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- Écrit par David Sicé
Just Imagine (1930)
Traduction du titre original: Imaginez seulement...
Ce film est dans le domaine public.
Sorti aux USA le 23 novembre 1930.
Sorti en France le 6 novembre 1931.
Sorti en DVD américain le 6 janvier 2009 (image de mauvaise qualité, DVD gravé à partir d'une vidéo).
De David Butler. Avec El Brendel, Maureen O'Sullivan, John Garrick, Frank Albertson, Hobart Bosworth, Kenneth Thomson, Ivan Linow, Joyzelle Joyner.
New-York 1880, une rue tranquille avec ses fiacres, ses piétons qui traversent n’importe où, aucun éclairage électrique, aucun avion, quelques pochards. La 5ème avenue en 1930, une foule d'autobus et de voitures roulent dans tous les sens, et celui qui essaie de traverser la route y arrive presque, avant d'être projeté en l'air alors même qu'il allait atteindre le trottoir. En 1980, les gens n’ont plus de noms, seulement des numéros, et le gouvernement leur dit qui épouser. Le policier chargé de contrôler le trafic flotte au milieu des avions qui avancent au pas grâce aux hélices horizontales de leurs ailes au milieu des gratte-ciels encore plus nombreux et plus gigantesques. Jack 21 descend de son avion et monte sur celui d’Helen 18 pour l’informer qu’il a le jugement de tribunal qui doit décider duquel MT 3 et Jack 21 aura le droit d’épouser Helen 18 – et le tribunal a choisi MT3, parce qu'il a écrit un article de presse remarquable. Jack a fait appel et il a quatre mois pour prouver qu’il est quelqu’un de plus remarquable que MT 3, sauf qu'il n'a aucune chance en théorie d'accomplir quoi que ce soit d'extraordinaire. Helen est déçue et Jack lui donne rendez-vous pour le soir venu.
Après quoi, Jack atterrit sur sa terrasse et va s’asseoir dans un fauteuil tandis que son colocataire, Artie 42, se lave les mains dans un lavabo à séchoir à pédales et rétractable. Quelqu’un sonne à la porte et le visiophone permet de voir la femme-officier qui s’est présentée pour le recensement. Revêche, la femme refuse et l’alcool et une cigarette. Artie 42 déclare trois occupants dont le chien K9. Elle lui demande ensuite si les deux occupants sont mâles ou femelles, il lui demande de deviner. Puis elle lui demande qui sont ses parents et l’autre répond qu’ils sont nés dans des incubateurs, mais elle le traite de menteur, à raison. Puis Jack s’épanche sur le refus du juge, et se plaint qu’il ne peut rien accomplir d’exceptionnel à cette époque pour avancer socialement. L’officier rétorque qu’elle ne peut pas remplir de formulaire pour épouser quelqu’un, car c’est le seul privilège des hommes, et Artie 42 s’en félicite. Quant à Jack, il déclare qu’il aurait préféré vivre dans les années 1930, car il préfère les jeunes filles vieux jeu – et improvise une chanson à la guitare à ce sujet. Du coup son colocataire se met à rêver à son tour de blondes platines ou de brunettes exotiques des années folles, dansant en agitant un shaker ou s’occupant de ses enfants.
Puis le colocataire allume un visiophone au mur et découvre Dee 6, une jeune fille en tenue légère qui a oublié de débrancher l’écran. Elle se rhabille précipitamment et en guise de sortie, elle lui propose d’aller voir la dernière expérience de son patron : ranimer un homme mort depuis très longtemps. Arrivée à l’appartement des deux jeunes hommes, elle fait une démonstration de transformation de sa robe stricte en une tenue beaucoup plus affriolante et flashy. Or l’homme de l’expérience en question vient des années 1930 où il fut foudroyé en jouant au golf. Dans le laboratoire remplis de canons à ions et autres cornues, une assemblée de blouses blanches assiste aux premiers pas d’un homme en costume des années 1930, très surpris alors qu’il s’apprêtait à jouer son coup au golf. L’homme veut repartir chez lui, mais le professeur lui rappelle qu’ils sont 1980. L’homme des années 1930 éclate de rire, et le professeur déclare que son expérience est un succès. Cependant l’homme demande ce que le professeur va faire de lui. Le professeur lui répond qu’il s’en fiche, il n’a pas besoin de lui, mais s’il ne veut plus vivre, il peut le tuer.
