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Edward aux mains d'argent, le film de 1990

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 7 décembre 1990
Affichages : 3091

Edward aux mains d'argent, le film de 1990Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français (25ème anniversaire) Edward aux mains d'argent

Edward Scissorhands (1990)

Sorti aux USA le 7 décembre 1990.
Sorti en France le 10 avril 1991.
Sorti en Angleterre le 26 juillet 1991.
Sorti en blu-ray américain le 9 octobre 2007 (région A, Anglais DTS HD MA 4.0, français DD 2.0 inclus)
Sorti en blu-ray français le 4 janvier 2008 (région B, Anglais DTS HD MA 4.0, français DTS 5.1 inclus
Sorti en blu-ray 20ème anniversaire le 13 octobre 2015 (nouveau transfert, multi-régions, Anglais DTS HD MA 4.0, français DD 5.1 inclus)

De Tim Burton (également scénariste) ; sur un scénario de Caroline Thompson ; avec Johnny Depp, Winona Ryder, Dianne Wiest, Anthony Michael Hall, Kathy Baker, Robert Oliveri, Conchata Ferrell, Caroline Aaron, Dick Anthony Williams, O-Lan Jones, Vincent Price, Alan Arkin, Susan Blommaert, Linda Perri, Marti Greenberg, Bryan Larkin, John McMahon.

Pour adultes et adolescents.

Par une nuit de neige, une vieille dame regarde par sa fenêtre une maison biscornue au sommet d’une colline abrupte. Puis elle se retourne et dit au petit enfant dans le grand lit de la chambre de s’emmitoufler car il fait froid dehors. L’enfant demande alors à sa grand-mère pourquoi il neige, d’où cela vient. La grand-mère répond que c’est une longue histoire. L’enfant veut l’entendre, mais la grand-mère ne veut pas la raconter cette nuit : l’enfant doit dormir. L’enfant répond qu’il n’a pas sommeil et la grand-mère cède.

La vieille dame s’assied sur le fauteuil à bascule et répond que l’histoire doit commencer par des ciseaux, ce qui surprend l’enfant. La vieille dame explique : il existe toutes sortes de ciseaux, et une fois, il y eut même un homme qui avait des ciseaux à la place des mains : l’enfant connait le manoir perché sur la montagne ? L’enfant répond que le manoir est hanté. La grand-mère répond qu’il y a bien longtemps, un inventeur vivait dans ce manoir… Il fabriqua beaucoup de choses ; il créa aussi un homme. Il lui donna des entrailles, un cœur, un cerveau, tout. Enfin presque : l’inventeur était très vieux, et il est mort avant d’avoir achevé l’homme qu’il avait inventé. Alors l’homme fut abandonné, incomplet et seul. L’enfant demande alors si cet homme n’avait pas de nom, mais la grand-mère répond que bien sûr il en avait un. Son nom était Edward.

La nuit Edward regardait par la fenêtre les lumières de la ville – une petite ville modèle, remplie de pavillons pastels. Le lendemain matin, Peg fait du porte à porte pour les produits de beauté Avon. Peg est reçue par sa voisine Helen, une bonne dame revêche, qui lui rit au nez à l’idée de changer de style de maquillage, et qui finit par lui rappeler qu’elle n’a jamais rien acheté à Peg, qui finit par l’admettre et Helen referme sa porte en lui disant au revoir. La cliente suivante de Peg est Joyce, une rouquine très occupée à draguer le réparateur électrique qu’elle a fait venir pour son lave-vaisselle et dont elle veut absolument suivre la réparation dans les moindres détails, parce que c’est fascinant. Joyce arrête immédiatement la démonstration de Peg, lui demandant si Peg est devenue aveugle – pour n’avoir pas remarqué le véhicule du réparateur garé dans son allée. Comme Peg l’admet, Joyce se déclare surprise que Peg n’ait pas réalisé alors que Joyce était occupée. Et Joyce lui claque la porte au nez.

