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Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 13 février 2024
Affichages : 551

Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

Kingdom of the Planet of the Apes (2024)
Traduction du titre : le royaume de la planète des grands singes.
Titre français : La Planète des Singes: Nouveau Royaume.

Annoncé aux USA le 10 mai 2024.
Annoncé en France le 22 mai 2024.
Annoncé en Angleterre le 24 mai 2024.

De Wes Ball (également producteur) sur un scénario de Josh Friedman, Rick Jaffa (également producteur), Amanda Silver, Patrick Aison d'après les films et le roman La planète des singes de 1963 de Pierre Boulle ; avec Owen Teague, Freya Allan, Kevin Durand, Peter Macon, William H. Macy.

Pour adultes.

(Post-apocalyptique dystopique potentiellement woke toxique, presse) Un jeune singe entreprend un voyage qui l'amène à remettre en question tout ce qu'on lui a appris sur le passé et à prendre des décisions qui détermineront son avenir.

Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

Kingdom Of the Planet Of The Apes, le film de 2024

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

***

Chroniques de la Science-Fiction du 12 février 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 12 février 2024
Affichages : 569

Chroniques de la Science-Fiction du 12 février 2024

Chroniques de la Science-Fiction #2024-02-12

Numéro précédent <> Numéro suivant.

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 6 pages A5 couleurs.

Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2024

Sorti le 19 janvier 2024 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Désormais, l'exemplaire .pdf ne contient plus que le calendrier des diffusions et des sorties de la semaine, reproduit ci-dessous.

***


Les sorties de la semaine du 12 février 2024
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.

*

LUNDI 12 FEVRIER 2024

BLU-RAY UK
Alligator 1980+1991 (monstre mutant, 2br+2x4k, 12/2, 101 FILMS UK)
Invasion Of The Body Snatchers 1975** (remake, 4k, 12/2, limited, ARROW UK)
Doctor Who: The Daleks 1963 in Colour 2023** (colorisé remointé, br 12/2, BBC)

*

MARDI 13 FEVRIER 2024

TÉLÉVISION US
Quantum Leap 2023* S2E11 : (13/2, NBC US)
La Brea 2024** S3E06 : The Road Home 2 (13/2, NBC US) final, fin de la série.

BLU-RAY US
The Ballad of Songbirds and Snakes 2023* (br+4K, 13/2, LIONSGATE US)
The Marvels 2023* (fantasy superwokissime, br+4K, 13/2, DISNEY US)
Hypnotic 2023** (hypnose, mutant, virtuel, br, 13/2, RELATIVITY US)
Willy’s Wonderland 2021** (plagiat de Five Nights At Freddy’s, Nicolas Cage, br+4K, 13/2, SHOUT FACTORY US)
Alaska Seas 1954 (aventures, br, 13/2, KINO LORBER US)
Universal Classic Monsters 1931*** (monstres fant., Dracula***, Frankenstein****, The Mummy***, The Invisible Man***, The Bride of Frankenstein*, The Wolf Man***, The Phantom Of The Opera**, The Creature Of The Black Lagoon***, 8x4k, 13/2, UNIVERSAL US)
The Walking Dead Daryl Dixon 2023* (série, 2br, 13/2, RLJ ENTERTAINMENT US)

*

MERCREDI 14 FEVRIER 2024 - SAINT VALENTIN

CINE FR
All of Us Strangers 2023* (faux fantastique, fantôme, romance LGBTQ) 14/2, ciné FR.

CINE DE+US+IT
Madame Web 2024 (superwokissime) 14/2, ciné DE+US.
Les Trois Mousquetaires II 2023 (avent.woke) 14/2, ciné IT.

