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Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 6 juin 2024
Affichages : 1599

Star Trek, la série télévisée de 1966Feu orange télévision

Ici la page Amazon.fr du nouveau coffret intégrale 20br allemand UNIVERSAL DE, français inclus.

Star Trek S01E04: The Naked Time (1966)
Autre titre : La patrouille du cosmos : L'équipage en folie.

Épisode précédent <> Épisode suivant.

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Star Trek (1966).

Diffusé aux USA le 29 septembre 1966.
Diffusé en France (sud) sur TMC début des années 1970.
Diffusé en France le 24 août 1986 sur LA CINQ FR.
Sortie en blu-ray US le 28 avril 2009 (effets spéciaux reconstruits en HD, son 7.1, avec possibilité de voir l'épisode avec les anciens effets et son stéréo, multi-régions, piste française et sous-titres français inclus).

De Gene Roddenberry; avec William Shatner, Leonard Nimoy, DeForest Kelly, George Takei, Nichelle Nichols.

Pour adultes et adolescents.

(Space OPera) Journal de bord du capitaine. Notre position : en orbite de Psi 2000, un monde ancien désormais désert glacé sur le point de se disloquer dans les affres de sa mort. Notre mission : récupérer une expédition scientifique à la surface, observer la désintégration de la planète.

Spock et un subordonné (Tormolen) se matérialisent dans l’avant-poste en combinaison environnementale complète rouge. L’intérieur de la rotonde est entièrement recouvert d’un gel épais, y compris l’opérateur membre de l’expédition scientifique dans sa propre combinaison environnementale.

Spock pointe son pistolet radar en direction du cadavre apparemment congelé et ordonne alors à Scotty d’inspecter les systèmes de survie. Tandis que le subordonné s’en va par un couloir, Spock se retourne vers l’entrée de la station, grande ouverte dans un couloir congelé : une femme gît sur le pas de la porte, sans autre protection que son uniforme ordinaire.

Spock promène à nouveau son pistolet radar en direction du cadavre. Le subordonné revient pour son rapport : tous les systèmes de survie sont coupés. Comme le subordonné s’agenouille à côté du cadavre, Spock lui fait remarquer que quelqu’un a étranglé cette femme. Scotty lui répond que les quatre autres sont là derrière.

« Mort ? » demande Spock. Le subordonné confirme. « L’ingénieur à son poste ? » L’autre répond : « Gelé comme s’il n’en avait cure. — Et les autres ? » demande Spock. « Eh bien, il vaudrait mieux que vous voyez par vous-même, Monsieur Spock : l’un des hommes était en train de prendre une douche tout habillé. »

Spock enjambe le cadavre pour aller voir. Son subordonné retourne dans la sallle centrale et pose un artefact sur le pupitre congelé, puis ôte son gant, le déposant sur la capuche congelé du cadavre ( !). Puis il se met à quatre pattes pour inspecter avec son artefact le dessous du pupitre congelé, s’agrippant au montant du pupitre couvert de gel et souillé d’une traînée rouge, possiblement du sang.

Comme ses doigts sont posés sur le gel, la traînée rouge se met à saigner dans sa direction et les gouttes éclaboussent la peau nue du subordonné. Le subordonné se relève et agite sa main, puis la glisse sous sa propre capuche pour la renifler. Puis il renfile son gant. Spock revient pour dire à son subordonné : « Assurez-vous que nous ne nous exposons à rien. » Puis il ajoute à l’attention de son communicateur : « Ici Spock, me captez-vous Enterprise ? »

Kirk lui répond : « Affirmatif. — Tout le personnel de station est mort. » Kirk demande aussitôt : « Quel en est la cause ? — Inconnue, capitaine : cela ne ressemble à rien de ce à quoi nous avons déjà eu affaire. »

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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The Watchers, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 6 juin 2024
Affichages : 945

The Watchers, le film de 2024Feu rouge cinéma

The watchers (2024)
Traduction du titre : les spectateurs.

Titre français : les guetteurs.

Ne pas confondre avec le film Watchers 1988 et ses suites de 1990 et les films de 1998, 2000, 2013, 2016, 2022, 2024.

Sorti en Allemagne le 6 juin 2024.
Sorti aux USA, en Angleterre et au Canada le 7 juin 2024.
Sorti en France le 12 juin 2024.

De Ishana Night Shyamalan (également scénariste), d'après le roman The Watchers de 2021 de A. M. Shine; avec Dakota Fanning, Georgina Campbell, Olwen Fouéré, Oliver Finnegan.

Pour adultes et adolescents.

(Fantasy urbaine, woke, toxique, probablement artificiel) Le grondement sourd d’un tonnerre lointain… Il y a une forêt à l’Ouest de l’Irlande, qui n’apparaît sur aucune carte. On dit qu’elle attire les âmes perdues, comme les papillons de nuit vers une flamme. Personne ne peut dire exactement ce qui s’y cache, car ceux qui s’y aventurent n’en ressortent jamais.