Peg parvient à faire une démonstration complète auprès de sa cliente suivante, une adolescente, qui aime les deux rouges à lèvres qu’elle lui propose. Mais l’adolescente n’a pas d’argent. Peg repart, décidée. Mais la maison suivante est celle d’une grenouille de bénitier, et Peg renonce immédiatement. Remontant dans sa voiture, Peg soupire : ce n’est simplement pas son jour. Elle barre deux adresses de plus dans sa liste. Puis, se demandant chez qui elle va bien pouvoir sonner ensuite, Peg aperçoit dans son rétroviseur le vieux manoir en ruine au sommet de la colline qui surplombe la petite ville. Se disant qu’elle n’a rien à perdre à essayer, Peg se met en route. Elle roule sur le portail de fer à terre et commence l’ascension du chemin qui la mène à un second portail, imposant et pierre cette fois. Peg n’a aucun problème a écarter les grilles tordues, mais quand elle entre dans le jardin, elle est impressionnée par la beauté et l’entretien des massifs entièrement sculptés en formes géométriques ou animalières – il y a aussi une main géante, et les fleurs resplendissent, tandis que le bâtiment est à moitié effondré.

Peg appelle sans réponse, suit l’allée, monte l’escalier menant au porche, fait jouer le heurtoir de la porte ferrée, appelle encore sans réponse. Peg pousse alors la porte, et après avoir lancé son salut habituel – Avon vous appelle – elle fait quelque pas dans un immense hall décoré de formes grotesques. Comme elle entend un cliquetis, aperçoit une ombre qui se dérobe en haut de l’escalier, elle gravit l’escalier en hâte en s’excusant et arrive sous un toit éventré. Elle trouve alors un lit dans une cheminée, décoré de coupures de presse, dont l’histoire d’un enfant né sans yeux qui pouvait lire avec ses mains. Peg entend de nouveau un cliquetis discret et se retourne : dans le coin opposé du grenier vide, une silhouette accroupie fait miroiter des cisailles. Peg demande alors pourquoi le jeune homme se cache là-bas : il n’a pas à se cacher, elle est Peg Boggs, la représentante locale de Avon, et elle est aussi inoffensive qu’un gâteau fourré aux cerises. Et tandis que Peg s’approche, le jeune homme se relève complètement. Peg réalise enfin que le garçon est armé de couteau et s’arrête net, puis s’excuse de l’avoir stupidement dérangé. Comme Peg dit qu’elle s’en va à présent et fait volte face, le garçon parle enfin, lui demandant de ne pas partir. Voyant enfin le visage pâle, les cheveux hirsutes et les lames des cisailles qu’il a à la place des mains, Peg lui demande ce qu’il lui est arrivé, et le garçon répond simplement qu’il n’est pas achevé.

Edward aux mains d'argent, le film de 1990

Edward aux mains d'argent, le film de 1990

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Edward aux mains d'argent, le film de 1990

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The Witching Hour, Le lien maléfique, le roman de 1990

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 30 novembre 1990
Affichages : 448

The Witching Hour, Le lien maléfique, le roman de 1990Feu vert livre / BD

The Witching Hour (1990)

Titre français : Le lien maléfique.
Traduction du titre anglais : l’heure envoûtante.

Sorti aux USA en novembre 1990 chez Alfred A. Knopf.
Traduit en français par Annick Granger de Scriba chez ROBERT LAFFONT en novembre 1992,
réédité en poche chez POCKET TERREUR en juin 1994, en juin 1996,
réédité en poche chez POCKET juin 2000, septembre 2001,
réédité en poche chez FLEUVE NOIR en aôut 2004,
réédité en poche chez POCKET le 25 octobre 2012.

Adapté en série télévisée en 2023.

De Anne Rice.

Pour adultes et adolescents.

(presse, fantastique, sorcières) Le Dr Rowan Mayfair est un neurochirurgien talentueux de San Francisco, en Californie. Lorsque sa mère biologique, Deirdre Mayfair, décède à la Nouvelle-Orléans, elle commence à découvrir la vieille famille du Sud à laquelle elle appartient. Michael Curry est un entrepreneur spécialisé dans la restauration de vieilles maisons. Il rêve de son enfance à la Nouvelle-Orléans et souhaite ardemment y retourner. Rowan réalise peu à peu qu'elle a le pouvoir psychique de sauver ou de prendre des vies.

Michael se noie mais elle le ranime, l'expérience de mort imminente ayant déclenché en lui une nouvelle capacité de voyance non désirée. Michael et Rowan tombent amoureux, et lorsqu'il décide de retourner à la Nouvelle-Orléans, elle le suit pour apprendre les secrets de son passé. Aaron Lightner, un érudit psychique et membre des Talamasca, a étudié les Mayfairs de loin pendant des décennies. La famille matriarcale - connue par les Talamasca sous le nom de "sorcières de Mayfair" - a une longue et sordide histoire…

*

Le texte original américain de Anne Rice publié en 1990.

