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- Écrit par David Sicé
Batman Returns (1992)
Traduction du titre original : Batman revient.
Film Batman précédent <> Film Batman suivant.
Sorti aux USA le 19 juin 1992.
Sorti en Angleterre le 10 juillet 1992.
Sorti en France le 15 juillet 1992.
Sorti en blu-ray en France le 4 mars 2010.
Sorti en blu-ray aux USA le 20 avril 2010.
De Tim Burton, sur un scénario de Daniel Waters et Sam Hamm, d'après la bande dessinée de Bob Kane, avec Michael Keaton, Danny DeVito, Michelle Pfeiffer, Christopher Walken, Michael Gough, Michael Murphy, Andrew Bryniarski, Pat Hingle, Vincent Schiavelli, Paul Reubens, Diane Salinger, Doug Jones.
Pour adultes et adolescents.
Une grande maison cossue, à l’imposant portail où se lit en lettres d’or le nom de Cobblepot. Alors qu’il neige abondamment dehors, le père atteint la fin de l’accouchement. Alors le médecin sort, trop horrifié pour parler, tandis que retentissent les cris de la mère. Le père hurle en voyant le bébé. L’un des Noëls suivant, les Cobblepots noient leur chagrin dans leurs cocktails respectifs, tout en considérant la grosse boite noire aux barreaux de prison, que le petit occupant fait bouger. Leur chat s’approche, curieux, et le bras d’un petit garçon en sort pour l’attraper et lui briser la nuque. La décision des Cobblepots est prise : ils sortent dans la nuit faisant rouler leur poussette jusqu’à un petit canal au milieu d’un parc d’attraction délabré – et y jette la poussette, qui entraînée par le courant, dérive jusque dans le vaste réseau d’égoûts de Gotham City.
Noël, des années plus tard. Alors que les vendeurs de journaux crient dans la rue la nouvelle d’une apparition de plus du Pingouin, la cérémonie d’illumination du Sapin de Noël de la Ville de Gotham City est sur le point de commencer. D’une bouche d’égoût, un homme aux mains de pingouin assiste à toute la scène. Alors qu’un jeune marchand de journaux tente de vendre l’un de ses exemplaires, au majordome de Bruce Wayne, Alfred, le vieil homme répond que si parfois lire les journaux est une distraction, le plus souvent, c’est une perte de temps.
En haut de la tour du marchand de jouet, Max Shreck veut présenter son projet de nouvelle centrale à énergie pour laquelle il a besoin de permis. Pour le maire c’est une perte de temps, et il ne veut pas faire de passe-droit. C’est alors que la secrétaire qui servait le café, Miss Selena Kyle, interrompt la réunion pour faire une suggestion, ou plutôt poser une question. Mais elle hésite trop, et Max Shreck la fait taire en la complimentant pour son café. Entre alors Chip, le fils de Max Shreck, qui leur propose de descendre divertir les masses.
Restée seule, Séléna s’en veut de s’être montrée si timorée, tandis qu’en bas, le maire accompagné de Max Shreck et de son fils se rendent à la tribune devant le sapin de Noël. Après avoir lancé quelques cadeaux à la foule, Shreck s’apprête à faire son discours, mais il a oublié ses notes – et Séléna s’en aperçoit. Shreck improvise et prétend souhaiter la Paix dans le monde et l’amour, empaqueté dans un gros cadeau. Alors l’homme caché dans la bouche d’égoût répond pour lui-même que Shreck Senior peut très bien réaliser son souhait. Arrive alors un gigantesque cadeau sur roues, qui surprend tout le monde. Le couvercle saute et en jaillissent au milieu des serpentins et confettis, des voyous armés qui sèment la panique, tandis qu’un accordéoniste avec un singe sur l’épaule et un orgue de barbarie en bandoulière mitraille le haut de l’arbre de Noël et réclame le « grand chef ».
