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- Écrit par David Sicé
Jonny Quest S01E24: Terror Island (1965).
Titre français : Les aventures de Jonny Quest.
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Ici l'article de ce blog sur la série Jonny Quest (1964)
Diffusé aux USA le 24 février 1965, sur ABC US.
Sorti en DVD US le 11 mai 2004 (édition censurée).
De Doug Wildey. Sur un scénario de William D. Hamilton. Avec Tim Matheson, Mike Road, Danny Bravo, John Stephenson, Don Messick.
Pour adultes et adolescents.
Dans une ménagerie, un homme en blouse blanche presse sur le bouton d’ouverture des portes d’une cellule. Les portes s’ouvrent, et des coups violents font trembler le sol. L’homme referme précipitamment les portes, et l’on entend les bruits de métal déchiré. Il court jusqu’à un interphone mural et lance une alerte. Pendant ce temps, les portes de la cellule et le mur lui-même se courbe à chaque nouveau coup. Puis c’est tout le pan de mur qui tombe – et la pince d’un crabe gigantesque sort par l’ouverture. Le crabe – qui a oublier de marcher de côté – sort.
L’homme en blouse blanche a rejoint son bureau, sortant un pistolet automatique du premier tiroir. Comme le crabe géant défonce la porte et le mur du bureau, l’homme vide son chargeur sur le monstre – sans en enrayer la progression. Il prend la fuite par une autre issue. Ne trouvant pas sa proie, le crabe géant pivote, puis défonce un autre mur, donnant cette fois sur l’extérieur. Il prend alors la direction d’une sentinelle qui gardait un autre bâtiment. La sentinelle vide son fusil sur le monstre, puis se fait happer. D’autres soldats tirent sur le crabe géant mais celui-ci gagne la mer et disparait sous les flots...
Hong-Kong. Race et le professeur Quest sont en promenade dans un vélo-taxi. Alors que Quest fait part de son admiration pour la ville, Race répond que si Hong-Kong est une superbe ville, elle ferait bien de réparer les trous dans la chaussée de ses rues… Quest en déduit qu’ils en auront vu suffisamment pour la journée, et demande en chinois à ce qu’on les ramène aux quais. Pendant ce temps, Jonny a décidé de prendre la place du cycliste qui les poussait, et le garçon est déterminé à faire la course avec le vélo-taxi qui transporte son père. Le professeur Quest ordonne alors Jonny de ralentir, mais ce dernier n’en a cure – il n’aurait d’ailleurs jamais cru que ce genre de véhicule pouvait aller si vite. Puis il réalise, bien après ses passagers, que la rue devient en forte porte, et mène droit à la mer. Alors Hadji supplie Jonny d’utiliser les freins, mais ils ne semblent pas fonctionner. Le vélo-taxi arrive au bout du quai – et c’est le plongeon dans les eaux calmes de la baie.
Quest et Race viennent repêcher les enfants en hydroptère, les ramenant à leur yacht. Quest entend punir Jonny et Hadji, mais il ne se résout pas à les priver des fêtes du Nouvel An Chinois. Le temps de laisser le petit chien Bandit réaliser qu’il ne doit pas s’approcher des pétards, la famille et son garde du corps va dîner au restaurant. Une jeune photographe leur propose de prendre une photo du groupe à table, promettant que la photo sera rapidement développée – mais elle montre d’abord la photo à un certain Sing, à l’air patibulaire, qui attendait à la fenêtre avec un comparse, la femme pointant du doigt le professeur Quest.
