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- Écrit par David Sicé
Thunderbirds S01E03: The Perils of Penelope.
Traduction du titre original : Les périls de Pénélope.
Autre titre de la série : Les aventures de Lady Pénélope.
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Ici l'article de ce blog sur la série Les sentinelles de l'air (1965)
Diffusé sur ATV UK le 14 octobre 1965.
Diffusé en 1976 sur France 2.
Sortie en Blu-ray anglais le 15 septembre 2008 (Région B, anglais seulement, sous-titres anglais, lisible en France, recadré 16/9ème, format 4:3 non respecté, effets sonores améliorés).
Sorti en Blu-ray américain le 9 juin 2015 (Région A, anglais seulement, sous-titres anglais, image 4:3 format original respecté, effets sonores améliorés).
De Gerry Anderson et Sylvia Anderson. Avec Peter Dyneley, Sylvia Anderson, Shane Rimmer, David Holliday, David Graham, Ray Barrett, Christine Finn.
Comme l’annonce le poste de contrôle de la mission Solar, il reste 19 minutes avant le décollage de la fusée Sunprobe (Sonde Solaire) et tout le personnel doit donc quitter la zone de lancement. Le présentateur de la chaîne NTBS commente en direct l’évènement depuis Cape Kennedy… 15 minutes avant le décollage, les essais des réacteurs commencent. L’alerte Ambre est lancée – un bref klaxon. Puis, sans décoller, la fusée éjecte de la fumée de ses réacteurs – une poussée formidable, selon les mesures – l’essai est couronné de succès. Le commentateur de la NTBS précise que la nouvelle technologie de lancement n’est possible que grâce à un nouveau carburant, dont la formule est top secret. Il reste huit minutes avant le décollage lui-même, et la poussée des réacteurs atteint les 20 millions de livres.
Pendant ce temps, deux hommes observent le décollage à travers un hublot : le premier, Sir Jeremy rappelle que le nouveau carburant à base d’eau a été inventé par le second, Borinder. Borinder rappelle qu’il avait travaillé dix ans sur ce projet sans succès, jusqu’à ce que Sir Jeremy le rejoigne et le projet aboutissent. Puis, alors même que le présentateur de NTBS rappelle que c’est un moment historique, le compte à rebours final est lancé, et, réacteurs à pleine puissance, la fusée décolle. Le présentateur de NTBS souligne alors que le succès de ce décollage arrive à point nommé – deux jours avant la Conférence Internationale de Paris…
De nuit, sur une route de France, à 20 kilomètres de Paris : la FAB 1 de Lady Penelope roule, conduite par Parker. Ils ont rendez-vous avec nul autre que Sir Jeremy Hodge au Café Atalante à minuit – Sir Jeremy semble avoir des ennuis, or ce dernier les a aidé à former l’organisation secrète de la Sécurité Internationale en leur fournissant discrètement certains composants. Arrivé au Café, Lady Penelope retrouve Sir Jeremy, et s’extasie sur le romantisme de la ville. Sir Jeremy propose alors un toast à leur amitié et lui demande ce qu’elle veut boire : à Paris, toujours du Pernod ! Sir Jeremy commande alors le Pernod pour Madame et un Whisky-Soda pour lui-même.
Cependant à une table derrière Sir Jeremy, un homme aux cheveux gris et aux lunettes teintées de bleu se cache derrière son journal France-Soir, qui titre que deux nouvelles erreurs de groupe sanguin viennent d’être révélées. En attendant leurs consommations, Lady Penelope demande à Sir Jeremy pourquoi il fait tant de mystère – pourquoi ce rendez-vous à minuit ? Sir Jeremy demande alors s’il est sûr de parler à la jeune femme – si elle n’a pas été suivie. Lady Penelope affirme alors que personne ne l’a suivie, et personne ne sait qu’elle est à Paris, à part son chauffeur Parker. Satisfait, Sir Jeremy demande à Lady Penelope si elle connait son vieil ami le professeur Borinder – Lady Penelope confirme qu’elle connait le collègue de travail de Sir Jeremy, qui travaille comme ce dernier dans les laboratoires de la Recherche Internationale. Sir Jeremy révèle alors à Lady Penelope qu’il a envoyé Borinder deux jours auparavant en train pour qu’il se rende à la Conférence Internationale de Paris. Borinder est bien monté dans le train, mais arrivé à Anderbad, il avait disparu.