TÉLÉVISION US/INT
Resident Alien 2024** S3E01 : Lone Wolf (14/2, SYFY US)

BLU-RAY FR
Predator: Prey 2022* (monstre wokissime, br+4K, 14/2, DISNEY FR)

BANDE-DESSINEE FR
Prima Spatia 2024 T2 : La Traque (Filippi / Camboni, 14/2, VENTS D’OUEST FR)
Chroniques d’Atlantide 2024 T2 : Le miroir noir (Martino, 14/2, GLENAT FR)
Lynx 2024 T4 : (spaceop, Perrotin / Eremine, 14/2, PAQUET FR)
Travis 2024 T17 : Les pluies sèches (Duval / Quet, 14/2, DELCOURT FR)

*

JEUDI 15 FÉVRIER 2024

CINEMA DE
The Creation Of The Gods 2023**** (fantasy épique, 15/2, ciné DE)

TELEVISION INT+US
Halo 2024*** S2E03: Visegrad (spaceop, 15/2, PARAMOUNT + INT/FR)
Ghosts 2024*** S03E01: The Owl (sitcom fantôme, 15/2, CBS US)

BLU-RAY DE
Groundhog Day 1993*** (un jour sans fin, br+4K, 15/2, SONY DE)
Dracula 1992** (br+4k, 15/2, SONY DE)
Ants 1977 (It Happened at Lakewood Manor, br, 15/2, FILMJUWELEN DE)

BLU-RAY IT
Mad God 2021** (sans paroles, dark fantasy, br, 15/2, PLAION IT)
The Core 2003*** (catastrophe, br+4K, 15/2, PLAION IT)

*

VENDREDI 16 FEVRIER 2024

CINE ES
Madame Web 2024 (superwokissime) 16/2, ciné ES.

CINE US
No Way Up 2024 (catastrophe, 16/2, ciné US)

*

SAMEDI 17 ET DIMANCHE 18 FEVRIER 2024

Pas d’actualité de la Science-fiction à ma connaissance.

***

La bête, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 7 février 2024
Affichages : 586

La bête, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Ne pas confondre avec le film de 1975 de Walerian Borowczyk du même titre.
Ne pas confondre avec le film La Bête dans la jungle de 2023 adapté de la même nouvelle de Henry James.


Sorti au cinéma en France le 7 février 2024.
Sorti en blu-ray français AD VITAM FR le 7 juin 2024.

Toxique : le film prétend défendre l'humanité et la liberté d'émotion pour conclure le contraire et ne montrer que des personnages pas plus humains que des zombies à n'importe laquelle des trois époques de leurs vies antérieures. On croirait le film tourné pour persuader le spectateur de se laisser décérébrer parce qu'une intelligence artificielle le lui aura dit, une intelligence artificielle programmée et tordue par on ne sait quel ennemi définitif de la nation et de l'humanité.

Spoiler : Le film donne aussi, comme tous les films woke, une image déplorable de la femme, l'héroïne étant d'une passivité, débilité, d'une imprudence suicidaire tout en jouant les bourges sophistiquées cédant invariablement à ses passions pour a) mourir noyée ou brûlée vive bien que prévenue sur le risque incendie des lieux, b) violée après assassinée par un nécrophile bien que prévenue et disposant de toute latitude pour échapper à son sort, c) prête à subir une lobotomie sous prétexte qu'elle veut qu'un déjà lobotomisé tombe encore amoureux d'elle.

De Bertrand Bonello (également scénariste), sur un scénario de Guillaume Bréaud, Benjamin Charbit, librement adapté du roman du 26 février 1903 The Beast in the Jungle (La bête dans la jungle) de Henry James; avec Léa Seydoux, George MacKay, Guslagie Malanda, Dasha Nekrasova, Martin Scali, Elina Löwensohn.