D’une voiture de police, le commissaire Gordon ordonne que l’on allume le Bat-Signal – et du haut de sa colline, dans un vaste salon obscur, Bruce Wayne qui attendait, lève les yeux tandis que l’ombre de la chauve souris est projetée à travers ses fenêtres sur son mur. Pendant ce temps, Chip Shreck s’est interposé et crie à son père de s’enfuir. Max Shreck hésite, puis s’en va. Arrive alors la Bat-Mobile, dispersant les voyous. Séléna Kyle, qui était descendue apporter son discours à son patron, se fait prendre en otage par l’un des clowns-bandits. Batman sort de sa voiture et la sauve, mais ne lui laisse presque pas le temps de le remercier. Séléna, remarque que tout cela fut bref, comme avec tous les hommes de sa vie, sauf peut-être son agresseur, mais lui a besoin de suivre une psychothérapie… Elle ramasse alors ses papiers – et le TASER du clown, et tase son agresseur inconscient, juste pour voir le résultat... Pendant ce temps, le commissaire Gordon remercie Batman, mais ils n’ont pas encore retrouvé Max Shreck…
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- Écrit par David Sicé
Timescape (1992)
Traduction du titre original : Un paysage du Temps / Avec vue sur le Temps.
Autre titre : Grand Tour, Disaster In Time (Superbe excursion : désastre à travers le Temps)
Sorti aux USA le 9 mai 1992.
Sorti en DVD français le 17 février 2010 (format 1.33:1, français et anglais DD 2.0, image médiocre, son correct)
De David Twohy (également scénariste), d'après le court roman Vintage Season (1946) de Henry Kuttner et C.L. Moore (Lawrence O'Donnell) ; avec Jeff Daniels, Ariana Richards, Marilyn Lightstone, Emilia Crow, Mimi Craven, David Wells, Nicholas Guest, George Murdock.
Pour adultes et adolescents.
Un cheval galope dans la neige épaisse, tirant une calèche. Sur une route, une jeune femme conduit une voiture qui passe sous un pont couvert. À la sortie du pont couvert, la calèche arrive sur la route, le cheval rue face à la voiture et en retombant, ses sabots traversent le pare-brise et tuent la passagère.
Ben Wilson, veuf, se réveille en sursaut après s’être assoupi sur son canapé après avoir trop bu. Le lendemain, Wilson conduit sa fille Hilary au lycée de Greenglen, lui faisant réviser sa leçon d’histoire : début de la première guerre mondiale ? 1914, quand un type australien s’est fait assassiné. Pas australien, corrige Wilson, autrichien. Le krach boursier du jeudi noir ? 29 octobre 1929. Le procès de Scopes ? 1925 au Tennessee… à ce point, Wilson soupçonne sa fille de voir à travers ses cartes-mémoire. Puis il propose la date du 7 décembre 1941, pensant que cette fois, elle ne trouvera pas, mais pour Hillary , c’est facile, c’est la date de Pearl Harbour. 3 janvier 1959 ? L’Alaska devient le 49ème état membre. 6 juillet 1954 ? Hillary ne trouve pas et pour cause, c’est la date de naissance de son père.
L’église locale. Un automate va pour frapper la cloche mais se coince avant. Ailleurs, à l’extérieur de la ville, l’auberge en rénovation de Ben Wilson : un autobus vient s’arrêter sous les fenêtres des Wilson, occupés à repeindre. Débarque une curieuse Mme Hillary , qui demande combien de chambres ils ont, et s’en va explorer l’hôtel. Wilson finit par l’arrêter, rappelant que l’hôtel est fermé. Elle finit par entrer dans une chambre et déclarer que la vue sur la ville est superbe. Mme Hillary demande alors le prix pour trois nuits et cinq chambres. Wilson lui propose alors d’aller plutôt à l’autre hôtel, qui est en ville, mais Mme Iovine refuse catégoriquement et insiste : le prix de Wilson sera le sien. Hillary propose alors d’aider à donner un coup de balai, et le bus klaxonne : le chauffeur veut savoir s’il peut décharger les bagages.