One

THE DOCTOR WOKE up afraid. He had been dreaming of the old house in New Orleans again. He had seen the woman in the rocker. He’d seen the man with the brown eyes.

And even now in this quiet hotel room above New York City he felt the old alarming disorientation. He’d been talking again with the brown-eyed man. Yes, help her. No, this is just a dream. I want to get out of it.

The doctor sat up in bed. No sound but the faint roar of the air conditioner. Why was he thinking about it tonight in a hotel room in the Parker Meridien? For a moment he couldn’t shake the feeling of the old house. He saw the woman again—her bent head, her vacant stare. He could almost hear the hum of the insects against the screens of the old porch. And the brown-eyed man was speaking without moving his lips. A waxen dummy infused with life—
No. Stop it.

He got out of bed and padded silently across the carpeted floor until he stood in front of the sheer white curtains, peering out at black sooty rooftops and dim neon signs flickering against brick walls. The early morning light showed behind the clouds above the dull concrete facade opposite. No debilitating heat here. No drowsing scent of roses, of gardenias.
Gradually his head cleared.

He thought of the Englishman at the bar in the lobby again. That’s what had brought it all back—the Englishman remarking to the bartender that he’d just come from New Orleans, and that certainly was a haunted city. The Englishman, an affable man, a true Old World gentleman it seemed, in a narrow seersucker suit with a gold watch chain fixed to his vest pocket. Where did one see that kind of man these days?—a man with the sharp melodious inflection of a British stage actor, and brilliant, ageless blue eyes.

The doctor had turned to him and said: “Yes, you’re right about New Orleans, you certainly are. I saw a ghost myself in New Orleans, and not very long ago—” Then he had stopped, embarrassed. He had stared at the melted bourbon before him, the sharp refraction of light in the base of the crystal glass.

Hum of flies in summer; smell of medicine. That much Thorazine? Could there be some mistake?

But the Englishman had been respectfully curious. He’d invited the doctor to join him for dinner, said he collected such tales. For a moment, the doctor had been tempted. There was a lull in the convention, and he liked this man, felt an immediate trust in him. And the lobby of the Parker Meridien was a nice cheerful place, full of light, movement, people. So far away from that gloomy New Orleans corner, from the sad old city festering with secrets in its perpetual Caribbean heat.
But the doctor could not tell that story.

“If ever you change your mind, do call me,” the Englishman had said. “My name is Aaron Lightner.” He’d given the doctor a card with the name of an organization inscribed on it: “You might say we collect ghost stories—true ones, that is.”

THE TALAMASCA
We watch
And we are always here.


*
La traduction au plus proche.

Un

LE DOCTEUR S’EVEILLA, effrayé. Il avait encore rêvé de la vieille maison de la Nouvelle-Orléans. Il avait vu la femme dans le fauteuil à bascule. Il avait vu l'homme aux yeux marrons.

Et même maintenant, dans cette chambre d'hôtel tranquille au-dessus de New York, il ressentait la même désorientation inquiétante. Il avait encore parlé avec l'homme aux yeux marrons. Oui, aidez-la. Non, c'est juste un rêve. Je veux en sortir.

Le docteur s’asseya dans le lit. Aucun bruit à part le faible vrombissement du climatiseur. Pourquoi y pensait-il ce soir dans une chambre d'hôtel du Parker Meridien ? Pendant un instant, il n'a pas pu se débarrasser de l'impression laissée par la vieille maison. Il revit la femme — sa tête penchée, son regard vide. Il pouvait presque entendre le bourdonnement des insectes contre les grilles du vieux porche. Et l'homme aux yeux marrons parlait sans bouger les lèvres. Un mannequin de cire imprégné de vie...

Non. Arrête.

Il sortit du lit et marcha silencieusement traversant le tapis jusqu'à ce qu'il se tienne devant les rideaux blancs transparents, regardant les toits noirs de suie et les enseignes au néon qui clignotaient sur les murs de briques. La lumière du petit matin transparaissait derrière les nuages au-dessus de la façade en béton terne d'en face. Pas de chaleur débilitante ici. Pas de parfum de roses ou de gardénias.

Petit à petit, sa tête s’éclaircissait.

Il repensa à l'Anglais au bar du hall. C'est ce qui lui avait rappelé tout cela, l'Anglais faisant remarquer au barman qu'il venait de la Nouvelle-Orléans et que c'était certainement une ville hantée. L'Anglais, un homme affable, un vrai gentleman de l'Ancien Monde semblait-il, dans un costume étriqué de crépon de coton avec une chaîne de montre en or fixée à la poche de son gilet. Où voyait-on ce genre d'homme de nos jours ? un homme avec l'inflexion mélodieuse d'un acteur de théâtre britannique, et des yeux bleus brillants, sans âge.