Pour adultes

(presse, prospective fantastique, vie antérieure, woke, toxique) Une blonde en pantalon et chemisier lamé, se tient debout pieds nus sur un fond vert. Le réalisateur, en voix off lui ordonne : « Commence à marcher. Encore. Okay, par ici ça va. Tourne-toi un peu… Euh, tu vois, là derrière moi, ça c’est le salon d’où tu viens ; l’escalier est juste là, sur la gauche ; sur ta droite, tu as la fenêtre de la cuisine ; sur la table, qui est ici, tu as le couteau. »

Il n’y a que du vert autour d’elle : pas de table, pas de couteau. Mais la blonde regarde bien vers sa droite. Le réalisateur reprend : « Et tu vois la marque, en scotch ? »

Il n’y a pas de marque en scotch, nulle part. « Euh, vraiment sur ta droite ? » L’actrice ne répond rien, regarde le réalisateur : « ça, c’est là où va apparaître l’ombre de la Bête : à un moment, tu regardes par là, et tu la vois. »

La blonde regarde par-dessus son épaule droite. « Okay ? » Elle repond « Okay. » et regarde à nouveau la caméra, c’est-à-dire le réalisateur.
Le réalisateur hésite puis déclare : « Ben… dégage un peu tes cheveux. »

La blonde ramène et lisse ses cheveux relativement courts en arrière. « Voilà, comme ça… » encourage le réalisateur : « … et fais deux trois pas vers moi. »

La blonde rajuste sa ceinture et fait les pas en question : elle est désormais cadrée à mi-cuisses, arborant l’expression vaguement constipée de tous les acteurs et actrices français de nos jours, généralisée depuis peut-être les années 1990 : cela doit mettre en valeur le gloss sur ses lèvres et éviter d’abîmer son maquillage avec des expressions et des micro-expressions un peu naturelle et définitivement plus convaincante quand il s’agit d’incarner un personnage digne de ce nom.

La caméra s’approche, la cadrant désormais à la taille ; le réalisateur demande : « ça va ? » et elle répond, s’animant un peu avec un sourire asymétrique plus marqué du côté gauche : « ça va, je suis prête. »

Va-t-elle se fouler un cil ? Le suspens est intolérable. Elle hausse les épaules, puis laisse retomber ses épaules et ses bras. Possiblement son échauffement du jour : c’est quand même physique le métier d’acteur.
Le réalisateur dit enfin : « Et c’est… quand tu veux. »

Et nous passons sur une autre caméra, serré sur son visage, de trois-quart profil droit. On entend alors de vagues effets sonores, rappelant vaguement un très lointain vrombissement d’hélicoptère et des coups sourds, qui, si l’on en croit les regards de l’actrice, pourrait venir de plusieurs côtés et d’en haut, mais rien n’est moins certain car nous n’avons pour l’instant vu nulle part les hauts parleurs qui sonoriseraient ce plateau.

De manière piquante, alors que la blonde maintenant se déplace pieds nus en reculant, sur le tapis vert, nous entendons le bruit des pas que font ses chaussures sur un parquet. Et elle se retrouve tout de suite à côté d’une table peinte en vert — qui n’était certainement pas à cette place quand elle est entrée sur le plateau par sa droite. Il y a bien un couteau de cuisine posé sur la table, comme annoncé. Après une hésitation, elle empoigne le couteau.

Alors nous passons au point de vue d’une caméra qui cadre la blonde de dos à mi-cuisse, tenant le couteau, et la table a soudain disparu, alors que ladite table se trouvait exactement sous la main qui avait empoigné le couteau.

La blonde se retourne pas très vite, recule et logiquement aurait dû alors heurter la table qui aura subitement disparu, probablement au montage, alors que la scène est censée être tournée d’une seule prise.

La blonde regard autour d’elle avec la caméra qui serre toujours davantage sur son visage, puis sur son nez, sur son œil droit, puis hop, l’image saute, et nous revoilà moins serré cette fois sur son œil gauche et sa boucle d’oreille gauche.

La blonde lève les yeux, puis se tourne vers sa droite et se met à hurler de manière pas vraiment convaincante tandis que son image se brouille suite à l’application inopiné du filtre « verre dépoli » de Totoshop, version animée.

Titre du film : « la Bête »

Sans transition (vous vous attendiez à quoi avec une écriture et un montage pareil ?), une violoniste en robe de soirée Belle époque (?) joue devant les lambris doré d’un salon raccord, accompagnée d’un pianiste à nœud papillon moyennement raccord concernant la coiffure masculine (pas de brillantine) ou la pilosité faciale (ni moustache, ni barbiche, ni barbe). En théorie, il devrait être en queue de pie, mais j’en doute fortement.

