Nightbooks, le film de 2021
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Nightbooks (2021)
Traduction du titre: les livres de la nuit / les nuitlivres.
Attention, bien que présenté comme un film pour la jeunesse, certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes. Voir le film avant, sinon à réserver au plus de 10 ans.
Sorti à l’international le 15 septembre 2021 sur NETFLIX FR / INT.
De David Yarovesky; sur un scénario de Mikki Daughtry et Tobias Iaconis, notamment produit par Sam Raimi ; d’après Nightbooks de J. A. White, avec Winslow Fegley, Lidya Jewett, Krysten Ritter.
Pour adultes et adolescents.
Un coup de tonnerre, un immeuble en ville sous la pluie drue alors que la nuit est tombée. Dans l’appartement décoré pour Halloween, un père s’inquiète auprès de la mère d’un petit garçon qui apparemment prend la situation très mal, qui a dit qu’il n’écrirait plus jamais d’autres histoires. Et effectivement un petit binoclard arrache ses posters, met le contenu de ses tiroirs dans un sac pour les jeter. Puis comme le petit Alex va pour sortir, il entend ses parents dire que cela aiderait s’il était un petit peu plus normal. Comme la mère s’inquiète d’avoir entendu un bruit et que le père dit qu’il n’a rien tendu, Alex est déjà dans l’ascenseur. Un ascenseur qui secoue et qui le dépose à un étage plongé dans l’obscurité, où dans un appartement sur un écran rouge est projeté un vieux film de vampire. D’abord rechignant à entrer, Alex entre, regarde la télévision, trouve une assiette avec une fourchette et un morceau de gâteau. Il mange le gâteau, et s’écroule inanimé sur le tapis. La porte de l’appartement 4B se referme sur lui.
Alex se réveille dans un placard, il sort inspecte la petite pièce : il ouvre la fenêtre avec vue sur New-York de nuit. Puis il tente de sortir par l’escalier de secours et se retrouve dans la petite pièce. Une voix de femme lui demande son nom, il répond Alex Mosher. La femme répète son nom et éclate de rire. Une silhouette obscure apparait et se démasque : elle est une sorcière très occupée, l’appartement attire des enfants mais ils lui ont été inutile, alors est-ce qu’Alex a quelque chose d’inhabituel pour qu’elle le laisse vivre. Alex ne sait quoi répondre mais en apercevant son livre de nuit, il avoue qu’il écrit des histoires qui font peur. L’intérêt de la sorcière est piqué mais elle doit s’assurer que les histoires d’Alex font vraiment peur. De ce fait, il devra lire à la sorcière l’une de ces histoires chaque nuit et elles auront intérêt à être bonnes, sinon il mourra.
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Chroniques de la Science-fiction du 13 septembre 2021
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Chroniques de la Science-Fiction #2021-09-13 (2021)
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Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 28 pages A5 couleurs.
Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2021
Sorti le 15 septembre 2021 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 6 septembre 2021, plus les critiques de Nighbooks 2021, Prisoners Of The Ghostland 2021, Bad Candy 2021, Y The Last Man 2021, Perfect Blue 1998, #Alive 2020 et Alone 2020.
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Chroniques de la Science-fiction du 6 septembre 2021
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Chroniques de la Science-Fiction #2021-09-06 (2021)
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Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2021
Sorti le 11 septembre 2021 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 6 septembre 2021, plus les critiques de Le Vol du Navigateur 1986, La Foire des Ténèbres 1983, Les guerriers de la nuit 1979, Star Trek le Film 1979.
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Y : The Last Man, le dernier homme, la série de 2021
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Y: The Last Man (2021)
Attention : la production de cette série trahit la bande dessinée originale en altérant profondément ses personnages, ses lignes d'intrigues, ses messages. La série gâche également les effets dramatiques, supprime l'humour, supprime les jeux avec l'imagination du spectateur.