Wilson finit par accepter mais rappelle que si Iovine et ses amis restent à son hôtel, ils ne devront pas se plaindre du manque de confort. C’est alors que Wilson remarque à quel point les amis de Mme Iovine ont l’air bizarre – tous très grands et minces, impeccables, lunettes noirs, sans un mot, ils se dirigent en fil indienne vers l’entrée de l’hôtel, abandonnant leurs bagages au chauffeur, comme s’ils se fichaient de tout. Résigné, le chauffeur commence à monter les bagages, tandis que Wilson débarrasse les cartons des couloirs, et Hillary se dépêche de passer un coup de balai pour enlever tout ce qui traîne par terre.
Dans les étages, Mme Iovine répartit les chambres. Le chauffeur veut laisser les bagages à l’entrée mais Iovine l’appelle lui demandant d’aller à l’étage. L’un des invités, essaie en vain d’allumer un plafonnier, alors Wilson intervient : c’est l’ampoule, il va la changer. Wilson se présente, l’autre, qui semble un peu perdu, répond s’appeler Spall. Wilson demande s’ils ont fait bon voyage, et Spall répond que leurs voyages sont toujours un peu long. Wilson demande alors d’où ils arrivent. Spall hésite, puis répond qu’ils arrivent du sud de la Californie.
Le soir, Wilson et Hillary se précipitent à l’église, mais quand Hillary pose la main sur la porte, la marche nuptiale se fait entendre, et Hillary se lamente que la cérémonie a déjà commencé. Wilson répond alors que ce n’est pas grave : ils seront les premiers à la fête qui suit. Là-bas, Wilson discute avec le pasteur de la cloche de l’église qui est en panne depuis dix ou douze ans. Il est interrompu par Hillary qui veut de l’argent pour la jarretière. Le pasteur voudrait que Wilson fasse un devis pour réparer la cloche.
Puis, visiblement ivre, le père de la mariée, le Juge Cardwell, arrive, proposant à Wilson de l’aider à rénover son hôtel en prenant tout ce qu’il veut dans son magasin, car après tout, il est de la famille. Le pasteur est surpris car il ne savait pas que le juge et Wilson étaient de la même famille. Wilson précise que le juge est le père de Carolyne, la femme de Wilson morte il y a quelques années de cela dans un accident de voiture. Cardwell prend alors à parti Wilson : comment a-t-il pu oser se présenter à la fête ? Wilson préfère partir avec sa fille plutôt que de confronter Cardwell, qui clame alors haut et fort que Hillary mériterait un autre père. Puis Cardwell sort à son tour pour interpeller Wilson : quel genre de mari oserait abandonner sa femme en train de mourir ? Hillary revient alors sur ses pas pour demander à Cardwell ce qu’il faut faire pour qu’il laisse tranquille son père, mais quand Cardwell s’approche d’elle en disant que plus elle grandit, plus elle ressemble à sa mère, Wilson l’appelle et Hillary s’empresse de le rejoindre.
Alors qu’ils se sont installé sur le capot de leur 4x4, Hillary s’émerveille de la quantité d’étoiles filantes dans le ciel. Puis elle demande à son père quel était la musique que sa mère jouait sans arrêt au piano. Hillary ne veut pas entendre d’explication quand à ce que raconte son grand-père. Puis Hillary aperçoit le chauffeur endormi dans le car. Wilson ne veut pas qu’ils le réveillent, et ils montent se coucher. Wilson finit par dire à Hillary que le morceau au piano était la Lettre à Élise, et après avoir joué les premières notes sur le piano au rez-de-chaussée, Wilson remonte l’escalier et entend alors Mme Iovine parler : elle affirme que leur séjour à l’hôtel Wilson sera l’un de leurs plus beaux voyages : le site est remarquable, et elle promet un spectacle proprement fantastique.