Un élégant jeune homme lui aussi plus ou moins habillé belle époque avec cette fois un nœud d’Ascot semble improbablement faire tapisserie dans ce genre d’évènement mondain, faisant mine d’admirer la violoniste et d’apprécier la musique, mais il est probablement là seulement pour être dans le champ de la caméra au début du mouvement qui consiste à s’écarter pour laisser la même blonde du début se poser en plein milieu de l’écran, avec le même air mi-constipée du début, mais un maquillage et une perruque blonde plus ou moins raccord avec l’ambiance Belle époque. Elle porte un pendentif doré de style égyptien et des gants.

A lambiner depuis le salon où la violoniste et le pianiste joue jusqu’à un autre de la même réception, elle croise entre autres un serveurs, à peine brillantiné et sans pilosité faciale (la production de ce film est vraiment fauchée), qui porte un plateau de trois coupes d’un champagne transparent et pratiquement sans bulle. A court de Périer ? C’est fou !

La blonde attrape une coupe, remercie le serveur et continue sa promenade. Elle boit une gorgée de son « champagne », puis s’approche d’une travestie à qui elle souffle : « Pauline ? Vous n’auriez pas vu mon mari ? » et Pauline répond : « Il était dans l’aut’ salon il y a quelque minute. »

Les deux femmes relèvent leur menton, la blonde se détourne, Pauline la brune reste scotchée au mur du troisième salon, ce qui pose la question de quel pourrait être « l’autre salon » et de si la réplique a été écrite en totale ignorance d’où serait tourné la scène.

La blonde en tout cas a fait demi tour et s’est remise à marcher nonchalamment à pas relativement lourd, dodelinant de la tête à chaque pas sans veiller à son maintien ni à son port : ce n’est pas comme si elle évoluait dans la haute société, mais en fait si. Ou alors elle aura déjà trop bu de son « champagne » (une gorgée si l’on en croit le montage).

La caméra balaye un quart du salon pour s’arrêter sur un blond un peu plus brillantiné que les autres, toujours pas de pilosité facilae, nœud papillon et impossible de voir s’il porte la queue de pie Belle Epoque. Il semble s’en aller après avoir jeté un coup d’œil entendu à la blonde.

La caméra étant occupée à panner sur les lambris peints en blanc et leurs dorures, c’est en voix off que la blonde demande à quelqu’un sur son ton pas particulièrement distingué : « Tu n’aurais pas vu Georges ? » et une femme inconnue lui répond : « Si, il était dans le salon de l’autre côté il y a cinq minutes. »

La femme inconnue apparaît marchant avec la blonde : c’est une brune d’âge mür avec collier d’argent en forme de serpent et aigrette blanche dans le serre-tête rehaussé de strass. Elle demande : « Mais dis-moi, pourquoi dans les fêtes on cherche toujours les gens avec qui on vit, et que l’on voit tous les jours ? »

Une autre question pertinente serait : Et pourquoi dans les fêtes ne tiendrait-on de conversation que de trois courtes répliques sans égard ni aucun a-propos ?

Et les deux semblent être dans le troisième salon d’une suite qui n’en compte que trois : je ne vois pas comment la blonde aurait pu louper son mari en balayant les trois salons depuis le début apparent de la prise, à part si elle l’aurait étranglé discrètement et caché dans un placard, le piano à queue n’étant pas la meilleure cachette bien que je n’aurais su dire si le pianiste en jouait pour de vrai.

