Dr. Syn, le roman de 1915
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Doctor Syn (1915)
Sous-titre anglais : A Tale of the Romney Marsh (un conte du marais de Romney).
Sorti en Angleterre en juillet 1915 chez Nelson Press.
Adapté en film en 1937 sous le titre de Doctor Syn.
Adapté en film en 1962 sous le titre anglais Captain Clegg et le titre américain Night Creatures.
Adapté en mini-série en 1963 avec Patrick McGoohan sous le titre Walt Disney's Wonderful World of Color: The Scarecrow of Romney Marsh, remontée en film sorti en Angleterre au cinéma le 12 décembre 1963 (FR: 11 août 1965) sous le titre Dr Syn, Alias the Scarecrow.
De Russell Thorndike.
Pour adultes et adolescents.
(aventure, pirate, presse) Christopher Syn se contentait de mener la vie tranquille d'un vicaire de campagne à Dymchurch-under-the-Wall sous le patronage de Sir Charles Cobtree, le père de son meilleur ami Anthony Cobtree, jusqu'à ce que sa jeune et belle épouse espagnole, Imogene, soit séduite par Nicholas Tappitt, que le Dr Syn considérait comme un ami proche, et s'enfuit avec lui. Alors Syn part en quête de vengeance.
*
Le texte original de Russell Thorndike de 1915.
I
TO THOSE who have small knowledge of Kent let me say that the fishing village of Dymchurch-under-the-wall lies on the south coast midway between two of the ancient Cinque ports, Romney and Hythe.
In the days of George III, with Trafalgar still unfought, our coast watchmen swept with keen glasses this broad bend of the Channel; watched not for smugglers (for there was little in Dymchurch to attract the smuggler, with its flat coastline open all the way from Dover cliffs around Dungeness to Beachy Head), but for the French men-o'-war.
In spite of being perilously open to the dangers of the French coast, Dymchurch was a happy little village in those days—aye, and prosperous, too, for the Squire, Sir Antony Cobtree, though in his younger days a wild and reckless adventurer, a gambler and a duellist, had, of late years, resolved himself into a pattern Kentish squire, generous to the village, and so vastly popular.
Equally popular was Doctor Syn, the vicar of Dymchurch: a pious and broad-minded cleric, with as great a taste for good Virginia tobacco and a glass of something hot as for the penning of long sermons which sent every one to sleep on Sundays. Still, it was clearly his duty to deliver these sermons, for, as I have said, he was a pious man, and although his congregation for the most part went to sleep, they were at great pains not to snore, because to offend the old Doctor would have been a lasting shame.
The little church was old and homely, within easy cry of the sea; and it was pleasant on Sunday evenings, during the Doctor's long extempore prayers, to hear the swish and the lapping and continual grinding of the waves upon the sand.
But church would come to an end at last, as most good things will, although there was a large proportion of the congregation—especially among the younger members—who considered that they could have even too much of a good thing.
The heavy drag of the long sermon and never-ending prayers was lifted, however, when the hymns began. There was something about the Dymchurch hymns that made them worth singing. True, there was no organ to lead them, but that didn't matter, for Mr. Rash, the schoolmaster—a sallow, lantern-jawed young man with a leaning toward music—would play over the tune on a fiddle, when led by the Doctor's sonorous voice, and seconded by the soul-splitting notes of Mipps, the sexton, the choir, recruited entirely from seamen whose voices had been cracked these many years at the tiller, would roll out some sturdy old tune like a giant pæan, shaking the very church with its fury, and sounding more like a rum-backed capstan song than a respectable, God-fearing hymn.
They felt it was worth while kneeling through those long, long prayers to have a go at the hymns. The Doctor never chose solemn ones, or, if he did, it made no odds, for just the same were they bellowed like a chanty, and it was with a long-drawn note of regret that the seafaring choir drawled out the final Amen.
Very often when a hymn had gone with more spirit than usual the Doctor would thump on the desk of the three-decker, addressing the choir with a hearty, "Now, boys, that last verse once again," and then, turning to the congregation, he would add: "Brethren, for the glory of God and for our own salvation we will sing the—er—the last two verses once again."
