Space Above And Beyond S01E03: Cavalier seul (1995)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 401
Space: Above And Beyond S01E03: The Farthest Man from Home (1995)
Traduction : L'Espace, au-dessus et au-delà : L'homme (l'être humain) le plus loin de chez lui.
Titre français : Cavalier seul.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Space 2063 (1995)
Diffusé aux USA le 1er octobre 1995 sur FOX US.
Diffusé en France le 9 octobre 1996 sur M6 FR.
Sorti aux USA le 8 novembre 2005 (4:3, zone 1, piste et sous-titres français inclus, sans documentaire bonus)
Sorti en DVD Anglais le 30 avril 2012 édition collector (4:3, zone 2, anglais non sous-titré, avec documentaire bonus)
De Glen Morgan, James Wong. Avec Morgan Weisser, Kristen Cloke, Rodney Rowland, Lanei Chapman, Joel De La Fuente, James Morrison , Glen Van Ross.
Pour adultes et adolescents
(Space Opera militariste, guerre, prospective, extraterrestre) Planet Tellus, Système stellaire de Fornax.
Les ruines fumantes de la colonie terrienne, dans la pénombre : un astronef éventré, des cadavres, la lueur vive d’un phare de la barge qui descend sur place, un escouade qui débarque, en tenue de combat, casqué, lunettes de vision de nuit.
Découvrant un premier cadavre gisant comme endormi, le premier commando laisse échapper un « Mon Dieu ! » et de se demander si les Chigs (les Gyphes) ont le même dieu que les humains. Le chef de l’escouade intervient : « D’accord, on n’est pas l’Eglise ; récupéez le dommage collatéral et dégagez. Cette Z.L. (zone locale) est chaude. »
Les membres de l’escouade s’éparpillent et inspectent les débris épars arme lourde brandie du bras droit, lampe torche balayant le sol à la main gauche. L’un des commandos lance un « Oui, M’sieur, par ici ! »
Deux commandos ont posé un genou à terre entre deux cloisons arrachées : « Personne ne pourrait survivre à ça… » remarque l’un, et l’autre de répondre : « C’est la section arrière. » Ailleurs un homme ordonne : « Jette un coup d’œil à ça… » et au sol, git un enfant mort.
Comme l’un des commando s’agenouille pour éclairer le corps du faisceau de sa lampe torche, il entend un tissu claquer – ce n’est autre que le drapeau roussi de la colonie. Le commando se lève et inspecte le drapeau et soudain entend un raclement provenant de l’entrée de l’abri détruit voisin. Des morceaux de paroi forment comme un tas devant, et le commando en fait tomber un bout…
Soudain un survivant bondit hors de sa cachette en hurlant, renversant le commando, qui crie de l’arrêter , de le retenir, et après une très courte poursuite au milieu des ruines, l’homme est encerclé et aveuglé par toutes les lampes-torches braquées sur lui.
Alors le survivant se met à crier : « Attendez, attendez : je suis l’humain le plus loin de chez lui, d’accord ? », et se retournant, il le répète. Le chef lui répond : « D’accord, du calme, Monsieur. » Et de se présenter lui-même : « Je suis le Capitaine Joyner, des Forces Spéciales de l’Armée des Etats-Unis. Nous somme ici pour vous ramener à la maison. »
Mais le survivant se détourne et tend son doigt vers le plus haut point du ciel : « Regardez là ! Juste là ! Là-haut ! Vous voyez ? » Il se retourne vers le capitaine Joyener : « Il y a douze milliards de gens, douze millards de vies ! Et puis il y a moi, d’accord ? Douze milliards de vie et puis seulement moi ! »
Et comme le survivant le répète, un vrombissement court au-dessus d’eux et un des commandos crie « En approche! » Et tandis que les commandos se jettent à terre et que le survivant reste planter là debout, les mains en l’air, deux astrochasseurs plongent et l’un d’eux lâche une boule de feu qui frappe juste derrière le survivant.