Jack décide que lui et Artie devraient s’occuper de lui. Jack lui propose de s’installer chez eux. L’homme veut se rendre à son club, mais le colocataire lui fait remarquer que cela fait 50 ans qu’il n’a plus payé son abonnement. L’homme dit s’appeler Peterson, mais on lui répond que cela ne sert à rien, il lui faut un numéro. Peterson déclare s’appeler Single O. Alors l’amie de Artie 42 lui ordonne de se baisser pour se faire vacciner. En se relevant, Peterson remarque que la blouse des infirmières est largement ouverte sur les côtés et l’on peut voir ses sous-vêtements. Peterson / Single O est ravi. Puis les deux jeunes hommes l’emmènent manger… des pilules. Après avoir regretté le bon vieux temps, Peterson s’enquiert de la prohibition, qui a toujours lieu. Puis ils croisent un jeune couple devant un autre distributeur : le jeune homme demande à la jeune femme si elle veut un garçon ou une fille. La jeune femme répond qu’elle veut un garçon. Il appuie sur un bouton, et la machine leur livre un bébé garçon qu’il remet à la jeune femme, ravie…
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- Écrit par David Sicé
Voici la liste des articles de ce blog consacrés aux films de Science-fiction, Fantasy, Fantastique et Aventure annoncé pour l'année 1929. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure de la rédaction des articles.
Ici le calendrier cinéma pour 1930.
Ici le calendrier cinéma pour 1928.
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Annoncés en novembre 1929
En Allemagne
La femme sur la Lune (muet, 15 octobre 1929, Frau Im Mond)
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Annoncés en octobre 1929
Aux USA
L'île mystérieuse (5 octobre 1929 Mysterious Island - version parlante)
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Annoncés en septembre 1929
En Angleterre
Point ne tueras (20 septembre 1929, High Treason - version parlante)
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Annoncés en juillet 1929
Aux USA
Midstream (29 juillet 1929, à mi-chemin - version parlante)
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Annoncés en mars 1929
Aux USA
Point ne tueras (25 mars 1929, High Treason - version parlante)
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- Écrit par David Sicé
Frau Im Mond (1929)
Titres anglais : Girl in the Moon, Woman in the Moon.
Noter que ce film a notamment inspiré des scènes de l'album Tintin 17 : On a marché sur la Lune 1950 de Hergé.
Ne pas confondre avec le film Mal de Pierres 2016 (titre allemand : Die Frau im Mond - Erinnerung an die Liebe).
Sorti en Allemagne le 15 octobre 1929.
Sorti en Angleterre le 22 juillet 1930.
Sorti aux USA le 6 février 1931.
De Fritz Lang (également scénariste) ; d'après le roman de Thea von Harbou et les travaux scientifiques du physicien spécialiste en fusées Hermann Oberth ; avec Willy Fritsch, Gerda Maurus, Fritz Rasp, Klaus Pohl, Gustl Gstettenbaur (Gustl Stark-Gstettenbaur), Gustav von Wangenheim, Margarete Kupfer.
Pour adultes et adolescents.
Il n’y a pour l’esprit humain aucun « jamais », seulement des « pas encore ».