Whereat Mr. Rash would scrape anew upon the fiddle, Doctor Syn would pound out the rhythm with a flat banging on the pulpit side, and after him would thunder the sea salts from the choir with an enthusiasm that bade fair to frighten hell itself.
*
La traduction au plus proche
I
À CEUX qui connaissent mal le Kent, je dirai que le village de pêcheurs de Dymchurch-under-the-wall se trouve sur la côte sud, à mi-chemin entre deux des anciens Cinque ports, Romney et Hythe.
À l'époque de George III, alors que Trafalgar n'avait pas encore eu lieu, nos gardes-côtes surveillaient de près ce large coude de la Manche, non pas à la recherche de contrebandiers (car il n'y avait pas grand-chose à Dymchurch pour attirer les contrebandiers, avec sa côte plate ouverte sur toute la longueur des falaises de Douvres, autour de Dungeness, jusqu'à Beachy Head), mais à la recherche de mercenaires français.
En dépit du fait qu'il était dangereusement ouvert aux dangers de la côte française, Dymchurch était un petit village heureux à cette époque - et prospère, aussi, car le Squire (NdT: propriétaire terrien de la Noblesse anglaise), Sir Antony Cobtree, bien que dans sa jeunesse un aventurier sauvage et téméraire, un joueur et un duelliste, s'était, ces dernières années, résolu à devenir un Squire Kentish typique, généreux envers le village, et donc très populaire.
Tout aussi populaire était le docteur Syn, le vicaire de Dymchurch : un ecclésiastique pieux et large d'esprit, avec un aussi grand goût pour le bon tabac de Virginie et un verre de quelque chose de chaud que pour la rédaction de longs sermons qui envoyaient tout le monde dormir le dimanche. Pourtant, il était clairement de son devoir de prononcer ces sermons, car, comme je l'ai dit, c'était un homme pieux, et même si ses fidèles s'endormaient pour la plupart, ils s'efforçaient de ne pas ronfler, car offenser le vieux docteur aurait été une honte durable.
La petite église était vieille et accueillante, à proximité de la mer, et il était agréable le dimanche soir, pendant les longues prières extemporanées du Docteur, d'entendre le clapotis et le grincement continuel des vagues sur le sable.
Mais la messe avait une fin, comme toutes les bonnes choses, bien qu'une grande partie de la congrégation, surtout parmi les plus jeunes, considérait qu'ils en avaient déjà bien trop profité.
Le lourd fardeau du long sermon et des prières interminables s'était toutefois dissipé lorsque les hymnes avaient commencé. Il y avait quelque chose dans les hymnes de Dymchurch qui les rendait dignes d'être chantés. Certes, il n'y avait pas d'orgue pour les diriger, mais cela n'avait pas d'importance, car Mr. Rash, le maître d'école - un jeune homme maigre, aux jours creuses, qui avait un penchant pour la musique - jouait l'air sur un violon.
Lorsqu'il était dirigé par la voix sonore du Docteur, et secondé par les notes qui fendaient l'âme de Mipps, le sacristain, le chœur, entièrement formé de marins dont la voix était devenue rauque au fil des années à la barre, déroulait un vieil air robuste comme un paon géant, faisant trembler l'église de sa fureur, et ressemblant plus à une chanson de cabestan imbibée de rhum qu'à un hymne respectable et pieux.
Ils pensaient que c'était la peine de s'essayer aux hymnes après toutes ces longues prières à rester à genoux. Le Docteur ne choisissait jamais de cantiques solennels, ou, s'il le faisait, cela ne faisait aucune différence, car ils mugissaient tout de même comme un shanty (NDT chant de marin pour travailler), et ce fut d'une note finale rallongée par le regret que le chœur de marins concluait leur "Amen".