Lady Penelope interrompt leur conversation : le garçon de café français revient avec leurs consommations. Comme Lady Penelope porte un toast, l’un des phares de la FAB s’escamote, et se trouve remplacé par le canon d’un fusil longue portée, qui fait feu : le verre de Pernod explose dans la main de Lady Penelope. Parker – car c’était bien le chauffeur de Lady Penelope qui télécommandait l’arme, s’excuse alors dans le communicateur de Lady Penelope : la boisson était droguée !
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- Écrit par David Sicé
The Wild Wild West S01E04: The Night of Sudden Death
Traduction du titre original : L'Ouest très sauvage / L'Agent West, le déchaîné, la nuit de la mort soudaine.
Ici la page Amazon.fr du nouveau coffret DVD UNIVERSAL FR annoncé pour le 2 octobre 2024.
Ici la page Amazon.fr du coffret DVD saison 1 TF1 VIDEO FR de 2009.
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Ici l'article de ce blog sur la série Les mystères de l'Ouest (1965)
Diffusé aux USA le 8 octobre 1965 sur CBS US.
Diffusé en France le 23 avril 1967 sur ORTF 2 FR.
Sorti en France en coffret DVD français (anglais sous-titré français, l'épisode est censuré par l'ORTF parce que le méchant est français...).
De Michael Garrison, avec Robert Conrad, Ross Martin.
Pour adultes et adolescents.
La nuit à Carson City, dans la rue d’une imprimerie fédérale américaine. Un groupe de criminels acrobates masqués escaladent un réverbère à gaz, éteignent la flamme, branchent un tuyau sur l’arrivée de gaz. Puis ils escaladent en formant une échelle humaine le côté de l’imprimerie.
À l’intérieur de l’imprimerie, un garde fait remarquer aux deux ouvriers qu’ils travaillent tard… à faire de l’argent, faire de l’argent, répète le garde, qui à l’aide d’une perche ouvre l’une des fenêtres tout en haut de la salle. Puis le garde range la perche et sort de la salle. La fenêtre ouverte, un des criminels qui guettait fait signe à son comparse en hauteur sur la corniche qui mène à la fenêtre. Celui-ci introduit le tuyau tiré depuis le réverbère et utilise un dispositif pour l’envoyer plus vite dans l’atelier. Les ouvriers qui imprimaient les billets de banque s’écroulent.
Le criminel à la fenêtre descend dans l’atelier et va ouvrir à ses comparses, leurs bouches et leur nez couverts par un petit filtre. Le premier entré se rue sur les piles de billets et veut s’emparer d’une liasse, mais il est bousculé par le criminel descendu à la fenêtre, qui la lui fait jeter. Ils ouvrent la porte le garde qui leur dit de se dépêcher : ils n’ont que trois minutes avant l’arrivée de la relève. Le garde est alors assommé. Le criminel descendu par la fenêtre enlève son filtre, renifle, puis pose une bombe contre le tuyau du gaz d’éclairage de l’atelier. Il allume la mèche de la bombe et fait sortir son équipe puis remonte le long du mur jusqu’à la fenêtre ouverte et sort. La bombe explose.
Le lendemain, un comptable recompte les liasses de billets roussis, tandis qu’un expert examine le point de l’explosion. Il répond à l’agent James West qu’il ne peut s’agir d’une surpression du gaz d’éclairage. West demande alors ce qu’il a pu arriver selon l’expert et celui-ci déclare que quelqu’un a provoqué la rupture du tuyau et l’explosion. L’expert demande alors au comptable s’il manque de l’argent – et aucun des six millions de billets neufs ne manque. Entre Artemus Gordon, qui annonce que le troisième ouvrier est mort ce matin-là des suites de ses brûlures et du choc de l’explosion. West demande alors des nouvelles du garde, Foxx – il est toujours dans un état critique, et les médecins n’ont aucune idée de s’il s’en sortira.
West est alors appelé par Faul, un autre expert, qui n’a plus aucun doute sur ce qui est arrivé cette nuit-là : les plaques qui servent à imprimer les billets ne sont pas du bon alliage – le métal est rugueux alors que les plaques du gouvernement sont polies et lisses ; les plaques de l’atelier sont donc fausses. Examinant la plaque que lui tend Faul, Gordon déclare que le plan des criminels était vraiment malin : remplacer les vraies plaques par de fausses et tout faire sauter pour faire croire à un accident – et ils vont pouvoir imprimer des millions – des centaines de millions de dollars avec les vraies plaques – et cela ne sera même pas de la fausse monnaie, impossible à détecter. Cela pour détruire complètement l’économie américaine.