Le diplôme de Doctorat de Georg Manfeldt, professeur d’Astronomie – froissé et raturé. Le petit homme barbu et hirsute met dehors un grand blond en costume trois-pièces, le jetant du palier de son appartement jusque dans l’escalier, et le grand blond est retenu dans sa chute parce qu’un autre homme – Helius, en costume trois pièces et chapeau melon montait lui-même dans l’escalier. Choqué, Helius reste un temps à se retenir à la rambarde, puis relève les yeux en direction de Manfeldt, furieux, brandissant ses poings au plafond : selon ce dernier, Helius aurait dû laisser le blond (qu’il traite de putois) se briser la nuque.
Helius monte alors prudemment les marches et vient serrer la main de Manfield, qui tremble encore de colère : trente ans durant, il a vécu comme un chien à cause de ses théories – et voilà que cet individu louche vient spéculer sur sa misère en voulant acheter son manuscrit à titre de curiosité ? Comme Manfeldt aperçoit alors le chapeau de son premier visiteur sur le sol, il le ramasse lestement et le jette dans la cage d’escalier. Le chapeau vient alors coiffer l’une des deux cheminée de verre du lustre à gaz. Puis comme ils vont entrer dans l’appartement, Manfeldt revient cracher dans la cage d’escalier, tandis qu’en contrebas, le chapeau commence à fumer, et claque la cheminée de verre faisant le pendant de la cheminée coiffée.
Manfeldt suit enfin Helius dans le couloir de son appartement. Helius ramasse la carte du premier visiteur, un certain Walt Turner de Chicago. Manfeldt la déchire et Helios finit par saisir Manfeldt par le col et le pousse dans le salon, dont la porte n’est qu’un rideau, et le mur une palissade sur laquelle sont punaisés divers papiers, diplômes et affiches. Helius pose un paquet blanc sur la petite table et commence à le défaire, tandis que Manfeld s’agenouille dans un coin donnant une petite fenêtre devant laquelle sont installés un télescope et un fauteuil. Il ramasse par terre une pile de volumes reliés qu’il dépose sur le fauteuil – lequel, branlant, manque de se renverser. Puis Manfeld se relève et s’époussette, et soulève le fauteuil avec les livres pour le porter dans le salon.
Helius demande alors à Manfeld s’il peut dîner avec lui – et si Manfeld peut lui offrir un peu de pain : le paquet contenait en effet de la nourriture et une bouteille de vin. Indigné, Manfeld sort un billet de sa veste et le plaque sur un coin de la petite table : il l’a trouvé dans son manteau la dernière fois que Helius l’a quitté – il n’a qu’à s’acheter lui-même du pain avec ! Et Manfeld de rendre son billet à Helius, confus. Manfeld demande alors à Helius de lui épargner l’humiliation de voir son seul ami lui faire l’aumône. Puis il va chercher une boite ovale et la pose sur la table. Comme Helius ouvre la boite et sort le pain, Manfeld ouvre le tiroir – et la table manque de s’écrouler, retenue de justesse par les deux hommes. Helius coupe avec difficulté le pain, tandis que Manfeld utilise la pile de volumes reliés pour remplacer le pied manquant du fauteuil, l’offrant à Helius, et s’asseyant lui-même sur une caisse.
Comme Helius tartine les tranche de pain et y ajoute le jambe, les yeux du professeur s’agrandissent et il doit desserrer son col pour ne pas se trouver mal. Helius finit par prétexter qu’il n’appréciera pas son dîner s’il ne le partage pas, et Manfield finit par accepter la tartine, qu’il dévore avec empressement. Puis Manfield tend un verre ébréché pour se faire servir du vin, et attaque la cuisse de poulet.
Pendant que Manfield mange, Helius soupire, puis remarque les dessins sur le mur d’en face – un paysage désolé, des calculs ; puis une carte représentant des cratères ; puis un grand nombre de vignettes et calendriers – et enfin les coupures de presse et caricatures sur le mur côté couloir : idiot ou escroc ? peut-on lire au-dessus du portrait de Manfield à l’occasion d’un compte-rendu d’un congrès international d’astronomie – en date du jeudi 17 août 1896.