Très souvent, lorsqu'un hymne s'était déroulé avec plus d'entrain que d'habitude, le Docteur frappait sur le pupitre de la chaire, s'adressant au chœur en déclarant chaleureusement : "Maintenant, les gars, le dernier couplet encore une fois", puis, se tournant vers l'assemblée, il ajoutait : "Mes chers frères, pour la gloire de Dieu et pour notre propre salut, nous allons chanter les... les deux derniers couplets encore une fois".
Alors M. Rash grattait à nouveau le violon, le docteur Syn martelait le rythme sur le côté du pupitre, et après lui, les marins du chœur tonnaient avec un enthousiasme qui aurait pu effrayer l'enfer lui-même.
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Star Trek : Prodigy, la série animée de 2021
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Star Trek : Prodigy (2021)
Traduction du titre : L’épopée des étoiles, Prodige.
Deux saisons de 40 épisodes de 24 minutes chaque environ.
Diffusé à partir du 28 octobre 2021 sur Paramount + US et Nickelodeon US.
Annulée le 23 juin 2023 alors que la seconde saison était en cours de production.
Seconde saison diffusée en France à partir du 22 mars 2024 streaming gratuit légal sur France Télévision FR (version française, tous les épisodes de la série)
De Kevin Hageman et Dan Hageman, d’après Star Trek, la série télévisée de Gene Roddenberry. Avec Brett Gray, Ella Purnell, Jason Mantzoukas, Angus Imrie, Rylee Alazraqui, Dee Bradley Baker, Jimmi Simpson, John Noble, Kate Mulgrew.
Pour adultes et adolescents.
(Space Opera woke) Dans une mine au fin fond d’une planète perdue dans une nébuleuse interstellaire, des extraterrestres récoltent des cristaux et malgré le fait de disposer d’une technologie très avancée, ils utilisent encore le chargement à dos d’hommes pour d’autres tâches ou le travail en ligne d’assemblage par de bêtes ouvriers soudeurs comme dans les années 1920 sur la Terre.
Alors qu’une barge chargée de cristaux oranges fluorescent est hissée jusqu’à une trappe au sommet de la voûte de la caverne, un jeune extraterrestre bleu compte le nombre de seconde que le chargement met à atteindre la trappe, ajoutant à haute voix visiblement à l’intention du télespectateur que c’est son ticket pour sortir de la mine. Comme il tourne les talons, il se fige, se retourne et surpris constate que juché sur un piton juste en face, il y a un robot à deux pattes et deux bras avec un projecteur à la place de son œil de cyclope. Là encore, il demande au spectateur s’il a lui aussi vu ce truc.
Puis comme le mineur derrière lui répond d’un grognement, le garçon bleu-rose (la couleur des bisexuels selon la conférence de presse de Disney+ à propos de l’épisode euh, « révélation » de la saison 1 de Loki) soupire que personne ici ne comprend rien à rien. La remarque s’adresserait-elle comme les précédentes au spectateur de ce dessin animé ?
Le garçon va pour faire démarrer un engin, s’attire une remarque bipée par un robot voisin, répond par un sarcasme, déclenchant l’intervention d’un autre robot plus grand et menaçant, aux yeux rouges (au cas où le spectateur qui ne comprend rien à rien n’aurait pas compris que c’est un robot méchant) qui se nommerait Drednok (Dread Knock ?), apparemment le chef de la mine. Intimidé, le garçon demande ce qu’il vient faire ici, et Drednok lui demande, hologramme à l’appui, s’il a vu le fugitif zéro.
L’hologramme montre précisément l’espèce de cyclope perché sur le piton tout à l’heure, qu’absolument tout le monde a dû voir dans la mine vu que c’était le point le plus exposé de tout le chantier. Bien sûr, le garçon prétend ne pas l’avoir vu. Drednok soulève le gamin ( ?) par le col de sa chemise et l’appelant Prisonnier Dar R’El (Dart from Hell ?), lui demande quelle espèce il est. Ouh le vilain dialogue d’exposition, comme si un robot n’aurait pas eu accès au fichier complet d’un esclave dont il connait le nom, ou l’équivalent local de la Wikipédia. D’rel prétend ne pas le savoir lui-même, alors qu’au même moment le « fugitif Zéro » non seulement l’observe mais l’écoute.