Productions et actrices se vantent de détourner la série au service de la propagande LGBT et la série s'inscrit dans le récent mouvement révisionniste incitant à la violence et la haine , en particulier de toute personne qui aimerait le sexe opposé. Elle justifie les exécutions hors la loi, hors jugement par des assassins du gouvernement américain, et l'assassinat par la femme qui les baise des hommes mariés qui ne veulent pas abandonner leur femme de crainte de ne plus voir leurs enfants.
Tous les passages de la bande dessinée sur les femmes héroïques à travers le monde sont censurés mis à part une allusion à Israël qui ne répond plus au téléphone quand le président des Etats-Unis a besoin de prendre une décision. Seul point positif, la production a apparemment abandonné l'idée que les hommes opérés pour ressembler à des femmes auraient survécus à la catastrophe quand bien même ils seraient porteur du gène Y.
Ne regardez pas cette série si vous êtes fatigué, malade ou stressé, n'en discutez pas sur Internet ou ailleurs car toutes ces provocations de la production visent à faciliter le fichage des citoyens en vue de leur censure, brimade et harcèlement, lisez impérativement la bande dessinée originale avant de regarder la série télévisée, en particulier parce que la production ment sur le contenu de la bande dessinée pour justifier des altérations injustifiables du point de vue du respect de l'oeuvre, des auteurs, des lecteurs et des spectateurs.
Une saison de 10 épisodes de 45 minutes chaque environ.
Annoncé aux USA à partir du 13 septembre 2021 sur FX US.
De Eliza Clark, d'après la bande dessinée de Brian K. Vaughan, dessiné par Pia Guerra. Avec Diane Lane, Ben Schnetzer, Olivia Thirlby.
Pour adultes.
Un singe capucin explore les habitacles des voitures abandonnées dans les rues d’une grande ville… jonchée de cadavres en costumes de ville. Suis-je en train de regarder un épisode de plus (= de trop) de The Walking Dead ? Je n’en sais rien. En haut d’un immeuble, un hélicoptère repose en équilibre impossible à l’angle du toit en terrasse. Le maître du singe est un jeune homme chevelu et barbu qui retire son masque à gaz dès que la caméra est sur lui, sinon personne ne l’aurait reconnu, ce qui était le but de porter le masque dans la bande dessinée originale. A part lui, absolument personne dans la rue, mais autant de monde que vous voulez aux étages.
Comme l’hélicoptère se met à basculer, le singe capucin va se placer exactement au point d’impact, ce qui donne la première scène d’action de la série, le maître du singe qui se précipite pour sauver le singe, après que l’hélicoptère ait commencé sa chute, certainement plus rapide que l’être humain qui traverserait la rue pour dépasser la zone d’impact et sauver le singe… mais le singe et l’humain s’en tirent sans une égratignure et l’hélicoptère s’écrase après une chute de peut-être quatre étages sans projeter un seul éclat de verre ou autre, seulement de la poussière numérique. Miracle de la physique de jeu vidéo allié à l’impossibilité budgétaire de réellement faire tomber l’hélicoptère sans abîmer la façade et le trottoir.
Générique : des femmes traversent fièrement une place la tête haute sans broncher ni porter secours aux hommes qui s’écroulent autour d’elles... Imaginez maintenant la même scène en inversant les sexes.
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Zone 414, le film de 2021
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Zone 414 (2021)
Autre titre : City of Robots (la cité des robots).
Sorti aux USA le 3 septembre 2021.
Sorti en ligne en France le 13 septembre 2021 sur PRIME INT / FR.
Sorti en blu-ray américain le 2 novembre 2021.
Sorti en blu-ray allemand le 26 novembre 2021.
De Andrew Baird, sur un scénario de Bryan Edward Hill, avec Guy Pearce, Matilda Lutz, Jonathan Aris, Travis Fimmel.