Celui-ci se met alors à avancer en déclarant : « Vous n’pouvez pas me ramener chez moi… Vous voyez ces gens, ils peuvent y aller ! Je leur ai dit qu’ils pouvaient y aller, mais pas moi ! Pas moi ! »
Et les chasseurs ennemis de faire un nouveau passage, et de nouvelles flammes de jaillir au point d’impact de leurs tirs, illuminant la nuit. Les commandos remontent précipitamment dans leur barge, empoignant au passage le survivant qui continue de hurler : « Je suis l’humain le plus loin de chez lui ! »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
Dead Boys Detectives, la série de 2024
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 513
Dead Boys Detectives (2024)
Traduction du titre : les jeunes détectives morts.
Une saison de 8 épisodes.
Noter que cette série se situe dans le même univers que la bande dessinée Sandman.
Notez qu'il ne s'agit pas d'une adaptation fidèle de la bande-dessinée Dead Boys Detective.
Diffusé à partir du 25 avril 2024 sur NETFLIX INT/FR.
De Steve Yockey, d'après la bande dessinée Dead Boy Detectives écrit par Neil Gaiman et dessiné par Matt Wagner parue en avril 1991 parue chez D.C. Vertigo ; avec George Rexstrew, Jayden Revri, Kassius Nelson, Briana Cuoco, Ruth Connell, Yuyu Kitamura, Jenn Lyon.
Pour adultes.
(presse, fantasy urbaine, wokissime) Charles Rowland et Edwin Paine ont décidé de ne pas entrer dans l'au-delà et de rester sur terre pour enquêter sur des crimes qui impliquent des éléments surnaturels.
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.
***
Los Angeles 2013, le film de 1996
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 481
Escape From Los Angeles (1996)
Traduction du titre: L'évasion de Los Angeles.
Titre français : Los Angeles 2013.
Sorti aux USA le 9 août 1996.
Sorti en Angleterre le 20 septembre 1996.
Sorti en France le 13 novembre 1996.
Sorti inclus dans le coffret 4x4K John Carpenter (New York 1997 / Prince des ténèbres / Invasion Los Angeles / Fog) STUDIO CANAL FR le 2 octobre 2019.
Sorti en blu-ray américain SHOUT FACTORY US le 26 mai 2020.
Sorti en coffret br+4K américain PARAMOUNT US US le 22 février 2022 (disque 4K défectueux -- dialogues confiné au satellite droit -- au code barre blanc, le code barre jaune serait correct, remplacé par la Paramount; Code central du disque UHD Original défectueux : (1188566) WW151275UVR1; remplacement : 58142498/WW151275UVR2).
Sorti en blu-ray 4K français PARAMOUNT FR le 23 février 2022.
Sorti en blu-ray français PARAMOUNT FR le 6 juillet 2022.
Sorti en br+4K allemand PARAMOUNT DE le 13 juillet 2022.
Sorti en blu-ray+4K+DVD américain PARAMOUNT US le 12 octobre 2022 (Wallmart exclu jusqu'au 21 mai 2024) UHD correct.
De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Debra Hill (également productrice) et Kurt Russell (également acteur et producteur), d'après le film de 1981 de John Carpenter et Nick Castle ; avec Kurt Russell, Stacy Keach, Steve Buscemi, Peter Fonda, Georges Corraface, Cliff Robertson, A.J. Langer, Michelle Forbes, Pam Grier, Jeff Imada, Valeria Golino, Bruce Campbell.
Pour adultes et adolescents.
(Dystopie) 1998. Vers la fin du 20ème siècle, les forces hostiles à l’intérieur des Etats-Unis se renforcèrent. La ville de Los Angeles est ravagée par le crime et l’immoralité. Pour protéger et défendre ses citoyens, la Force de Police des Etats-Unis est formée.
Un candidat présidentiel prédit qu’un tremblement de terre millénaire détruira Los Angeles en guise de punition divine : « tel le puissant poing de Dieu, Armageddon descendra sur la cité de Los Angeles, la cité du péché, la cité de Gomorrhe, la cité de Sodome, et les eaux monteront, et sépareront cette cité pécheresse de notre pays. »
Un tremblement de terre atteignant 9.6 sur l’échelle de Richter frappe à douze heures et cinquante-neuf minutes le 22 août de l’année 2000. Après la dévastation, la Constitution est amendée et le président nouvellement élu accepte un mandat présidentiel à vie. La capitale du pays est déplacée de Washington D.C. à Lynchburg en Virginie, la ville d’origine du président.