Le docteur s'était tourné vers lui et avait dit : « Oui, vous avez raison au sujet de la Nouvelle-Orléans, vous avez certainement raison. J'ai moi-même vu un fantôme à la Nouvelle-Orléans, et il n'y a pas très longtemps... » Puis il s'était arrêté, embarrassé. Il avait fixé le bourbon liquide devant lui, la réfraction aiguë de la lumière dans le fond du verre de cristal.

Le bourdonnement des mouches en été ; l'odeur des médicaments. Un tel dosage de Thorazine ? Pourrait-il y avoir erreur ?

Mais l'Anglais avait été respectueusement curieux. Il avait invité le docteur à se joindre à lui pour le dîner, disant qu'il collectionnait ce genre d’anecdotes. Pendant un moment, le docteur avait été tenté. Il y avait une accalmie dans la convention, et il aimait cet homme, il ressentait une confiance immédiate en lui. Et le hall du Parker Meridien était un endroit agréable et gai, plein de lumière, de mouvement, de gens. Si loin de ce coin lugubre de la Nouvelle-Orléans, de cette vieille ville triste et pleine de secrets dans sa chaleur perpétuelle des Caraïbes.
Mais le docteur ne pouvait pas raconter cette histoire-là.

« Si jamais vous changez d'avis, appelez-moi, avait dit l'Anglais. Mon nom est Aaron Lightner. » Il donna au docteur une carte sur laquelle était inscrit le nom d'une organisation : « On peut dire que nous collectionnons les histoires de fantômes — les vraies, bien sûr. »

LE TALAMASCA
Nous veillons
Et nous sommes toujours là.


*

The Witching Hour, Le lien maléfique, le roman de 1990The Witching Hour, Le lien maléfique, le roman de 1990The Witching Hour, Le lien maléfique, le roman de 1990

La traduction de Annick GRANGER DE SCRIBA de 1992 pour ROBERT LAFFONT, POCKET et FLEUVE NOIR.
Attention, faute d’avoir pu retrouvé mon exemplaire à temps, ce qui suit est la transcription d’une lecture à haute voix.

1

Le médecin se réveilla, glacé d’effroi. Il avait à nouveau rêvé de la maison de La Nouvelle-Orléans. Il avait revu la femme dans son fauteuil à bascule. Il avait revu l'homme aux yeux marrons.

Malgré la quiétude de sa chambre du Parker Méridien près de New York, une fois encore il se sentait mal à l'aise. L'homme aux yeux marrons lui avait répété d'aider la femme.

Il se redressa dans son lit. Mais pourquoi diable repensait-il à tout cela ? La vieille maison le hantait. Il revit la femme — tête baissée, le regard vide. Il entendait presque le bourdonnement des insectes contre la porte moustiquaire du porche et l'homme aux yeux marrons qui parlait sans remuer les lèvres. Un mannequin de cire pourvu de vie.

Non, ça suffit ! se dit-il, sortant du lit. Il s'approcha des rideaux blancs immaculés et regarda dehors. Des toit sombres, des néons clignotants se reflétant contre les murs de briques. La lumière de l’aube pointait derrière les nuages au-dessus de la façade de béton en face de lui. Aucune trace de chaleur étouffante. Aucun arôme étourdissant de rose et de gardénia.
Son esprit s'éclaircissait peu à peu.

Il repensa à l'Anglais rencontré au bar de l'hôtel. Tout avait commencé par là. L'homme avait confié au barman qu'il arrivait de la Nouvelle-Orléans, et que cette ville était de toute évidence hantée. Cet anglais, affable, avait tout à fait l'air d'un gentleman d'antan avec son costume étriqué en seersucker, et sa montre de gousset en or fixée à son gilet. C'était un personnage d'un autre temps.

Le docteur s'était tourné vers lui : « Vous avez parfaitement raison. J'ai vu moi-même un fantôme à la Nouvelle Orléans, il n’y a pas très longtemps. » Il s'était interrompu, gêné, et avait fixé son verre de bourbon.