Puis l’attention de Wilson est attiré par des sortes de pleurs de femme, et il s’approche d’une autre chambre, dont la porte a été remplacée par un rideau de plastique. L’un de ses clients écarte alors brutalement le rideau, et Wilson s’excuse, confus, prétendant avoir senti une odeur bizarre. Impassible, le client demande à Wilson quel genre d’odeur il a senti : de la fumée, une odeur de fumée assez douce. Le client répond alors que c’est du thé. Puis il s’en va. Wilson distingue à travers le plastique les jambes de la cliente blonde, qui était renversée sur le lit, et effectivement, elle se lève pour boire un thé, qui fume un peu trop et commence à se masser sensuellement le décolleté à l’huile. Wilson quitte alors les lieux, honteux.
Wilson est réveillé au milieu de la nuit par un coup de sonnette, mais c’est Mme Iovine qui s’est précipité pour ouvrir : c’est l’un de ses clients, Monsieur Quish, qui est en retard comme à son habitude. Quish est couvert de cendres, et déclare l’architecture de l’hôtel très intéressant, ne réalisant même pas que Wilson lui tendu la main. Mme Iovine insiste alors sur le fait que Wilson est le propriétaire des lieux et réside avec eux. Puis elle demande à Quish comment s’est passé son voyage. Il répond que son voyage s’est déroulé absolument parfaitement. Wilson, très surpris, réalise alors que Quish ne sait pas nouer ses lacets de chaussures. Alors Mme Iovine relève Quish, désirant l’emmener dans sa chambre pour qu’il prenne un bain et que Wilson puisse se reposer.
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Netherworld (1992)
Titre français : la main des ténèbres.
Traduction du titre français : Le monde inférieur.
Sorti en VHS et DVD ? aux USA le 6 février 1992 ;
Sorti en blu-ray américain le 11 juillet 2023.
De David Schmoeller (également scénariste), d’après un scénario de Charles Band (également producteur) avec Michael Bendetti, Denise Gentile, Holly Floria, Robert Sampson, Holly Butler, Alex Datcher.
Pour adultes.
(horreur fantastique, démon) La nuit. Un homme repose un verre presque vide sur une table à côté d’une petite bouteille à demi pleine. La bouteille explose : un homme mal rasé et chauve vient de tirer dessus au révolver alors que nous sommes dans un bar nommé chez Tonk, s’il faut en croire l’aigle de néon au-dessus du comptoir.
La salle du bar elle-même est animée par un petit orchestre qui fait danser les clientes sur un plancher que les poules et un serpent arpentent en toute liberté, et la terrasse du bar sur pilotis donne directement sur le bayou.
Un adolescent en chemise et jeans se faufile à l’intérieur du bar et s’arrête visiblement impressionné. Une des femmes vient le trouver pour lui demander s’il est perdu, et le garçon répond en hésitant à peine qu’il vient pour en profiter. La femme lui répond que s’il n’est pas capable d’articuler ce qu’il veut, il aura du mal à en profiter. Et d’ouvrir en souriant la braguette du garçon. Et elle insiste pour que le garçon dise clairement ce qu’il veut. Le garçon finit par répondre qu’il veut coucher. La jeune femme exulte et l’invite à la suivre.
Dans l’escalier qui descend, elle demande au garçon si c’est sa première fois, et il assure que non, qu’il l’a fait des tas de fois. Elle corrige : sa première fois chez Tonks. Et le garçon confirme, mais comme il l’appelle « Madame », elle lui demande de ne pas le faire, l’appelant « mon sucre ». Le garçon demande comment il doit l’appeler alors, elle répond qu’elle s’appelle « Marie Magdalène », et qu’il va adorer ce qu’elle a en magasin pour lui.