La blonde pouffe fort intelligemment et les deux femmes partent dans des directions opposées. Elle prend une autre gorgée de « champagne », et revenant dans le second salon, elle est accostée par une troisième femme, plus gironde, en noir : « Vous vous amusez ? — Beaucoup, mais j’ai perdu mon mari… — Oh quelle chance ! Profitez-en… — J’en profite ! » et d’ajouter en brandissant sa coupe de « champagne » dont elle n’a pris que deux gorgées, et cela se voit : « Trop ! »

Après quelques pas, la veuve noire déclare : « Je crois que je l’ai vu partir par là, il a dû aller voir l’atelier… — L’atelier ? — Vous n’avez pas rencontré Anton ? — Non… »

La veuve noir attire vers elle un jeune homme au gilet bordeaux et cheveux blonds vaguement raphaëliens – non brillantinés, aucune pilosité faciale, nœud d’ascot ? qui avait une grande conversation inaudible à moins de cinquante centimètres de ces dames : « Anton ! » et de présenter la blonde : « Gabrielle ». La veuve noire explique : « On lui a prêté une pièce au fond de la maison pour qu’il puisse travailler : ce soir, il montre des choses, allez-y : c’est puissant et aussi sombre que l’époque est lumineuse… Curieux contraste. »

Le jeune homme sourit sans montrer les dents ni dire quoi que ce soit. « Dans ce cas… » dit encore la veuve noir : « Je vous laisse ! »

Dans quel cas ?

Ils semblent tous les deux simultanément se mettre à marcher dans une direction précise. « C’est par là, demande Gabrielle. Et Anton répond : « Oui. Après le salon du fond, à droite. »

Quatre salons en enfilade et personne ne sait compter ou donner un point de repère du genre celui du piano, ou celui près de l’entrée ?

Arrangeant, Anton propose : « Je peux vous emmener si vous voulez ? »

Ce n’est pas ce qu’il était déjà en train de faire en prenant la même direction que Gabrielle et en confirmant qu’il s’agissait de celle de l’atelier ?
Gabrielle répond : « Merci, mais je peux me débrouiller ».

Apparemment pas, vu tout le temps perdu depuis le début de la scène à prétendre chercher son mari et à s’entendre répondre : « Il dans l’autre salon » trois fois, puis « il est dans l’atelier. »
Anton, toujours serviable : « Mais vous ne voulez pas un verre avant ? »

Comprenez-le, il n’expose que devant des invitées trop saoules pour y voir clair et résister à son art « puissant et sombre ».

« J’ai un verre ! », répond Gabrielle en brandissant sous le nez de l’artiste sa coupe de champagne quasiment pleine. D’un autre côté, Anton pourrait être aveugle et comme ça il sentira au moins l’odeur des bulles, à supposer qu’il y en ait encore depuis tout ce temps, s’il y en a jamais eu.

Anton ajoute : « Et un gant qui cache quelque chose. »

Comment a-t-il deviné que Gabrielle était lépreuse ?

« Je m’incline, déclare Anton : j’espère que cela vous plaira. »

« J’en suis sûre ! »

Et Gabrielle d’entrer dans le cinquième salon — une bibliothèque — à l’entrée duquel l’attendait le même serveur que dans le salon de musique — la maison n’en a qu’un — avec trois coupes de champagne sur son plateau, le même nombre que dans le salon à musique : faut croire que les invités n’en prennent jamais qu’une seule à la fois.

Gabrielle dépose sa coupe presque pleine définitivement remplie d’un liquide clair en comparaison de celui plus doré des coupes sur le plateau, prend une coupe de ce qui ressemble davantage à du champagne qui ne mousse plus mais pétille encore.

Gabrielle longe les rayons de reliures apparemment précieuses et manque de se casser la figure parce que les robes longues et étroites, c’est traître à toutes les époques, même en terrain plat et sans avoir bu deux gorgées de prétendu champagne. Histoire de pousser le challenge, elle entre dans le salon suivant en buvant une gorgée de son plus probable champagne.

Gabrielle arrive alors devant un premier tableau représentant Nicolas Sarkozy à poils cuisses écartées assis entre un fond blanc et un fond noir. Plus loin au mur deux autres toiles représentant deux hommes, l’un semblant se soucier de modestie. Plus loin un jeune homme probablement nu se cache derrière une femme à robe rouge devant un arbre dépenaillé aux feuilles noire, et il y a un portrait relativement classique d’un blond à menton pointu – apparemment habillé.

