque que Luka (la soliste ?) est la petite princesse de l’école. Deux autres filles plus loin dans la galerie s’extasient : des jambes longues et fines — qu’on dirait un mannequin professionnel !

La voisine intellectuelle de Suzu commente que les filles qui ne sont pas comme elle doivent être jalouse. Les deux admiratrices continuent : rien d’étonnant à ce qu’elle soit la chef de leur classe. — Elle attire les gens comme le Soleil. La voisine intellectuelle reprend : heureusement pour Suzu, elle est comme la face cachée de la Lune, celle qu’on ignore tout le temps. Suzu finit par répondre à l’intellectuelle – Hiro – d’arrêter de lui faire des réflexions. Mais Hiro n’a pas le temps de répondre : un grand dadais armé d’une pagaie — Kamishin — vient de faire irruption dans la cour pour faire la promotion du club de canoé. Suzu déclare alors que Kamishin est incroyable : il a ouvert tout seul le club de canoé. Et Hiro de rappeler que Kamishin en est le seul membre. Et pour parler gentiment, tout le monde pense que c’est un clown.

Puis les deux filles s’arrêtent pour admirer un joueur de basket ball marquer des paniers contre un autre plus grand et plus large que lui — comme des dizaines de filles massées aux fenêtres d’en face. Suzu fait remarquer qu’elle n’aurait jamais cru que Shinobu devienne un jour si grand. Hiro demande si Shinobu est l’un de ses amis d’enfance. Suzu avoue que Shinobu un jour l’a demandée en mariage. Hiro est très étonnée et demande des détails. Suzu explique qu’il lui a dit qu’il la protègerait. Ils avaient six ans. Hiro est déçue, c’était il y a des années de cela.

Suzu rentre chez elle : toute seule elle passe le pont alors que le Soleil se couche. Elle s’arrête et regarde l’eau rose qui rougeoie. Oui, il s’est bien passé quelque chose il y a de cela des années : un fleuve en cru a emporté sa mère sous ses yeux, alors que celle-ci voulait sauver une petite fille oubliée sur un banc de galets. Depuis elle se demande pourquoi sa mère l’a abandonnée sur la rive pour une étrangère.

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