Etonnamment le méchant robot ne dispose à l’évidence pas du moindre capteur de sons ou d’images ou ses applications ont un sacré bug. Mais Dr’ok en déduit, par la grâce des scénaristes, que Dr’El a vu le fugitif Zéro et darde un de ses tentacules de soudure dans sa direction. Dr’ok hurle et Zéro enfonce son bras dans ce qui ressemble à une armoire électrique haute tension, et curieusement, ne flambe pas immédiatement comme une torche. Encore la grâce des scénaristes qui doivent penser pouvoir tout se permettre vu que leurs spectateurs ne « comprennent rien à rien », traduisez automatiquement « sont trop c.ns. » aka sont censés être des gamins qui n’ont jamais suivi ni Star Trek Original ni la Nouvelle Génération.
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A Most Atrocious Thing, le film de 2024
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A Most Atrocious Thing (2024)
Traduction : une chose des plus atroces.
Sorti aux USA le 22 mars 2024.
Annoncé en blu-ray américain le 7 mai 2024.
De Christian Hurley et Ben Oliphint (également scénaristes et acteurs), sur un scénario de Dylan DeVol et Max Shepardson (également acteurs); avec Will Ammann, Matthew Wassong, Bryan Taira, Johnny Nordquist, Grant Oliphint.
Pour adultes et adolescents ?
(Comédie horrifique zombie) Une bande d'étudiants va passer un week-end dans un chalet au fond des bois. L'un d'eux a la très mauvaise idée de chasser le cerf, et l'idée encore plus mauvaise de le cuisiner à dîner pour toute la bande sans le cuire suffisamment.
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Late Night With The Devil, le film de 2023
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Late Night With The Devil (2023)
Traduction : Fin de soirée avec le Diable.
Artificiel : Compte tenu de ses incohérences et lacunes typiques de les récits générés par les modèles de langage de type Chat GPT 4, le scénario de ce film a vraisemblablement été écrit à l'aide d'une intelligence artificielle.
Noter que la version présentée en festival n'incluait pas les images générées par Intelligence Artificielle.
Sorti aux USA et en Angleterre le 22 mars 2024.
Sorti en Australie le 11 avril 2024.
Diffusé à partir du 19 avril 2024 sur SHUDDER US.
De Colin Cairnes et Cameron Cairnes (également scénaristes) avec David Dastmalchian, Laura Gordon, Ian Bliss, Fayssal Bazzi, Ingrid Torelli, Rhys Auteri, Georgina Haig, Josh Quong Tart.
Pour adultes.
(Faux documentaire, fantastique, possession) Un tube cathodique devant un plateau de télévision désert décoré à la manière des années 1970 s’allume bruyamment diffusant de la neige.
Des images d’actualité violentes se bousculent alors à l’écran, tandis qu’une voix off commente : les années 1970, une époque agitée et de défiance, de peur et de violence : la télévision documente le chaos, retransmet l’horreur dans nos salons. Mais elle offre aussi le confort : 4 avril 1971, le premier épisode des Oiseaux de Nuit de la chaîne UBC : tous les espoirs de la chaîne d’un succès d’audience reposent sur les épaules du présentateur, un animateur radio populaire de Chicago.
« Bonsoir les oiseaux de nuits, je suis votre hôte, Jack Roy, et merci à me laisser entrer dans votre salon pour le premier de ce que j’espère de nombreux épisodes. J’aimerai remercier tous ceux qui aident à faire prendre vie à ce rêve, en particulier ma chère maman et mon chère papa restés à Berwyn dans l’Illinois, que je sais assis devant leur télévision à regarder avec un grand sourire The Tonight Show avec Johny Carson. »
Coup de grosse caisse, rires et applaudissement.
Avec son mélange de sketchs, de jeux, d’interviews et de musique, Les Oiseaux de Nuits avec Jack Delroy captive les cœurs et les esprits de l’Amérique de Minuit… Cinq nuits par semaine, Jack Delroy aide une nation anxieuse à oublier ses problèmes…
En novembre 1972, Jack signe un contrat de cinq ans avec le propriétaire d’UBC, Walker Bedford. Avec une nomination aux Emmy attachée à son nom, et une part d’audience en augmentation, Jack a pour objectif de décrocher la première place des talk-shows d’après 21 heures.