Elle s’arrête à l’entrée d’une chambre où est assise une fille habillée, coiffée et maquillée à la manière de Marylin Monroe dans Sept Ans de réflexion. La fille sourit au garçon. Mais l’attention du garçon est détourné par un genre de remue-ménage derrière une porte voisine sur laquelle quelqu’un a cloué une planche peinte avec les mots « Restez dehors ». Le garçon demande ce qu’il y a en bas, et Marie Magdalène répond qu’il n’est pas prêt pour ce qu’il y a en bas. Puis il regarde à nouveau la fausse Marylin, qui avec un gloussement ravi l’invite à entrer dans sa chambre.
Le garçon veut entrer mais Marie Magdalène l’arrête pour l’avertir : « elle » est spéciale, alors il devra être vraiment gentil avec elle. Et le garçon répond qu’il comprend, et se précipite pour entrer. La blonde passe son boa autour du cou du garçon et fait un clin d’œil à Marie Magdalène, qui va toquer à la porte suivante pour annoncer que c’est l’heure de sortir. Cette chambre là est utilisée par deux hommes et une autre blonde. L’un, barbu, entend le bruit qui vient de la porte défensdue, et annonce à l’autre qu’il va faire un tour. Il prend le couloir interdit. La première chambre est occupée par une femme jolie de corps mais très vieille de tête qui lui demande s’il veut du bon temps. Le barbu repart précipitamment tandis qu’un individu masqué ricane.
Le barbu tente de rebrousser chemin, mais s’est à l’évidence perdu. Il tombe cette fois sur la chambre d’une rouquine superbe qui a un oiseau chanteur en cage. La rouquine le félicite de son courage d’être arrivé jusque là : cela aurait pu être dangereux. Le barbu répond qu’il essayait juste de voir ce qu’il pourrait mater. La rouquine insiste alors pour qu’il entre dans sa chambre : peut-être qu’il aura de la chance ?
Le barbu entre, chemise ouverte, se touchant le ventre. La rouquine lui demande s’il sait chanter. Il répond que non. La rouquine répond que peut-être elle pourra lui apprendre à roucouler, comme à ses oiseaux. Puis elle lui demande s’il a de l’argent, et le barbu répond qu’il a tout dépensé à l’étage au-dessus. La rouquine déclare que c’est dommage et lui propose un échange. Le barbu répond qu’il n’a rien à échanger. La rouquine est presque fâchée : même pas son âme ? est-ce qu’il a aussi laissé son âme à l’étage ?
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- Écrit par David Sicé
SFX #2 (1992)
Sorti en France en janvier 1992 - 48 pages couleur et noir & blanc, 23F.
Il s'agit essentiellement d'articles américains extraits du magazine américain Cinefex traduits et avec nouvelle couverture, complété par deux articles du rédacteur en chef Alain Bielik, le tout édité depuis Aix-en-Provence. Les articles d'origine américaine étant excellents, c'est l'occasion pour le lecteur français d'accéder à une information jusque là plus couteuse et en anglais, voire inaccessible si les numéros de Cinefex en question étaient épuisés.
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Dossier
Terminator 2 (1991, Judgment Day)
Il s'agit de la traduction de deux articles déjà parus dans Cinefex de juillet 1991.
Le choc des Titans, ou comment images de synthèse, maquillage et animatronique se sont alliés pour donner vie à deux personnages aux propriétés physiques exceptionnelles - les images crées par ILM et Stan Winston (article de Jody Duncan). "Nous aurions pu réaliser presque tous les effets du film il y a déjà cinq ans, mais il nous aurait fallu alors cinq ans pour les faire (au lieu de une seule année)".
La guerre du Jugement Dernier, les effets visuels (miniatures et explosions) de Terminator 2
Naissance d'un mythe, par Alain Bielik : retour sur le premier film Terminator. Les citations de James Cameron sont extraites du magazine Cinefex d'avril 1985.
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Avant-première
Hook
Peter Pan revisité, par Alain Bielik.
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Filmographie
James Cameron
Denis Muren
Stan Winston
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Prochainement dans SFX
Annonce du numéro 3 d'avril 1992 avec poster de Hook en quatrième de couverture.
Hook
Le Festin Nu.
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