Plus tard en ville, une grande parade défile devant la foule. De son côté, West, une grosse valise à la main, se présente à la réception d’un hôtel et signe le registre. Le réceptionniste a alors une drôle d’expression, puis il annonce à West qu’il a la chambre numéro un, juste en haut des marches. Il s’excuse de ne pouvoir lui envoyer aucun groom pour monter ses bagages, car ils sont tous dehors à regarder la parade. West assure qu’il se débrouillera, et le réceptionniste le regarde gravir les marches, franchement inquiet.
West entre dans la chambre, dont la fenêtre donne directement sur la parade. Il dépose sa valise sur le lit, sans remarquer un individu cagoulé en équilibre au plafond dans le coin opposé à la porte, au-dessus d’un placard, vêtu du même costume noir que les criminels acrobates qui ont attaqué l’imprimerie. West se fige, puis va ranger comme si de rien n’était des chemises dans le premier tiroir d’une commode. Mais quand il va pour ouvrir le placard, le criminel lui tombe dessus et tente de l’étouffer en écrasant son torse entre ses cuisses. West est bien près d’étouffer quand il parvient à faire sortir le petit révolver dissimulé dans sa manche. Alors l’acrobate prend la fuite.
S’efforçant de récupérer, West entend alors quelqu’un monter quatre à quatre l’escalier – et c’est une femme brune qui ouvre précipitamment la porte. West la jette sur le lit : il l’interroge immédiatement sur l’identité de l’intrus, étant donné qu’elle est la seconde personne à lui tomber brutalement dessus. La femme répond qu’il n’y a pas de temps à perdre : West doit aller à l’hôpital pour parler au garde, parce qu’il a quelque chose à lui dire. West s’étonne : comment sait-elle à propos du garde, et qu’a-t-il à lui dire ?
La femme prétend alors que le garde est son père, insistant pour que West parte sur le champ pour l’hôpital. Puis elle affirme qu’elle doit rentrer chez elle avant qu’ « ils » ne remarquent son absence. Elle refuse de dire qui « ils » sont ; West demande alors qu’elle vienne avec lui à l’hôpital, mais elle répond que ce serait mettre sa vie en danger. West demande le nom de la jolie brune, qui prétend s’appeler Corinne. West jette alors un coup d’œil par la fenêtre – mais quand il se retourne, Corinne n’est déjà plus là.
Quand il arrive à l’hôpital, West trouve la porte bloquée, ce qui étonne le médecin : la porte n’a pas de serrure. West enfonce la porte d’un coup de pied – une chaise avait été placée contre la poignée de la porte pour bloquer son ouverture. Quelqu’un s’est enfuit par la fenêtre ouverte, et le médecin dégage Foxx, le garde de l’imprimerie, qui avait la tête emmailloté par un drap. Le médecin affirme que Foxx a eu le torse écrasé et agonise. West demande alors que le médecin avertisse la fille de Foxx, mais le médecin répond que Foxx n’a jamais mentionné avoir une fille, et aucune jeune femme n’est venue lui rendre visite… Et comme Foxx essaie de parler, West l’interroge : qui est Corinne ? Foxx répond que si West trouve Corinne, il trouvera la mort.
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Thunderbirds S01E02: Pit of Peril.
Traduction du titre original : La fosse de tous les dangers.
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Ici l'article de ce blog sur la série Les sentinelles de l'air (1965)
Diffusé sur ATV UK le 7 octobre 1965.
Diffusé en 1976 sur France 2.
Sortie en Blu-ray anglais le 15 septembre 2008 (anglais seulement, sous-titres anglais, lisible en France, recadré 16/9ème, forma 4:3 non respecté, effets sonores améliorés).
De Gerry Anderson, Sylvia Anderson. Avec Peter Dyneley, Sylvia Anderson, Shane Rimmer, David Holliday, David Graham, Ray Barrett, Christine Finn.