L'anglais avait montré une certaine curiosité et l’avait invité à dîner en invoquant l'argument qu'il collectait ce genre d'histoires. Le docteur avait été tenté d'accepter : il était libre pour la soirée et il aimait bien cet homme. Il s'était tout de suite senti en confiance. Le bar du Parker méridien était un endroit agréable plein de lumière, de mouvement, de gens. Il était si loin de ce coin lugubre de la Nouvelle-Orléans, de cette vieille et triste maison, et sa chaleur pesante.

Mais il se sentait incapable de raconter son histoire.

« Si vous changez d'avis, appelez-moi, dit-il. Je m’appelle Aaron Lightner. » Il avait tendu au docteur une carte portant le nom d'un organisme. « Disons que nous recueillons ce genre d'histoire de fantômes. Les vraies, j’entends. »

THE TALAMASCA
Nous observons
et nous sommes toujours là


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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.

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Total Recall, le film de 1990

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 1 juin 1990
Affichages : 3316

Total Recall, le film de 1990Feu vert cinéma

Total Recall (1990)
Traduction du titre original : Rappel total.

Sorti aux USA le 1er juin 1990.
Sorti en Angleterre le 27 juillet 1990.
Sorti en France le 17 octobre 1990.

Sorti en blu-ray américain le 29 août 2006.
Sorti en blu-ray américain le 31 juillet 2012 le 31 juillet 2012 (Mind-Binding Edition)
Sorti en blu-ray français le 1er août 2012 (Uncut Special Edition / Multi-régions - Steelbook)
Sorti en blu-ray français le 5 novembre 2013 (Ultimate Rekall édition,région B seulement)
Sorti en blu-ray allemand remasterisé le 19 novembre 2020.
Sorti en blu-ray 4K français le 2 novembre 2020.
Sorti en blu-ray 4K américain le 8 décembre 2020.
Sorti en blu-ray 4K anglais le 4 novembre 2021.

De Paul Verhoeven. Avec Arnold Schwarzenegger, Sharon Stone, Rachel Ticotin, Michael Ironside, Ronny Cox, Marshall Bell, Mel Johnson Jr., Ray Baker, Rosemary Dunsmore. D'après la nouvelle de Philip K. Dick "Souvenirs à vendre" ("We Can Remember It For You Wholesale") et son roman "Glissement de temps sur Mars" ("Martian Time-Slip").

Pour adultes.

Mars, 2084, sous un ciel plus rouge qu’il ne sera jamais. Un homme et une femme en combinaison environnementales se retrouvent à contempler le grand canyon en se tenant la main. Comme ils reprennent leur marche, l’homme glisse et dans sa chute, brise sa visière : l’air s’échappe, et les yeux lui sortent de ses orbites, aspirés par le manque de pression.

Dans un appartement sur la Terre, un homme, Douglas Quaid, se réveille en hurlant. Ce n’était qu’un rêve. Sa femme Lorie, la jolie blonde à son côté le console, puis lui demande si la brunette se trouvait à nouveau dans le rêve en question, qui se déroule toujours sur Mars. Ils se réconcilient vite. Au petit déjeuner, Quaid regarde l’actualité, sur les rebelles qui sont massacrés sur Mars pour avoir retardé la production des mines. Mais Lorie coupe les informations, car, selon elle, ce sont probablement ces nouvelles terribles de Mars à répétition qui expliquent les cauchemars de son mari. Mais ce dernier lui propose plutôt de s’installer sur Mars. Lorie refuse car elle ne croie pas un mot des affirmations de Cohaagen, le gouvernement martien, selon lequel la sécurité sur Mars sera vite rétablie. Comme elle lui propose plutôt de faire une croisière vers Saturne, Quaid zappe de nouveau sur les informations, une conférence de presse où Cohaagen affirme justement que les rumeurs selon lesquels on aurait découvert de la technologie extraterrestre sur Mars son fausse. Quaid explique à Lorie qu’il a l’impression d'avoir été fait pour autre chose que cette vie-là, et qu’il sent qu’il devrait faire quelque chose d’autre de sa vie.