Ce jour-là, Georg Manfeld exposait sa théorie devant ses pairs – en costume impeccable, coiffé court, la moustache distinguée, il était jeune et sur de lui. Manfeld affirmait devant une assistance essentiellement constitués d’hommes barbichus ou barbus, l’hypothèse que les montagnes de la Lune regorgeaient d’or. Les plus jeunes membres du public s’amusaient apparemment beaucoup, les plus âgés dormaient, et ceux entre deux âges regardaient leurs montres à gousset et prisaient du tabac. Ce qui n’empêchait nullement Manfeld de conclure qu’il maintenait après des années d’analyses comparées que les montagnes du monde primitif lunaire contenaient plus d’or que les montagnes terrestres – et qu’un jour, le premier spationef s’envolerait vers la Lune et ramènerait de cet or sur la Terre.
Alors toute l’assistance se met à rire à gorges déployées. Surpris, Manfeld se fâche et tape du poing sur la table – affirmant que le rire est l’argument des idiots contre toutes les idées nouvelles. La respectable assemblée cesse immédiatement de rire – les sourcils se froncent, les hommes se lèvent et brandissent leurs poings, les huées fusent et à défaut de spationef, ce sont les noms d’oiseaux qui volent, tandis que le président de la séance agite en vain sa clochette pour faire revenir le calme. Manfield finit par hurler que le Progrès du monde ne s’arrêtera pas à cause des délires des ignorants sans imagination et dont les cerveaux ont une puissance inversement proportionnelle à celle de leur calcification. Alors, s’aidant de leurs clés, les savants sifflent à qui mieux mieux.
Retour au présent : Manfield achève de ronger son os de poulet sous l’œil navré de Hélios. Celui-ci aperçoit ensuite le globe lunaire à côté du « lit » du vieux professeur… une couverture sur le sol dans un autre coin de la pièce. Puis Helius finit par avouer à son ami qu’il a décidé d’aller sur la Lune. Manfield lâche son os, veut se lever mais au bord de l’évanouissement ne peut que sourire largement – il lui manque ses deux dents de devant. Puis il réalise et supplie : pas sans lui ! Helius attrape les mains tendues et rassure le vieux professeur, qui ne se tient plus de joie et fini par s’effondrer sur la table en larme.
Helius se lève et assure que l’idée du professeur va désormais triompher. Manfield sèche ses larmes et demande si un certain Windegger viendra aussi. Hélios se raidit, détourne les yeux, et finit par répondre que non. Manfield s’étonne : le plus proche collaborateur et meilleur ami d’Hélius ne viendra pas ? Helius ne répond rien et sort de sa veste une liasse de papiers, en sort un et le tend à Manfield, qui découvre une invitation aux fiançailles d’une certaine Friede Velten, étudiante en astronomie – et de Hans Windegger.
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- Écrit par David Sicé
The cat and the canary (1927)
Traduction : le chat et le canari.
Titre français : la volonté du mort (The Will of The Dead Man).
Notez que ce film a été cinq fois refait, en particulier avec le Mystère de la Maison Norman de 1939.
Sorti à New-York le 9 septembre 1927 (muet, noir et blanc teinté).
Sorti en Angleterre le 3 octobre 1927.
Sorti en blu-ray anglais EUREKA UK le 22 avril 2024 (Masters of the cinéma, format original 1.37:1, barres noires sur les côtés, teinté, 1080p, son HDMA 5.1 musique originale de Hugo Riesenfeld avec bruitages, nombreux bonus, jaquette réversible pour montrer l'un des posters originaux, livret inclus à l'intérieur du coffret)
Sorti en blu-ray américain EUREKA US le 23 avril 2024 (identique à l'édition UK)
De Paul Leni, sur un scénario de Robert F. Hill, Alfreda Cohn, Edward J. Montagne, d’après la pièce de théâtre de John Willard, avec Laura La Plante, Creighton Hale, Forrest Stanley, Tully Marshall, Gertrude Astror, Flora Finch, Artur Edmund Carew, Martha Mattox, George Siegmann, Lucien Littlefield ; produit par Carl Laemmle.