Constamment aux côtés de Jack , son épouse, l’actrice de théâtre chérie du public, Madeleine Piper. En dépit de la quête acharnée de Jack pour être le numéro un, ils sont considérés comme le couple plus heureux et le plus endurants du showbiz. Madeleine est sa muse, et sa confidante, mais elle n’est pas la seule source de soutien.
L’association de Jack avec le Bosquet, un club réservé aux hommes situé dans les forêts de Séquoias de Californie a fait l’objet de rumeurs depuis ses débuts à la radio. Fondé dans les années 1800 et comptant parmi ses membres des politiciens, gens du spectacles et capitaines de l’industrie, le Bosquet s’est longtemps présenté comme un inoffensif camp d’été pour les riches et les puissants. Mais les spéculations tourbillonnent quant à son goût pour les cérémonies ésotériques et son pouvoir de faire et défaire les carrières.
Quatre saisons de plus et les taux d’audience ne parviennent pas à égaler ceux de Carson. Les nominations s’accumulent, mais aucun trophée. La réputation d’endurance de Jack commence à en pâtir : il sait que l’Histoire ne se souvient que des rois.
Puis, en septembre 1976, le monde de Jack fut bouleversé quand Madeleine, une non fumeuse, est diagnostiquée avec un cancer du poumon en phase terminale. En octobre, Madeleine fait une apparence spéciale dans l’émission… Ce fut l’épisode le plus regardé de toute l’histoire des Oiseaux de Nuit. Et pourtant, il manqua encore un point pour rattraper le taux d’audience de Carson.
Deux semaines plus tard, Madeleine était morte. Jack, éploré, tint les médias à l’écart. Il partit précipitamment de New-York, pour aller on ne sait où. Mais seulement un mois plus tard, à la surprise de beaucoup, UBC annonça son retour.
Mais l’écart entre Delroy et Carson continue de se creuser. Jack et son producteur de long, Leo Fiske se démenèrent pour courtiser toujours plus la controverse dans un pari pour augmenter leur part d’audience. L’audience est en chute libre, les annonceurs publicitaires étaient nerveux. Le contrat de Jack devait bientôt expirer. Ils allaient tout perdre lorsque la semaine des sondages d’audience Nilsen commençait la nuit d’Halloween 1977. Un Jack désespéré planifia alors un épisode censé lui apporter un revirement de fortune.
Ce que vous êtes sur le point de voir est l’enregistrement récemment découvert de ce qui a été diffusé cette nuit-là à la télévision, ainsi que des images inédites tournées en coulisses. Il s’agit de l’évènement télévisé en direct qui choqua une nation : « Fin de soirée avec le Diable. »
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3 Body Problem, la série de 2024 sur Netflix
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3 Body Problem (2024)
Ne pas confondre avec l'adaptation chinoise de 2023 sur YouTube chaîne WE TV.
Ceci n'est pas une adaptation fidèle du roman.
Une saison de 8 épisodes chacun d'une durée non précisée.
Diffusé à partir du 21 mars 2024 sur NETFLIX INT /FR.
De David Benioff, D. B. Weiss et Alexander Woo; d'après le roman de 2008 The Three-Body Problem (le problème à trois corps), de Liu Cixin.
Pour adultes.
(prospective, invasion extraterrestre, virtuel, presse) Ye Wenjie est une astrophysicienne qui a vu son père brutalement assassiné pendant la révolution culturelle chinoise. Plus tard, elle a été enrôlée par l'armée en raison de sa formation scientifique et envoyée dans une base radar secrète dans une région reculée de la Chine. La décision fatidique qu'elle a prise dans les années 1960 se répercute à travers l'espace et le temps jusqu'à un groupe de scientifiques de notre époque, les obligeant à faire face à la plus grande menace qui pèse sur l'humanité.
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