Comme il prend le métro pour se rendre sur son chantier, il aperçoit une publicité pour Rekall, une société qui propose de se faire implanter des souvenirs artificielles de vacances spectaculaires - parmi lesquelles l’ascension des monts martiens - plutôt que d’aller effectivement quelque part. Sa curiosité piquée, Quaid commence à en parler à un collègue de travail, qui lui raconte qu’un de ses amis a fini lobotomisé en allant chez Rekall. Sur le moment, Quaid est moins enthousiaste, mais de fait, après le travail, il se rend chez Rekall. Reçu par Bob McClain, le responsable des ventes, Quaid se voit proposer le souvenir d’une croisière vers Saturne, mais il refuse : il veut aller sur Mars, et rien de plus : deux semaines en première classe, le mont Pyramide, le Grand Canal, Vénus Ville, et ce sera aussi vrai que la réalité, sinon le service lui sera remboursé. Et c’est plus sûr que de voler en navette, aucun risque de mauvaise surprise, tout est parfait. Cependant, Quaid finit par accepter de payer un supplément pour l’option la plus dépaysante possible : voyager en prenant des vacances de soi-même – c’est le voyage égo : le souvenir sera celui d’une autre identité. Et quand le vendeur lui propose d’autres identités, Quaid a le coup de foudre immédiat pour le rôle d’agent secret : un agent de première ordre, sous une fausse identité, c’est la mission la plus importante qu’il ait jamais eu, on essaie de le tuer, il rencontre une jolie fille exotique, il séduit la fille, il tue le méchant et il sauve le monde : cela vaut bien 300 misérables crédits, non ?

Quaid se retrouve dans un fauteuil avec une doctoresse et un laborantin qui préparent son voyage. La doctoresse lui fait une injection lui demande alors des détails plus intimes : son orientation sexuelle, quelle couleur de cheveux, quelle silhouette, quelle comportement il préfère chez une femme… Puis elle sélectionnne un modèle, et le laborantin fait remarquer que Quaid va tellement s’amuser qu’il ne voudra jamais revenir… Quaid s’endort, mais alors que McClain vend un autre voyage, la doctoresse l’appelle d’urgence par téléphone : ils ont un nouvel embolisme schizophrénique – Quaid hurle qu’ils vont arriver et tous les tuer, que son nom n’est pas Quaid et qu’ils ont détruit sa couverture. À grand peine, ils l’endorment à nouveau en lui injectant des calmants en masse, et quand McClain reproche à la doctoresse d’avoir confondu le faux souvenir et l’embolisme, celle-ci lui répond qu’ils n’ont pas encore implanté le souvenir. McClain donne alors l’ordre d’effacer la mémoire récente de Quaid, de le mettre dans un taxi, et de le renvoyer chez lui, tandis qu’ils feront tous semblant de ne l’avoir jamais vu à Rekall.

Quaid se réveille très surpris dans un taxi robot Johnny Cab, sans savoir comment et pourquoi il y est monté… et lorsqu’il descend à l’entrée du métro, il se retrouve face à son collègue de travail qui lui demande comment s’est passé sa visite à Recall. Comme Quaid ne veut pas venir boire un verre avec lui, son collègue sort un pistolet et trois brutes le rejoignent pour se saisir de Quaid. Quaid proteste en vain, mais au moment d’être exécuté, il parvient à se libérer et comme il se défend, se découvrant une grande maîtrise des armes et du combat à mains nues, il les tue.

Total Recall (1990) photo

Total Recall (1990) photo

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Darkman, le film de 1990

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 24 août 1990
Affichages : 3167

Darkman, le film de 1990Feu vert cinéma

Darkman (1990)
Traduction du titre original : l'homme des ténèbres.

Sorti aux USA le 24 août 1990.
Sorti en France le 14 novembre 1990.
Sorti en Angleterre le 16 novembre 1990.
Sorti en blu-ray américain UNIVERSAL le 15 juin 2010 (multi-régions, DTS HD MA 5.1, pas de piste ni sous-titres français, aucun bonus).
Sorti en blu-ray américain SHOUT FACTORY le 18 février 2014 (région A, image anti-bruitée, DTS HD MA 5.1 et original 2.0, pas de piste ni sous-titres français, bonus).

De Sam Raimi (également scénariste), sur un scénario de Chuck Pfarrer, Ivan Raimi, Daniel Goldin, Joshua Goldin ; d'après la nouvelle de Sam Raimi ; avec Liam Neeson, Frances McDormand, Colin Friels, Larry Drake, Ted Raimi, Dan Hicks, Dan Bell, Nicholas Worth, Rafael H. Robledo.

Pour adultes et adolescents.