De retour au yacht, Hadji et Jonny se mettent au lit et se souhaitent la bonne année chinoise. Plus tard, dans la nuit, un canot approche silencieusement et aborde le yacht – pour enlever le professeur Quest. Les enfants sont réveillés par les grognements de Bandit, mais Jonny est persuadé que c’est seulement un cauchemar à cause des pétards. Quand Race entend le moteur du canot des kidnappeurs se mettre en marche, il bondit hors de son lit mais il est déjà trop tard – il ne peut que montrer aux enfants que le mot qui menace de mort Quest s’ils alerte la police. Race leur promet en revanche qu’il retrouva la piste des kidnappeurs – et va trouver Jade, une amie de longue date aussi vénale que séduisante, qui lui reproche immédiatement de ne venir la voir que lorsque Quest est kidnappé, alors qu’il était à Hong Kong depuis trois jours déjà.
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- Écrit par David Sicé
Jonny Quest S01E23: The House of Seven Gargoyles (1965).
Titre français : Les aventures de Jonny Quest.
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Ici l'article de ce blog sur la série Jonny Quest (1964)
Diffusé aux USA le 18 février 1965, sur ABC US.
Sorti en DVD US le 11 mai 2004 (édition censurée).
De Doug Wildey. Sur un scénario de William D. Hamilton. Avec Tim Matheson, Mike Road, Danny Bravo, John Stephenson, Don Messick.
Pour adultes et adolescents.
Perché le long d’un fjord, un manoir lugubre au bout d’une route serpentant le long de la falaise de roche noire. Une berline décapotable roule le long de la route et passe l’arche de l’entrée, surplombé de sept gargouilles perchées sur les créneaux du chemin de ronde. Soudain, la septième des gargouilles ouvre les yeux et s’anime.
La créature difforme et cornue se laisse glisser le long de la gouttière jusqu’à l’une des corniches, et se glisse jusqu’au bout de la tour, puis saute à la gouttière de la façade suivante et se laisse descendre jusqu’à la fenêtre ouverte d’un bureau auquel travaille le professeur Ericsson.
La créature s’embusque à la fenêtre tandis qu’on frappe à la porte : c’est Gunnar, l’assistant du professeur Ericsson. Ce dernier annonce qu’il a entendu dire au village que le professeur Quest a loué un bateau de croisière pour remonter le fjord. Ericsson s’en réjouit : ce sera un honneur d’accueillir chez lui un homme aussi éminent que le professeur Quest. Et Quest sera le premier à voir ce qu’Ericsson a accompli. Ericsson demande alors à Gunnar de prendre la voiture pour rencontrer Quest sur leur quai.
Gunnar parti, Ericsson se dirige vers les lambris du mur opposé à la fenêtre. Il fait basculer l’une des appliques, et l’un des panneaux de bois glisse vers le haut, révélant un coffre-fort scellé dans la muraille. Ericsson ouvre le coffre-fort avec sa clé, et y range son carnet de note. Pendant ce temps, la gargouille s’est glissé derrière le professeur – et l’étrangle.
Seulement Gunnar a entendu le bruit de la chute du corps du professeur et fait irruption dans le bureau. La gargouille s’enfuit aussitôt par la fenêtre, sans que Gunnar ne l’ait aperçue. Ericsson se relève et explique à son assistant que quelque chose ou quelqu’un a essayé de le mettre définitivement à la retraite. Ramassant ses lunettes, Ericsson constate que son carnet de note est encore dans le coffre-fort – qu’il referme à clé. Gunnar va à la fenêtre et constate qu’il n’y a personne dehors, à part bien sûr les sept gargouilles, bien à leur place au-dessus de l’entrée du manoir.
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- Écrit par Super User
Jonny Quest S01E22: The Quetong Missile Mystery (1965).
Titre français : Les aventures de Jonny Quest.
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Ici l'article de ce blog sur la série Jonny Quest (1964)
Diffusé aux USA le 11 février 1965, sur ABC US.
Sorti en DVD US le 11 mai 2004 (édition censurée).
De Doug Wildey ; sur un scénario de William D. Hamilton, avec Tim Matheson, Mike Road, Danny Bravo, John Stephenson, Don Messick.
Pour adultes et adolescents.