L’île de Los Angeles est déclarée comme ne faisant plus partie des Etats-Unis et devient un point de déportation pour toute personne déclarée indésirable ou inadaptée à vivre dans la nouvelle et morale Amérique.
La Force de Police des Etats-Unis, telle une armée, campe le long du rivage, rendant impossible toute évasion de Los Angeles. Depuis les collines au Sud-Est du comté d’Orange jusqu’aux côtes du Nord-Ouest de Malibu, la grande muraille coupe Los Angeles du continent.
La première loi ordonnée par le président en tant que commandant en chef permanent est la Directive 17 : une fois qu’un américain perd sa citoyenneté, il est déporté sur cette île des damnés et ne revient jamais.
2013. Le présent.
Une rangé de policiers casqués avec un bouclier à l’insigne en forme d’aigle stylisé. Dans les hauts-parleurs, un homme débite : « Attention, nous sommes en alerte tactique : que tout le monde reste à son poste de combat. Je répète, restez à vos postes de combat. »
Los Angeles, Vendredi 19 heures. Dans la nuit, deux hélicoptères portant le même insigne en forme d’aigle survole une côte, avec un supermarché en ruine dont l’enseigne encore lisible mentionne que nous sommes dans ce qui était la vallée de San Fernando.
Les hélicoptères passent au-dessus des miradors de la base de la Force de Police des Etats-Unis, et en contrebas, les policiers soldats trottent tandis qu’un groupe de civils penauds attendent derrière les grilles d’être pris en charge.
Tandis qu’un van sort d’un portail aux lourdes portes blindées, un homme à la radio annonce : « Ceci est la chaîne de la Police et les nouvelles du soir : dans un sujet de dernière minute, la Force a annoncé l’arrivée du plus fameux hors-la-loi de l’Histoire des Etats-Unis à la Base de Feu numéro 7, le centre de déportation pour l’île de Los Angeles. A présent nous sommes en direct pour ce reportage sur place »
Une blonde prend un air dramatique devant les grillages retenant les civils penauds, entourés de casques et de bottes : « Héros de la guerre, criminel, l’homme le plus recherché de la Force, convaincu de 27 crimes moraux ; arrêté il y a deux semaines pour le crime de se battre à l’arme à feu pour de l’argent à New Vegas sur le territoire américain de la Thaïlande. Cela faisait seize ans depuis son fameux sauvetage dans New-York et les témoignages sur les apparitions de Plissken ont été constants tout ce temps durant… »
Une policière entre dans le poste de commandement : « Commandant ? » et un homme barbu en uniforme arborant une moue supérieure fait pivoter son fauteuil pour se tourner vers elle, qui poursuit : « Nous traçons encore l’équipe de sauvetage, Monsieur. »
Le barbu demande : « Un signal stationnaire ? » La policière confirme : « Il n’a pas bougé de cette localisation. » Le barbu en déduit en attrapant un atomiseur de parfum ou de produit désinfectant ou les deux : « Cela veut dire qu’il se cache, qu’il a été capturé ou qu’il est mort. » La policière demande : « Alors, on fait avec Plissken ? » Le barbu confirme : « c’est tout ce qui nous reste. »
Le van qui venait d’arriver ouvre automatiquement ses portes arrières : à l’intérieur, un seul prisonnier, chevelu et barbu, menotté, que quatre gardes casqués alignés en deux ailes devant les grilles retenant les civils mettent immédiatement en joue. Le prisonnier se lève et fait face aux gardes
Ses cheveux sont grisonnants, il a toujours sa barbe de trois jours, son cache-œil à gauche, son tee-shirt noir et sa veste de cuir usée, mais au moins il a échangé ses jeans contre un pantalon de treillis. Les gardes ont relevés le canon de leurs armes automatiques et encadre un chef aux cheveux blancs, qui vient d’arriver et qui déclare : « Plissken, bienvenue à L.A. Allez, on bouge… »
Apercevant le prisonnier sur l’un de ses écrans vidéos, la policière à côté du chef barbu s’étonne : « C’est ça, Snake Plissken ? » Le barbu demande à la femme : « Vous vous attendiez à quoi ? — Je ne sais pas, il a l’air si rétro, genre, du 20ème siècle. » Le barbu répond en mettant sa casquette : « Le bon vieux temps ; allons y ! »
Pendant ce temps, dans la cour, une colonne de femmes, d’enfants et de vieillards sont escortés l’entrée d’un autre bunker et dans les hauts-parleurs un homme déclare : « Vous entrez à présent dans le Centre de déportation : vous avez été convaincu de crime moral contre les Etats-Unis d’Amérique et condamné à l’expulsion permanente au-delà de ses frontières ; tout refus de se conformer aux instructions de la procédure entraînera l’usage de la force. »
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
***
The Green Hornet S01E04: Pillar of Flame (1940)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 551
The Green Hornet S01E04: Pillar of Flame (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, le pilier de feu.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacré au serial The Green Hornet 1940.