En Afrique équatoriale, un énorme engin en forme d’insecte de l’armée américaine déforeste à tout va, paniquant les animaux sur son passage. Rien ne semble pouvoir lui résister. Le test est achevé et a impressionné les généraux qui survolent la scène en hélicoptère : ils sont satisfait, rien ne pourra les résister. Les tests étant achevé, l’équipage du Sidewinder se rend donc au point de rendez-vous avec l’Helijet. Cela fait trois semaines passées dans cette boite de conserve géante, et l’équipage compte sur des vacances méritées tandis qu’un autre équipage prendra le relais. Mais alors qu’il traverse un plateau, le sol se fissure puis s’éboule sous l’énorme engin, qui s’écrase au fond d’une doline tandis qu’un incendie fait rage. Le Sidewinder ne répond plus et un cratère vomit une énorme colonne de fumée noire. A bord du Sidewinder, tout l’équipage semble inconscient et le véhicule repose à 300 pieds de profondeur.
L’équipage a repris conscience : ils ont un répit tant que le système de réfrigération fonctionne. Leur source d’énergie est un moteur atomique qui pour l’instant tient bon. Seulement l’armée n’a aucun moyen de les remonter et envoyer quelqu’un voir ce qui se passe est inenvisageable à cause de la température. Malgré cela, le lieutenant Meade veut tenter la reconnaissance. 220 degrés Fahrenheit sans protection, il ne peut y survivre malgré son masque à oxygène. L’idée est donc de s’approcher à peine et repartir le plus vite possible, car c’est hélitreuillé par l’hélijet (un croisement entre un hélicoptère et un jet à décollage vertical) que Meade compte approcher de son objectif.
Très au-dessus d’eux en orbite dans l’espace, le Thunderbirds 6 intercepte les communications de l’Armée, et John fait son rapport, puis leur retransmet le rapport de Meade, alors que le lieutenant descend dans la fournaise. Or le lieutenant ne voit toujours rien à cause des fumées et demande à descendre encore plus bas malgré la chaleur. Il distingue alors le Sidewinder et veut être alors remonté, mais il est gravement brûlé. Jeff Tracy (le père) refuse que Scott (le pilote du Thunderbirds 1 y aille, vu que toute l’opération tombe sous le secret militaire : ils doivent attendre que l’armée américaine les réclame. Pendant ce temps, l’unité de refroidissement commence à lâcher…
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Ici la page Amazon.fr du coffret blu-ray français intégrale 4ème saison de Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1965)
The Avengers S04E01: The Town Of No return (1965)
Traduction du titre original : La ville sans retour.
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Chapeau Melon et Bottes de Cuir (1961)
Quatrième saison noir et blanc.
Diffusée en Angleterre le 2 octobre 1965 sur ITV1.
Diffusée en France le 2 mai 1967 ORTF FR.
Sorti en blu-ray anglais région B coffret 7 BR (image excellente 1080p format original 1:33; anglais et allemand sous-titré anglais, LPCM 2.0 correct, nombreux bonus)
Sorti en coffret blu-ray français le 20 octobre 2015 (commentaires des épisodes manquants, petits problèmes de vitesse et de portions manquantes dans les versions françaises).
De Brian Clemens. Avec Patrick Macnee, Diana Rigg,
Pour adultes et adolescents.
Une plage déserte, à part le marin qui répare ses paniers de pêche et les mouettes qui crient. Soudain un sac noir surgit de la mer et va marcher jusque sur la plage, sous les yeux du marin impassible... Arrivé au sec, le sac s’ouvre et en sort un gentlemen souriant en complet cravate pochette et chapeau, le parapluie à la main. Il abandonne son sac et gravit le talus pour demander au marin, comme si de rien n’était, le chemin de Little Bazeley.
Sans se troubler, le marin lui répond qu’il faut suivre le chemin jusqu’au croisement et tourner à gauche. Le gentleman remercie le marin, puis remarque que le ciel a l’air d’annoncer de la pluie. Il s’éloigne alors vers la route en ouvrant son parapluie, et le marin reprend son travail sur son panier.
Londres. Steed appuie sur la sonnette de l’appartement de Mme Peel du bout de son parapluie. Puis il considère amusé l’œil aux longs cils qui s’ouvre dans la porte, faisant office de judas. Steed souhaite le bonjour à Mme Peel, qui répond par l’interphone en lui souhaitant de même le bonjour et en précisant que la porte est déverrouillée.