Sur les quais, dans un entrepôt, des criminels à la solde de Eddie Black s’apprêtent à recevoir d’autres criminels. La bande de Black commencent par fouiller et désarmer la bande de Durant, puis ils escortent la délégation à l’intérieur d’un vaste entrepôt. Partout – sur les galeries, les caisses, il y a des tireurs postés. Eddie Black dit alors avoir trois choses à déclarer : 1°) il ne vend pas ; 2°) personne ne l’intimidera ; 3°) il va les mutiler. Alors l’un des hommes de Durant saisit la « jambe de bois » d’un de ses camarades, qui se révèle être une mitraillette. Cela tire alors dans toutes les directions, et Black se retrouve le seul debout, face à Durant et ses trois tueurs. Black est alors saisit, et Durant se propose de déclarer trois choses à son tour, ponctuant à chaque fois sa phrase d’un coup de guillotine à cigares sur l’un des doigts de Black : 1°) Il ne laisse pas la colère le priver du meilleur de lui-même ; 2°) Il n’y arrive pas toujours ; 3°) Il a sept points de plus à déclarer.

Dans un laboratoire, Peyton Westlake, un scientifique photographie les détails du visage de son assistant, Yakitino, et scanne les photos. Puis à l’aide d’un hologramme reconstitue en 3D le nez. Peyton pompe alors divers produits dans une imprimante 3D, et obtient un nez identique à celui de son assistant. Mais au bout de 99 minutes, la chair retourne à un état liquide. Et après toutes ses tentatives pour comprendre cette décomposition, Peyton ignore toujours pourquoi. Le scientifique est néanmois persuadé qu’ils vont résoudre le problème.

Le soir venu, Peyton et sa fiancée, Julie Hastings, se passe des photos d’eux dans leur jeunesse. Le lendemain matin, sa femme, qui travaille pour la justice, appelle Herb Gorson : elle tient un mémorandum de Strak industrie, à propos du marché Von Hoffenstein. Le document est de Strack pour un certain Claude Bellasarious, et dresse une liste de différentes personnes de la commission de zonages, qui ont reçu de l’argent. Pendant qu’elle est au téléphone, Peyton pose le café de Julie sur le mémo, ce qui laisse un rond de café imprimé sur la page. Julie veut d’abord parler à Strack pour lui laisser le bénéfice du doute. Elle raccroche, puis doit partir immédiatement car elle est déjà en retard. Peyton la rattrape dans la rue : il a réfléchi, il pense que Julie et lui devraient se marier. Julie n’est pas enthousiaste : elle commence à peine à démarrer son cabinet, et elle apprécie vraiment d’avoir son propre appartement. Peyton proteste : ils vivent quasiment ensemble. Pour Peyton, il n’y a pas d’engagement supplémentaire, si ce n’est que de décrocher le téléphone et si c’est sa grand-mère, elle n’aura pas à prétendre que c’est un faux numéro, et comme cela, sa grand-mère ne pensera plus avoir Alzheimer. Mais Julie monte dans son taxi. Peyton a beau insister, elle veut encore réfléchir.

Reçu par Louis Strack Junior, Julie vide son sac, et à sa grande surprise, Strack admet tout et lui demande de comprendre : sa cité est un rêve, et il ne faut pas y renoncer si il faut se salir les mains. Louis lui demande alors d’oublier sa mallette sur place, et le mémo disparaîtra. Cependant, Julie n’a pas le mémo sur elle. Alors Louis lui parle de Robert Durant, et du fait que ce dangereux criminel fera n’importe quoi pour se procurer le mémo : Louis veut seulement protéger Julie.

Le soir au laboratoire, l’électricité disjoncte, et Peyton et son assistant découvrent que leur peau de synthèse ne se décompose pas dans l’obscurité. Comme le téléphone sonne, et que Peyton veut décrocher, ils se retrouvent face aux tueurs de Durant. Peyton et son assistant sont alors passés à tabac, puis Durant se présente : il veut le mémo, et si Peyton le lui donne, Durant et ses hommes s’en iront. Peyton prétend qu’il ne sait pas où se trouve le mémo. Peyton est à nouveau brutalisé, puis son assistant étouffé avec un sac plastique, et les criminels lui tirent une balle dans la tête. Pendant ce temps, l’un des hommes de Durant a trouvé le mémo. Peyton est alors plaqué contre les bornes électriques d’une cuve, et ses mains sont brûlées. Puis il est plongé dans la cuve la tête la première et il est défiguré. Enfin ils ouvrent le gaz et Durant met un jouet devant un briquet pour déclencher une explosion.

Alors que les voitures de Durant reparte, Julie descend du taxi, et repense à la proposition de Peyton. Au même moment, Peyton rampe en direction du dispositif de mise à feu, mais il arrive juste au moment où le jouet frappe le briquet. Sous les yeux de Julie, le bâtiment explose, et le corps de Peyton est éjecté à travers de la baie vitrée jusque dans l’eau du canal.