Pour adultes et adolescents
(Mystère fantastique, épouvante, comédie policière) Sur une colline solitaire recouverte de pins, surplombant l’Hudson, se dressait le manoir grotesque aux toits pointus d’un millionaire excentrique.
La médecine ne pouvait plus rien faire pour Cyrus West, dont les parents avides, tels des chats tournant autour d’un canari, l’avait poussé au bord de la folie. Dans des visions de chats noirs géants, griffus, aux crocs acérés qui le serraient pour le dévorer, il s’écroula dans son fauteuil, finalement terrassé.
Selon sa propre volonté, l’enveloppe contenant son testament devait être ouverte vingt années après sa mort. Mais il avait aussi laissé une seconde enveloppe qui ne devait jamais être ouverte dès lors que les consignes qu’il avait laissée étaient respectées.
Et vingt années durant, il fut dit que le fantôme tourmenté de Cyrus West hantait la nuit les corridors déserts de sa dernière demeure. Mais la nuit-même où le testament devait être lu, il y avait dans cette maison quelque chose de plus tangible qu’un fantôme, un visiteur chapeauté et ganté qui venait ouvrir un coffre-fort dont il connaissait la combinaison.
Et peu après, la sinistre gouvernante Mammie Plaisante tentait de faire de même, interrompu par les coups vigoureux de heurtoir à la porte d’entrée : ceux du notaire Crosby venu lire le testament de Cyrus West. Après s’être enquis de si les invités étaient arrivés, et apparemment non, il ouvre le coffre et une mite bien vivante s’en échappe alors qu’il avait lui-même fermé ce coffret il y a vingt ans de cela. Et bien entendu, les enveloppes sont décachetées.
Les invités arrivent : Harry Blythen, que le notaire reconnait ; Charlie Wilder, le cousin de Blyten —que le notaire ne reconnaît pas ; deux femmes craintives, une élégante et son chaperon, et le chauffeur de taxi moustachu refuse de les amener à l’entrée du manoir, pas pour un million de dollars ! et de les abandoner à la nuit venteuse. : Cecily et la tante Suzanne.
Arrive ensuite dans une petite voiture le binoclard Paul Jones, qui pile pour éviter d’écraser un chat noir planté au beau milieu de la route, dans le faisceau de ses phares. Comme Jones descend pour houspiller l’animal, puis se retourne pour retenir sa voiture qui avait avancé, l’un de ses pneus explose, ayant roulésur une crevasse. Immédiatement Jones se retourne apeuré, les mains en l’air ?
Et dans la bibliothèque, tous les invités, et le notaire sursautent au son de la détonation. Comme Jones s’engouffre par la porte ouverte par la gouvernante et se réfugie dans la bibliothèque, le notaire le reconnaît. Au notaire qui demande ce que c’était que cette explosion, Jones raconte, ainsi qu’à tous les autres invités, qu’on lui a tiré dessus, mais que la balle l’a manqué.
Mais il est déjà minuit et Blythen exige que le notaire lise le testament. Le notaire objecte : il manque encore Annabelle West. Justement, une autre élégande vient de frapper à la porte. Comme la jeune femme salue Jones, qui selon elle, n’a pas changé depuis que la nounou l’aura fait tombé sur la tête, tante Suzanne fait remarquer à Cecily qu’Annabelle est le portrait craché de Cyrus West, et qu’elle parierait qu’Annabelle est aussi folle que Cyrus. Ce à quoi Cecily répond que ce n’est pas le moment d’être aggressive : mieux vaut attendre de savoir qui va hériter de l’argent.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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