Sorti au cinéma à partir du 30 janvier 1940.
De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.
Pour adultes et adolescents
(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre quatre.
Britt Reid suspecte l’école de pilotage Bartlett d’un stratagème pour collecter à la fois la prime d’assurance pour les avions et celles pour les pilotes. En tant que le Frelon Vert, Reid visite l’école de pilotage, ligote Bartlett, le directeur de l’école, puis le force à voler avec lui dans un des avions « spécialement équipé » pour un pilote en formation.
Bartlett, face à la mort, confesse que l’avion a été saboté pour s’embraser en plein vol, et supplie le Frelon de lui ôter ses liens afin qu’il puisse s’en sortir. Mais une fois libre, Bartlett attaque traîtreusement le Frelon et…
L’avion pique du nez tandis que le Frelon Vert et Bartlett se battent dans l’étroite cabine pour le parachute de Reid. Reid crie que ça ne sert à rien, Bartlett n’a aucune chance. De la route en contrebas, Kano descendu de sa traction avant voit un parachute s’ouvrir dans le ciel. Il remonte en hâte dans le véhicule pour tenter de rejoindre le point d’atterrissage présumé.
De son côté, le petit avion continue son plongeon, fait une roue au milieu des arbres d’une forêt pour s’arrêter sur le nez, puis l’avion explose et s’embrase. De son côté, le parachutiste atterrit entre les bâtiments d’une ferme, cavalant sur deux dizaines de mètres. Kano s’arrête après une grange et se précipite hors du véhicule pour rejoindre…
… Le Frelon Vert qui a sauté en parachute avec Bartlett improbablement à cheval sur son dos : encore en vie, mais inconscient. Le directeur de l’école allongé dans l’herbe, Kato s’empresse de le fouiller mais… « Bartlett est trop malin pour avoir sur lui une quelconque preuve de sa culpabilité… »
Cependant, Kato a bien trouvé quelque chose et le montre au Frelon : un ticket de parking automobile de la Prairie, au 419 de la cinquième rue, place numéro 112, conservez ce ticket. « Un indice qu’ils peuvent utiliser ! »
Puis le Frelon Vert réalise : « Pete, c’est le mécanicien qui a téléphoné à Bartlett ! » Puis, en baissant les yeux sur Bartless : « Ramenons-le à son terrain d’aviation : nous trouverons peut-être assez de preuve là-bas pour détruire cette organisation. » Reid prend Bartlett par les bras, Kano par les pieds et ils le déposent derrière les fauteuils de leur traction avant.
Rangés sur le côté du hangard, le Frelon Vert descend, lançant à Kato qu’il ligote Bartlett et aille jeter un coup d’œil au pilote que le Frelon a dû assommer au pistolet à gaz. Pendant ce temps, le Frelon entre dans le bureau de l’école de pilotage, s’assure que le mécanicien est toujours inconscient caché sous une toile, et tente d’ouvrir les ventaux du grand placard derrière le bureau, tous verrouillés. Alors il force le premier ventail tout àfait à droite.
Il s’agit d’un vestiaire. Le Frelon Vert sort une boîte blanche qu’il ouvre et vide sur le bureau. Pendant ce temps, le mécanicien sous la toile s’agite, mais réalisant qui est l’intru, s’empresse de faire semblant d’être encore inconscient. Pendant ce temps, le Frelon remet en place le contenu de la boîte.