Pour adultes
Un taxi jaune roule le long d’une voie d’une route suspendue. Un hélicoptère survole une zone industrielle et son port. La tour Veidt Corporation. Un homme à la veste de cuir marche le long d’un couloir, franchit une porte à code grillagée, contrôlée par un scan facial. Il prend un pistolet, le charge tandis qu’une jeune fille aux cheveux courts et noir lui dit qu’il faut que cet endroit s’arrête et qu’elle entend une voix qui dit que tous les hommes là-haut mourront seul avec ceux qui n’ont pas aidé. Elle tombe à genoux, l’homme l’exécute d’une balle en plein front, puis décolle le cuir chevelu de sa victime pour révéler une capsule dont le centre clignote en bipant. L’homme récupère le centre tandis qu’on emmène le corps de la « jeune femme » dans un sac à cadavre.
Un homme arrive qui se présente comme Joseph Veidt se présente comme le psychologue de la famille et l’invite à s’asseoir : aucune hésitation, Jane était programmée pour apitoyer son exécuteur et le tueur n’a pas hésité une seule seconde. Il explique qu’il sait faire la différence entre ce qui est vivant ou pas. L’homme était inspecteur de police, il a pris sa retraite. Mais Veidt veut entendre pourquoi il a choisi de quitter son travail : lorsque son équipier était pris en otage, l’homme a refusé de suivre le protocole. Veidt lui demande s’il regrette sa décision. Le tueur l’admet. Puis il explique qu’il a besoin d’argent, et qu’il tuerait sans hésiter quelqu’un. Veidt déclare que son évaluation est terminée, le tueur a gagné le droit de rencontrer son frère.
Il est 22h57 à l’heure indiquée par la caméra de surveillance. La limousine amenant le tueur se gare devant le château, avec deux maîtres-chiens pour l’accueillir. On fait entrer « David » dans le hall tandis que carillonne façon big ben une horloge quelque part. Veidt sénior lance un « bienvenue dans mon empire » et David le suit dans un salon. La mission est la fille de Veidt, Melissa ; il n’a pas besoin que la police la retrouve, car il sait exactement où elle se trouve et il veut quelqu’un qui ne ruine pas le pragmatisme avec des principes. David répond qu’il n’est pas certain de comprendre. Veidt senior répond qu’il est certain que David n’en soit pas certain, alors il va l’aider : que sait-il de la zone 414 ? David répond que c’est le seul endroit où des androïdes peuvent interagir librement avec des êtres humains. Veidt senior corrige avec fierté, ses androïdes.
Puis Veidt s’approche et demande à David s’il sait ce que Veidt a fait avec sa technologie : il prend David par le bras et l’entraine tout en expliquant qu’il a construit l’antidote à la solitude du monde moderne. Trouver de la compagnie est rare de nos jours : il a vu un vide et il l’a comblé. Veidt tire alors une chaise de la table, et David s’y assoit. Veidt reprend son explication : alors le gouvernement a récompensé Veidt avec la zone 414, un endroit où il pourrait tester sur le terrain ses créations, afin de voir comment elles interagissaient avec l’humanité : la zone 414, la cité des robots. Est-ce que David y est déjà allé ? David répond embarrassé que le salaire d’un flic ne permet pas habituellement de s’offrir des produits de luxe, donc non. Toujours aussi fier, Veidt confirme que la zone 414 est devenu la destination touristique du moment, son petit Eden métropolitain, avec toute la crasse et aucun crime. Il écarte les bras et une gouvernante âgée vient immédiatement retirer sa veste.
Veidt senior reprend : on lui a recommandé de faire payer l’entrée 100.000 livres (sterling), et il a répondu : « non, faites payer ça un million ! » et cinq jours plus tard, il avait une liste d’attente de six mois : pour 20 millions de livres, on pouvait acheter l’une de ses merveilleuses créations, et il en a vendu dix-sept l’année dernière. Bien sûr, il faut se porter candidat pour une autorisation et se soumettre à la surveillance gouvernementale et blah et blah et blah. David répond qu’il ne savait pas qu’il était légal d’en posséder en dehors de la zone. Et Veidt de confirmer : c’est illégal pour quelqu’un comme David. Puis Veidt senior insiste : Mr Carmickael, ma fille est dans la zone 414 et j’ai besoin de vous pour la ramener de là-bas… et dans la foulée, qu’il ramène Jane, sa création la plus unique.
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