Deux crocodiles qui paressaient sur les berge d’une mangrove relèvent la tête en entendant le moteur d’un petit canot – et plongent. À bord du canot se trouve deux hommes, l’un à l’avant en costume blanc qui scrute la jungle avec une paire de jumelle, l’autre à l’arrière avec un costume beige qui tient le gouvernail. Tandis qu’ils passent entre les grands arbres qui émergent du marécage, ils sont repérés par une sentinelle masquée en tout en noir posté en hauteur, armée d’un fusil et tenant un talkie-walkie. Embusquée, la sentinelle appelle aussitôt son commandement, s’identifiant comme le poste numéro un – et signale deux hommes dans un canot entrant par le canal sud. Les différentes sentinelles disposées le long du canal confirment visuellement la présence des intrus.
Comme la radio leur indique que les intrus approchent un lagon principal, l’un des deux soldats masqués en haut d’une tour camouflées annonce qu’ils vont prendre la mesure appropriée, se préparant à exécuter le plan A. L’autre soldat, les mains sur la manette d’un détonateur à distance déclare que tout est prêt. Le canot passe alors devant eux. L’homme aux jumelles fait signe à son camarade d’arrêter le moteur – et le canot s’immobilise. Stupéfait, le premier homme contemple au milieu du lagon un silo à missile auprès duquel est stationné un bateau de bois avec une grue. L’homme en costume blanc commence à prendre des photos, sans se douter que sous l’eau, des dizaines de mines sont immergées, retenues chacune par une corde.
Comme le canot a redémarré, l’un des soldats en noir sur la tour camouflée annonce que les intrus sont en position : il donne l’ordre de détonner la mine. Le second soldat abaisse sa manette et une explosion retentit… à la place du canot, il n’y a plus que l’eau qui bouillonne. Le premier soldat en noir annonce que c’est fait. Le talkie-walkie lui répond que tout le personnel doit se présenter au rapport en zone centrale. Des hauts-parleurs annoncent alors que tout le monde doit rester à l’abri tandis qu’ils font descendre le missile dans le silo – et que le bateau et sa grue devront rester cachés jusqu’à l’aube.
Ailleurs, un luxueux paquebot mouille dans les eaux d’un port oriental. Le lieutenant Sing de la police de Quetong frappe à la cabine du professeur Quest. Il est envoyé par le commissaire Wah, qui présente ses excuses pour le dérangement impoli. Quest demande ce qu’il peut faire pour Sing, qui explique qu’il s’agit d’une affaire d’une extrême urgence et que le commissaire supplie Quest d’accompagner Sing jusqu’à son bureau dans les délais les plus brefs. Sing refuse d’en dire davantage sur le problème : Quest doit voir le commissaire Wah. Du coup, toute la famille Quest et son garde du corps monte dans la berline décapotable du lieutenant Sing, immédiatement pris en filature par une camionnette équipée d’un radio-émetteur à l’arrière.
Au siège de la police de Quetong, le commissaire Wah commence par exprimer sa gratitude envers le professeur Quest. Puis il explique le problème : récemment, un grand nombre de pêcheurs vivant dans la zone du Lac Marécageux sont tombés malades en consommant les poissons du lac. Wah dispose d’un bocal contenant quelques-uns des poissons en question : il le montre au professeur Quest, précisant que ce sont les mêmes poissons qu’ils pêchent et consomment depuis des siècles – ce que le professeur Quest trouve étrange. Mais selon Wah, encore plus étrange est le fait que tous les enquêteurs que Wah a envoyé sur place n’en sont jamais revenus.
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- Écrit par David Sicé
Rękopis znaleziony w Saragossie (1965)
Titre anglais : The Saragossa Manuscript.
Titre français : Le manuscrit trouvé à Saragosse.