Steed entre alors dans le salon de Mme Peel, laquelle porte un masque d’escrime et s’entraîne à attaquer un adversaire imaginaire. Puis elle pivote et donne un petit coup au parapluie levé de Steed. Mme Peel demande alors à Steed s’il lui rend une visite amicale. Steed confirme, prétendant qu’il passait dans le quartier, et s’est dit qu’il pourrait débarquer à l’improviste. Mme Peel retire son masque d’escrime, Steed retire son chapeau melon. Puis elle s’écarte en déclarant que le café se trouve sur la table basse.
Steed dépose son melon et son parapluie à côté de la table basse, puis remarquant que Mme Peel a repris son entraînement, remarque que le poignet de la jeune femme n’est pas assez flexible. Vexée, Mme Peel change de position, et Steed remarque à nouveau que Mme Peel pose son poids sur le mauvais pied. Mme Peel jette alors un regard noir à Steed, qui sourit : c’est un conseil en toute amitié. Puis Steed remarque qu’il n’y a pas de crème avec le café.
Mme Peel répond en souriant que la crème est dans la cuisine, et lui pointe la porte du bout de son fleuret.Et comme Mme Peel fait mine d’en défendre l’entrée, Steed répond qu’il pourrait tout aussi bien prendre son café noir. Alors Mme Peel ramasse avec son fleuret un second fleuret qu’elle lance à Steed, qui l’attrape et ramasse un masque d’escrime. Mme Peel remet son masque. Steed la salue et met son masque, et ils se mettent en garde.
Alors qu’ils échangent les coups, Steed demande si Mme Peel est occupée en ce moment-là. Mme Peel répond que pas vraiment, elle vient juste d’achever un article pour Science Hebdo (Science Weekly). Mme Peel demande pourquoi Steed lui pose cette question. Steed prétend que c’était par pure curiosité, et remarque que c’est une merveilleuse journée, certainement pas le genre de journée à rester coincé en ville. Selon Steed, il faut qu’ils s’échappent sur la côte pour quelque temps.
À ce moment-là, Mme Peel a bloqué Steed dans un fauteuil, la pointe mouchetée de son fleuret sous la gorge. Comme elle s’étonne d’une telle proposition et lui tourne le dos, Steed ose frapper un petit coup en travers des fesses de la jeune femme (c’est Mme Peel qui avait porté le premier coup aux fesses plus tôt dans le combat), qui se remet aussitôt en garde.
Steed reprend tandis qu’ils se battent à nouveau : pourquoi ne pas aller à la plage ? Ils pourraient construire des châteaux de sable ensemble. Mme Peel réplique qu’elle refuse de porter le seau et la pelle de Steed. Steed évoque alors les promenades énergiques en bord de mer, le sable sous les pieds, la brise qui ébouriffe les cheveux – et est-ce que Mme Peel n’a jamais envisagée de devenir institutrice ?
Steed fait alors semblant d’être bloqué contre les rideaux, mais il s’en sert pour enfermer Mme Peel dedans. Quand elle ressort du piège, Mme Peel retire son masque et déclare que cette dernière attaque était vraiment vicieuse. Steed, confirme en ressortant de la cuisine, le petit pot de crème à la main et l’air victorieux. Mais il n’avait pas promis de combat à la loyale. Il ajoute que Mme Peel n’aura pas à se soucier de conduire : ils prendront le train.
Mme Peel demande quand Steed a acheté les billets de train, et Steed répond sans se troubler : la veille au matin. Il remarque cependant qu’ils doivent se dépêcher, le train part dans moins d’une heure, il donnera tous les détails pendant l’aller. Mme Peel demande alors où ils vont, et Steed répond à Little Bazeley au bord de la mer.
Dans le compartiment du train, Mme Peel demande pourquoi ils vont là-bas, et réclame la version courte, puisque Steed parle d’une longue histoire. Tout a commencé il y a environ un an. Ils ont entendu dire que quelque chose de bizarre se passait à Little Bazeley – rien de précis, juste bizarre. Alors ils ont envoyé un agent y jeter un coup d’œil – il n’a jamais pu faire son rapport, le pauvre. Quelques semaines plus tard, ils ont dû envoyer un autre agent à la recherche du premier… et quelques semaines après, encore un autre agent, pour retrouver l’agent qui avait été envoyé pour retrouver le premier. Mme Peel demande alors quel est désormais le score, et Steed répond que le score est de quatre agents disparus.
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Ici la page de l'épisode du site dissolute.com avec tous les détails de production.
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