Du côté de Kato, le pilote assommé est toujours inconscient. Kato se relève et revient faire son rapport au Frelon dans le bureau de l’école d’aviation : « Ce pilote se réveillera sous peu et n’ira pas plus mal. » Et le Frelon Vert de montrer à son chauffeur ce qu’il a trouvé sdans la boîte : « C’est ce que j’espérais trouver : la preuve de comment ils fabriquent leurs bombes incendiaires ! Cela convaincra même le procureur du District. »
Le Frelon remet ce qu’il vient de montrer dans la boîte, et donne la boîte à Kano : « Mets ça dans la voiture. » Puis il décroche le téléphone et compose un numéro au cadran, le numéro de la résidence privée du procureur du District… Le valet décroche, le Frelon demande si le procureur est chez lui, et le valet répond que non : il sera de retour d’ici une demi-heure. Le valet demande s’il y a un message à transmettre. « Non, répond le Frelon, pas de message : je lui amène quelqu’un à voir. »
Pendant ce temps, le mécanicien a épié toute la conversation. Le valet demande qui parle, le Frelon ne répond rien et raccroche, puis sort du bureau. Aussitôt le mécanicien se relève, et se tortille car il est encore ligoté. Le Frelon remonte dans sa voiture qui s’en va en bourdonnant.
Le bourdonnement réveille le pilote, qui se relève et se précipite dans le bureau de l’école pour trouver Pete le mécanicien et le libérer de ses liens. Pete est très surpris de voir le jeune pilote, tandis que celui explique que le Frelon Vert a dû s’emparer de son avion…
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
***
New-York 1997 le film de 1981
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 463
Escape From New-York (1981)
Traduction du titre : L'évasion de New-York.
Titre français : New-York 1997.
Sorti en France le 24 juin 1981.
Sorti aux USA le 10 juillet 1981.
Sorti en Angleterre le 24 septembre 1981.
Sorti en blu-ray anglais OPTIMUM UK, le 4 août 2008.
Sorti en blu-ray français STUDIO CANAL FR le 23 octobre 2008.
Sorti en coffret br+dvd américain MGM US (multi-régions vf inclus) le 3 août 2010.
Sorti en coffret deux blu-rays américain SHOUT FACTORY US (collector) le 21 avril 2015.
Sorti en coffret deux blu-rays anglais STUDIO CANAL (nouveau transfert) le 26 novembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K français STUDIO CANAL le 5 décembre 2018.
Sorti en coffret 2br+4K anglais STUDIO CANAL le 18 mars 2019.
Sorti en coffret 2br+4K SHOUT FACTORY US (collector) le 17 mai 2022 (réputé meilleur image et son du moment)
Sorti en 4K STUDIO CANAL FR le 1er mars 2023
De John Carpenter (également scénariste), sur un scénario de Nick Castle, avec Kurt Russell, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Donald Pleasence, Isaac Hayes, Harry Dean Stanton, Adrienne Barbeau.
Pour adultes et adolescents.
(Dystopie) 1988. Le taux de criminalité dans les Etats-Unis a été multiplié par quatre. New-York City devient l’unique prison de haute-sécurité pour l'entièreté du pays. Un mur de rétention de 150 mètres de haut est construit sur la rive opposée à l’île de Manhattan et entour complètement l’île. Tous les ponts et voies fluviales sont minées. La police campe telle une armée autour de l’île. Il n’y a pas de gardes à l’intérieur de la prison, seulement les prisonniers et le monde qu’ils ont construit. Les règles sont simples : une fois que vous êtes entrés, vous ne ressortez pas.
1997 : le présent. La nuit. Une jeep s’arrête au bas d’un haut mur de béton . Le chauffeur en uniforme casqué tient un talkie-walkie, et dedans, il déclare « ceci est la Station 17 de Gotham 4, Baie du Nord : j’ai une tentative d’évasion en cours, un objet à mi-chemin des eaux se dirigeant vers le mur. » Il y a une plaque scellée dans le béton quelques mètres au-dessus de la jeep : « Pénitencier de Sécurité Maximale de New-York, île de Manhattan. »
Sur le chemin de ronde qui surmonte la muraille, deux gardes armés, et quelques immeubles illuminées dans l’obscurité d’en face. Un hélicoptère passe dans ciel. Un projecteur balaie les eaux noires sur lesquelles deux hommes à plat-ventre sur un radeau recouvert d’un treillis militaire pagaient. Un haut-parleur à bord de l’hélicoptère leur annonce : « Vous avez dix secondes pour faire demi-tour. » Puis l’hélicoptère largue une torpille qui illumine d’un halo vert le dessous de la surface de l’eau. Et le radeau explose.