Gabrielle en est à considérée les cours de la bourse et la grosse bite d’abordage du second homme nu de l’exposition quand elle semble remarquer l’homme de dos qui s’intéressait de plus près au portrait du blond habillé…

Mais elle préfère s’absorber dans la contemplation d’un autre homme nu cuisses écartées qui se baisse : plantée le nez dessus, elle laisse l’homme qu’elle avait repéré la rejoindre : ils ont tellement en commun…
Le jeune homme lui glisse à l’oreille : « Vous en pensez quoi ? »

Les deux ont le visage très rouge, mais cela doit être le champagne. Elle répond : « C’est… violent. Psychiatrique. Mais c’est beau, je trouve. »

Le jeune homme assure : « Il pourrait vous peindre… »

Nue cuisse écartée, mais certainement très cher.

Ils se regardent, lui, souriant, elle pouffant fort intelligemment. Elle fit par répondre : « Jamais de la vie… Je tiens à mon âme. »

Le jeune homme reprend comme elle ferme les yeux : « Vous vous souvenez, n’est-ce pas ? »

Elle rouvre les yeux et demande « De quoi ? »

Il répond : « Que nous nous sommes déjà rencontrés. — Ah oui ? — … à Rome, il y a des années, il y a trois un an, un dîner organisé après une représentation de Madame Butterfly. Vous étiez avec votre oncle et votre tante ; vous portiez une robe d’un vert assez foncé et un chignon. »

Toutes les femmes portent le chignon à cette réception…

Gabrielle réfléchit, puis se retourne vers le jeune homme : « C’était à Naples, pas à Rome »

Sans faire la liaison entre « pas » et « à » ; or la liaison est obligatoire en français soutenu, surtout avant la seconde guerre mondiale, entre l’adverbe monosyllabique et le mot qui suit : Gabrielle aurait dû dire « paz’à Rome. » mais ce n’est qu’une des bourdes anachroniques que les acteurs et actrices de ce film enquillent depuis le début de la scène.

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

La bête, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Lisa Frankenstein, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 9 février 2024
Affichages : 526

Lisa Frankenstein, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Lisa Frankenstein (2024)

Toxique : le film présente positivement une héroïne psychopathe qui fait mutiler et tuer les garçons de son école pour finalement par se laisser brûler vive parce que "l'amour est éternel".

Sorti aux USA le 9 février 2024.
Sorti en Angleterre le 22 mars 2024.

De Zelda Williams, sur un scénario de Diablo Cody (également productrice) inspiré du Frankenstein 1931 et suivants ; avec Kathryn Newton, Cole Sprouse, Liza Soberano, Henry Eikenberry, Joe Chrest et Carla Gugino.

Pour adultes

(Comédie romance fantastique trash woke toxique, presse) Un jeune homme amoureux abandonné par la jolie fille à laquelle il faisait la cour meurt foudroyé alors qu’il lisait sous un arbre au bord de l’eau. Il est, fort curieusement enterré au cimetière du bois des célibataires, comme si être célibataire, c’était comme être juif, suicidé ou excommunié.

Une jeune pouf se maquille outrageusement dans sa chambre aux murs verts et au miroir encadré de rose, s’enfumant de laque à cheveux. Sa mère ? (en fait Jeannette sa demi-soeur) vient lui rappeler qu’elle a besoin de se socialiser. La jeune fille va donc dans une cabane au fond du jardin s’enfermer dans une capsule de bronzage et manque de mourir électrocuté, mais malheureusement, le film ne s’arrête pas là : la mère ? emmène sa fille à une fête où il y aura un dentiste.

Lisa propose de faire un détour par un cimetière – hanté ou abandonné, désacralisé, parce que c’est ce que font habituellement les jeunes filles quand elles vont à une fête ailleurs en ville. Elisa raconte alors qu’elle a une tombe favorite, elle parle au buste du jeune homme, le décore de bijoux de femmes ayant appartenu à sa mère.