Sorti en Pologne le 9 février 1965,
Sorti en Angleterre en décembre 1966,
Sorti en Espagne le 17 septembre 1970,
Sorti aux USA le 6 avril 1972,
Sorti en Italie en février 1978 ;
Ressortie en France le 2 février 2005 et le 1er août 2012 ;
Sorti en blu-ray polonais en polonais sous-titré anglais le 21 novembre 2013,
Sorti en blu-ray anglais le 7 septembre 2015 chez MR. BONGO FILMS UK ;
Sorti en blu-ray polonais le 18 septembre 2016 avec sous-titres anglais et français.
Annoncé en blu-ray américain le 27 juin 2023 chez YELLOW VEIL PICTURES US.
De Wojciech Has, sur un scénario de Tadeusz Kwiatkowski, d’après le roman de 1794, remanié en 1804, achevé en 1810 du Comte Count Jan Potocki, écrit en français ; avec Zbigniew Cybulski, Iga Cembrzyńska, Joanna Jędryka, Gustaw Holoubek, Beata Tyszkiewicz.
Pour adultes et adolescents.
(Fantasy) En pleine guerre Napoléonienne, un officier (Alphonse Van Worten) se tient à l’abri dans l’embrasure d’une maison en ruine de la ville de Saragosse. Puis c’est apparemment le signal d’une sortie, et une escouade de simples soldats s’élance pour franchir une barricade de pierre écroulée menant à une porte. L’officier les rejoint mais vite s’écarte comme le dernier des soldats semble avoir été abattu et gît à terre. Le temps que la mitraille se calme, l’officier s’approche pour aider le soldat, qui se relève parfaitement indemne, mais déjà c’est la retraite et les autres soldats reviennent en courant. L’officier crie alors aux soldats de le suivre, lui qui va de l’avant, à peu près le temps d’une demi-seconde car un officier ennemi arrive à cheval sabre au clair, et l’officier se dépêche de fuir dans la rue voisine.
Nous le retrouvons dans une auberge en ruine et noircie où sur une table se trouve un lourd volume. L’avisant, il décide de le prendre et s’installer à une table moins encombrée pour commencer à le feuilleté, surpris d’abord par l’image de deux pendus et de créatures marines, puis absorbé par le dessin de deux jolies femmes en train de se toucher. Si absorbé qu’il ne remarque pas les résistants espagnols qui viennent d’entrer dans l’auberge et voudraient l’exécuter sur le champ. Mais leur chef refuse et annonce qu’ils font prisonnier l’officier français.
Comme celui-ci tarde à réponde, le chef tapote sur le livre de la lame de son sabre, alors l’officier lui demande une minute de délai, car il est en train d’admirer ces jolis dessins. Avisant le dit dessin, les quatre hommes suspendent l’arrestation, et le rejoignent dans son effort purement intellectuel d’appréciation de l’art de la gravure.
Le chef s’inquiète tout de même de ce que font leurs ennemis et ordonne à ses trois hommes d’aller voir dehors. Mais c’est seulement pour se concentrer sur leur lecture. Mais l’officier français se lamente : il ne sait pas lire la langue espagnole. L’officier espagnol tourne quelques pages et s’exclame : « C’est à propos de mon grand-père ! » et il commence à traduire ce qui est écrit : « Le Comte Ollavedez, qui n’avait pas encore amené de colons dans la Sierra… »
Ils sont interrompus par un des hommes de retour qui appelle son capitaine. Les deux officiers se retournent, visiblement dégoûtés : l’homme en bas explique qu’ils sont encerclés, et qu’ils ne savent pas quoi faire. Le capitaine lui répond de refermer la porte de l’auberge, parce qu’il y a un courant d’air. L’homme n’en a pas vraiment le temps, un boulet de canon tombe tout près et le résistant espagnol semble avoir disparu. Le capitaine espanol hausse les épaules et les deux officiers se retournent vers le livre : « où en étions-nous… dans la Sierra Morena. Cette chaîne d’abruptes montagnes s’étend entre l’Andalousie et la Mancha. Elle était habité par des brigands et des tziganes réputés se nourrir des cadavres des voyageurs qu’ils tuaient… »
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