Darkman, le film de 1990

Darkman, le film de 1990

Darkman, le film de 1990

Darkman, le film de 1990

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Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 13 avril 1990
Affichages : 694

Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990Feu vert télévision

Fushigi no Umi no Nadia (1990)
Titre original : ふしぎの海のナディア, Fushigi no Umi no Nadia. Traduction du titre japonais : Nadia des mers mystérieuses.

Noter bien que les personnages, décors et scénario de ce dessin animé ont été plagié par Disney avec le film animé Atlantis l’Empire perdu 2001.

Noter que le dessin animé le Château dans le ciel et la série Conan le Fils du Futur de Miyazaki se base sur les idées du même concept que Miyazaki avait proposé sans succès au studio Toho, que Toho a fait passé à Gainax pour produire Nadia.


Noter que la version française ne correspond pas avec la traduction des sous-titres japonais.

Une saison de 39 épisodes diffusés à partir du 13 avril 1990 sur NHK JA produit par le studio GAINAX,
suivi d’un film animé de 1991, Nadia et le mystère de Fuzzy.

Sorti en coffret 5br+7dvd+artbook limité français DYBEX FR le 28 décembre 2013,
Réédité collector format A4 limité 5br+7dvd+artbook+guide le 18 janvier 2014 ;
Sorti en coffret 5 blu-rays ANIME LDT le 1er juin 2015 ;
Sorti en coffret 5 blu-rays SHOUT FACTORY US le 2 août 2022 ;
Annoncé le 9 novembre 2023 en coffret ultimate anglais 5 br+4x4K intégrale chez ANIME LDT UK,
Annoncé en coffret 4K anglais part 1 le 6 novembre 2023, part 2 le 11 décembre 2023.

De Hayao Miyazaki (non crédité), réalisé par Hideaki Anno (également scénariste) sur un scénario de Hisao Ōkawa et Yasuo Tanami, inspiré des romans de Jules Verne et particulièrement Vingt Mille Lieues sous les Mers.

Pour tout public ?

(Steampunk) Si vous êtes l’un de ces aventuriers capables de partir à la recherche de formes véritables d’êtres mythiques vivants bien au-delà des gigantesques chutes d’eau nommées Perilleuses, il faudra d’abord me trouver moi...

En l’année 1889, au milieu de l’Océan Atlantique, de nombreux navires étaient victimes d’accidents. Les gens en attribuaient la responsabilité à des monstres marins rescapés des temps anciens. Mais bientôt, les différentes puissances maritimes commencèrent à s’accuser mutuellement de perpétrer contre leurs flottes respectives des attaques utilisant des armes nouvelles.

C’est à cette époque que s’instaurèrent progressivement de dangereuses tensions militaires : l’industrie lourde sous la conduite des acieries augmentait, accroissant le commerce intérieur ; le pouvoir de chaque nation s’amplifiait se ressentant d’abord dans leurs colonies africaines et asiatiques ; les escarmouches devinrent monnaie courante, et en cette fin du dix-neuvième siècles, les peuples sentaient que l’on s’acheminait vers un conflit mondial.

Par un soleil radieux, un petit voilier avance sur une rivière (supposément La Seine). A son bord, endormi sur sa table de travail, un garçon brun à lunette rougit en rêvant, parlant dans son sommeil : « Paris… ». Réveillé par un grincement au-dessus de lui, il se relève vivement et se cogne la tête contre une poutre, et sort sur le pont, se tenant la tête. C’est alors qu’il aperçoit en avant de la rivière, encore à distance, la Tour Eiffel d’un côté, le Sacré Cœur de l’autre. Le garçon s’étrangle alors de joie et s’écrie : « Mais c’est la Tour Eiffel ! »

Episode 1 : La fille de la Tour Eiffel.

Feux d’artifices, mongolfières, accordéon… Le garçon continue de s’émerveiller au milieu de la foule et des pavillons vivement colorés et extravagants : « C’est magnifique… Alors c’est ça, l’Exposition Universelle de Paris ! »

Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990

Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990

Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990

Nadia et le secret de l'eau bleue, la série animée de 1990

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Ici la page du site Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série animée.

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  1. Twin Peaks, la série télévisée de 1990
  2. The Handmaid's Tale, la servante écarlate, le film de 1990
  3. Tremors, le film de 1990
  4. Starfix, le numéro 79 spécial 80-90 de décembre 1989

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