Elles arrivent à la fête sans avoir fait le détour. Lisa va hésitante jusqu’à une glacière pour prendre une canette alors un joli garçon lui fait remarquer que l’alcool est à l’intérieur de la maison. Il se présente comme Michael et la reconnait comme Lisa Swallow. Elle s’étonne qu’il connaisse son nom ; or ils vont à la même école et Michael est le rédacteur en chef du journal de l’école auquel elle envoie ses articles, et il la complimente : vraiment bon, sombre et sexy.

A deux pas, la copine de Lisa raconte à une blondasse, bien qu’elle ait juré de ne jamais le faire qu’il y a deux années, alors que Lisa était seule avec sa mère dans sa maison un tueur à la hache est entré et a massacré sa mère. Lisa a appelé la police mais le tueur était déjà arrivé. Lisa n’a plus parlé pendant quelques mois. Mais lorsque la blondasse lui demande ce qu’en a pensé le père de Lisa, la copine change de sujet.

Débarque une grosse vulgaire qui propose à Lisa de boire dans une coupe verte un truc inconnu, évidemment drogué. Sa copine arrive, lui reproche d’avoir bu, puis l’abandonne pour aller reprocher à la grosse d’avoir drogué Lisa. Pendant ce temps, Lisa entre dans la maison et s’assoie par terre, visiblement mal en point, un garçon plus mince et plus petit qu’elle la relève pour l’emmener dans un endroit « plus sûr ». Il déteste les fêtes.

Dans le couloir par où elle passe, un tableau semble s’animer. Puis saisie d’une crampe, elle se met vomir e il lui tient les cheveux. Il s s’assoient sur le lit, il lui offre un mouchoir. Dehors un orage vert éclate. Lisa sourit les yeux fermé et le garçon demande si ça lui fait du bien, qu’il lui touche le sein. Lisa se lève et quitte la chambre, titube hors de la maison, apparemment jusqu’au cimetière, alors que l’orage est de plus en plus menaçant. Elle y retrouve la tombe, le buste, les bijoux de sa mère pendant au cou du buste, dont elle caresse la joue.

Puis elle rentre chez elle, et furieuse, casse son miroir. Dehors, la foudre a frappé la tombe du célibataire. Lisa rêve alors qu’elle est une espèce de poupée dessinée en noir et blanc, à laquelle le portrait de sa mère conseille de se laver les mains. Elle s’assied au bord du lit, et se trouve à côté du buste du célibataire, qui lui tend un chewing-gum pour l’haleine.

Le lendemain, sa copine la réveille une main dans le slip, et comme la copine demande ce qui s’est passé la veille, Lisa répond qu’elle est tombée, et sa copine répond qu’elle aussi. Au petit-déjeuner, la belle-mère et mère de la copine reproche à Lisa d'avoir cassé le miroir de la salle de bain. Son père décide qu'elle devra nettoyer et payer les dégâts. C'est-à-dire que la télévision annonce que la tombe du célibataire aurait été frappée par la foudre.

Lisa Frankenstein, le film de 2024

Lisa Frankenstein, le film de 2024

Lisa Frankenstein, le film de 2024

Lisa Frankenstein, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Chroniques de la Science-Fiction du 5 février 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 5 février 2024
Affichages : 499

Chroniques de la Science-Fiction du 5 février 2024

Chroniques de la Science-Fiction #2024-02-05

Numéro précédent <> Numéro suivant.

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 6 pages A5 couleurs.

Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2024

Sorti le 18 janvier 2024 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Désormais, l'exemplaire .pdf ne contient plus que le calendrier des diffusions et des sorties de la semaine, reproduit ci-dessous.

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Les sorties de la semaine du 5 février 2024
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.