L’hélicoptère refait un tour en promenant ses projecteurs sur la rive, passe derrière la Statue de la Liberté en contrebas de laquelle un garde en marche demande par talkie-walkie de confirmer que la cible a bien été éliminée. Ce que fait apparemment l’équipage de l’hélicoptère par un « Ai fait un cercle autour, terminé… », et le garde d’annoncer à la Sécurité : « Ici Rehme, nous avons la confirmation de Gotham 4, nous en avons abattu deux à mi chemin de la baie, au Sud de la Batterie, deux corps à l’eau … » et on lui répond « Deux confirmés. »
Rehme lance un « très bien » et entre dans une guérite illuminée où se trouvait déjà un autre garde. Il décroche le combiné téléphonique dans la guérite, et déclare « Contrôle aérien, ici Rehme… » Sur le mur de la guérite, imprimé en blanc au pochoir : « Poste de contrôle de l’île de la Liberté. Et un peu plus loin, l’héliport au sol détrempé. Un hélicoptère est garé, un autre se pose au loin, un bus passe derrière le premier hélicoptère et devant la bannière étoilées pendue au fond depuis une passerelle.
Du bus illuminé par des néons verdâtres descend un homme en jeans et veste de cuir marron usée ( ?), chevelu barbu et borgne (Snake Plissken), suivi de trois gardes casqué visière baissé et armé d’un fusil d’assaut. Comme le barbu semble marquer un temps d’arrêt, le premier garde le pousse dans la direction du fond de l’héliport et tous se remettent en marche. Ils obliquent en direction d’escaliers descendants ouverts dans un long bloc de béton.
Au mur, au pochoir, les consignes : « pas de bavardage, pas de tabac ; suivez la ligne orange » le dernier mot étant poché à la peinture orange. Dans les hauts-parleurs, une voix de femme avertit : « Attention, vous venez d’entrer la zone de débarquement : ne parlez pas, ne fumez pas, suivez la ligne orange jusqu’à la zone d’enregistrement… Le prochain départ pour la prison est dans deux heures. Vous avez l’option de mourir et d’être incinéré sur place. Si vous choisissez cette option, notifiez-le au sergent de votre zone d’enregistrement. »
Les policiers regardent passer le prisonnier barbu, puis quelqu’un demande au petit cortège d’attendre à ce point du couloir. A la surface, une limousine blanche passe à son tour entre les hélicoptère et se gare. En descend un moustachu chauve avec une boucle à l’oreille gauche. Il soupire. Rehme vient le rejoindre et lui fait son rapport : « Nous avons un petit avion à réaction en difficulté dans la zone aérienne restreinte. »
Le moustachu demande : « Où est-il ? — A sept miles, en approche. » Ils s’en vont vers le bunker derrière eux, la zone d’enregistrement. Au bas des escaliers, dans le couloir, Rehme explique : « Nous les avons à l’écran depuis les dernières vingt minutes ; nous n’avons pas pu les contacter ; il y a eu une transmission il y a dix minutes : ils se sont identifiés comme étant David 14, et tout d’un coup plus rien. »
Alors que le vol ne répond toujours pas, Rehme ajoute qu’ils n’ont pas retrouvé ce code dans leurs archives et ont envoyé un telex à Washington, sans réponse. C’est alors que le radio du poste de contrôle leur annonce qu’il pense les avoir en contact radio, et une voix de femme leur lance : « C’est trop tard, trouducs, toutes vos armes impérialistes et vos mensonges ne pourront plus le sauver à présent : nous plongeons, nous allons nous écraser ! »
Puis derrière eux, un autre opérateur lance qu’ils ont identifié le code du vol David 14 : sur son écran, s’affiche en vert sur fond noir : aéronef identifié, code « David 14, décodé : Airforce One. » aka l’avion du président des Etats-Unis d’Amérique du Nord.
]
***
Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
***