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LUNDI 5 FÉVRIER 2024

BLU-RAY UK
The Kingdom 1994** (Riget 1,2, Exodus, horreur, fantôme, 7 br, 5/2, MUBI UK)

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MARDI 6 FÉVRIER 2024

TÉLÉVISION INT
Quantum Leap 2023* S2E10: (woke, 6/2, NBC US)
La Brea 2024** S3E05 : The Road Home part 1 (monde perdu, 6/2, NBC US)

BLU-RAY FR
Perseo l'invincibile 1963 (heroic fantasy, br+dvd, 6/2, ARTUS FILMS FR)
The Day the Earth Froze 1959** (Sampo, heroic fantasy, br+dvd, 6/2, ARTUS FR)

BLU-RAY US
BloodRayne 2005* (fantasy, br+4K, 6/2, MASSACRE VIDEO US)
Burnt Offerings 1976 (fantôme, Trauma, br, 6/2, KINO LORBER US)
Terminal Man 1974 (cyberpunk, M. Crichton, br, 6/2, SHOUT FACTORY US)
OSS 117, 5 films collection 1963** (technothriller, vf, 3br, 6/2, KINO LORBER US)
The Kingdom 1994** (Riget 1,2, Exodus, hor, fantôme, 7 br, 6/2, MUBI US)
Handyman Saitou in Another World 2023 S1 (série ani, ftz, 2br, 6/2, CRUNCHY)
Attention, les doublages anglais de chez cet éditeur wokisent la version originale.
Tears To Tiara 2009 S1 (série animée, fantasy, 3br, 6/2, SENTAI US)

*

MERCREDI 7 FEVRIER 2024

CINE FR
La Bête 2024 (dystopie, réincarnation, romance) 7/2, ciné FR.

CINE US
Paprika 2006**** (animé, cyberpunk, rêve) ressortie 7/2, ciné US.

BLU-RAY FR
Le règne animal 2023 (apocalypse mutant, br+4K, 7/2, STUDIO CANAL FR)
The Creator 2023* (robots cyberwoke, br+4K, 7/2, DISNEY FR)
Batman v Superman: Dawn of Justice 2016* (super, 2br+4K, 7/2, ulti, WARNER)
V For Vendetta 2005*** (dystopie, br+4K, 7/2, WARNER BROS FR)
The Mandalorian 2020* (fx starwars, 2br+2x4K, 7/2, DISNEY FR)

BANDE-DESSINEE FR
Les guerres d’Aran 2024 T3 : La bataille…, 7/2, Jarry / Yerofeieva, SOLEIL FR)

*

JEUDI 8 FEVRIER 2024

CINEMA DE
Night Swim 2024* (horreur fantôme, 8 /2, ciné DE)
All Of Us Strangers 2023 (LGBTQ fantôme, 8 /2, ciné DE)

TELEVISION INT
Halo 2024*** S2E01+2: Sanctuary + Sword (spaceop militariste, 8 /2, PARAMOUNT + INT/FR)

TELEVISION US
Sanctuary: A Witch's Tale 2024 S1E07 (fantastique, sorcier, policier, adapté du roman de 2020 de V.V. James, AMC US)

BLU-RAY DE
The Deep House 2021** (zombies, br+4K, 8 /2, TURBINE MEDIEN DE)

*

VENDREDI 9 FEVRIER 2024

CINE US
Lisa Frankenstein 2024 (comédie romance fantastique) 9/2, ciné US.
Out Of Darkness 2024 (fantasy préhistorique) 9/2, ciné US.
Here For Blood 2022 (comédie horrifique démons) 9/2, ciné US

BANDE-DESSINEE FR
Le champ des possibles 2024 (rom. Virtuel, Cazot / Bernarbé, 9/2, DUPUIS FR)

*

SAMEDI 10 ET DIMANCHE 11 FEVRIER 2024

Pas d’actualité de la Science-fiction à ma connaissance.

***

  1. Orion And The Dark, La nuit d'Orion, le film animé de 2024
  2. Les Chroniques de la Science-fiction de 2024
  3. Les Chroniques de la Science-fiction, le fanzine de 2005 à 2024
  4. Chroniques de la Science-Fiction du 29 janvier 2024

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