Un randonneur en anorak rouge avec un petit sac-à-dos court dans la forêt embrumée, puis s’arrête brutalement à un endroit ressemblant à tous les autres : des troncs élancés ébarbés de leurs branches basses, aucun fourré, aucune fougère, étouffés par la pénombre et le tapis d’épines tombées des conifères ? Ou bien cette forêt interdite est néanmoins entretenue.

Le randonneur, relativement jeune, moustachu à la courte barbe reprend son souffle, consulte sa montre-chronomètres. Puis relève la tête : ô surprise, car c’était impossible à voir dans les plans précédents, le randonneur s’est arrêté pile devant un panneau en métal rouillé sur une sorte de portique bas en bois décoré de branches sèches. Sur le panneau on a maladroitement gravé en anglais : « Point de non-retour 108 » (sans doute celui avant le point de non retour 109 qui suit sur le chemin).

Et le randonneur de repartir en courant, sans crainte de heurter une branche basse, puisqu’il est désormais clair que la forêt dont on ne revient jamais est clairement entretenue par des équipes de bûcherons aux effectifs forcément sans limites, lesquels n’oublient jamais de laisser des panneaux derrière eux avant (ou après ?) de n’être jamais revenus…

Le randonneur continue de courir lourdement, ahanant, tandis que la lumière déjà faible, baisse, car le bon sens exige d’explorer une forêt interdite en partant le plus tard possible dans la journée, si possible quand les orages annoncés par la météo sont déjà en train de tonner, sans radio satellite et surtout sans moto-cross alors que le sous-bois a l’air pourtant particulièrement praticable.

Le randonneur bredouille : « Je vais avoir besoin d’aide, mon chéri ou ma chéri… » 

Et : « Le soleil a bougé ! »

Hum. Parce que le randonneur court la face levée vers le ciel — sans heurter aucun tronc d’arbres, ils doivent avoir été plantées régulièrement écartés — ni tomber dans un trou ou trébucher — la forêt a dû être plantée sur un terrain quasiment plat, nous découvrons que le Soleil est en fait haut dans le ciel et brille, et les branchages épineux ne sont pas si serrés que cela. Nous en déduisons que la pénombre angoissante est d’abord l’effet d’un filtre totoshop et non l’approche d’un crépuscule, ou quelque sortilège maléfique et autre malédiction.

Une authentique forêt primordiale pourrait cependant être assez sombre, mais le disque solaire serait difficile à distinguer, et il serait impossible de s’y frayer un chemin à moins de disposer d’une tronçonneuse, et autres objets qui taillent à volonté et se réaffûtent encore et encore. Plus il y aurait des bêtes de partout, en particulier des moustiques, sauf en hiver, mais je ne vois ni neige, ni glaçon et pas encore de pluie glacée. Et nous n’entendons pas le vent souffler à travers les branches, malgré l’orage donc la tempête annoncée par le grondement en ouverture.

Le randonneur bredouille encore : « Reste vingt-deux minutes… »

C’est fou que de courir à fond à fond longtemps au milieu de troncs embrumés permette encore un monologue d’exposition. Faut croire que la production n’a jamais fait cette expérience. Et comme je vois mal toute l’équipe courir autour du randonneur avec un micro, je suppose que c’est post-synchronisé… Ah les années années post 2015, déjà que les studios ne s’embêtaient pas beaucoup avant pour prendre les spectateurs pour des c.ns …

Puis, plus fort, le randonneur lance, parce qu’il ne manque pas d’air malgré ses ahanements : « Allez, suis la lumière ! »

Quelle lumière ? L’écran est quasiment noir un plan sur deux, la caméra n’est subjective que pour souligner sans préparer le monologue d’exposition.

Avec un dernier « Allez !!! », le randonneur s’arrête à nouveau, possiblement au même endroit que la dernière fois, parce que c’était plus économique pour le tournage : comparer avec les plans de randonnée en forêt du récent Irati 2023.

Par ailleurs, le randonneur a très bien pu courir en cercle, c’est pratiquement toujours le cas en forêt quand on ne prend aucun point de repère, que l’on ne consulte aucune boussole, et que « le soleil bouge » dans le ciel. Puis le randonneur s’arrête, reprend son souffle et s’écrie : « non ! »

Parce qu’il se tient devant le petit portique et son panneau de métal gravé maladroitement : « Point de non retour 108. »

Et parce que les wokes et la génération Z semblent être particulièrement ignorante, le randonneur n’aura même pas pensé à semer des petits cailloux blancs ou même des miettes de pain, ou marquer régulièrement à la craie ou à la peinture les troncs qu’il passait. Aka : jeu de c.ns.

Le randonneur consulte sa montre-chrono, dans le noir, mais il est peut-être nyctalope a défaut de niquer son ours woke virtuel, et s’écrie « oh mon Dieu ! » L’intéressé ne daigne pas lui répondre, et moi non plus.

Alors il répète : « oh mon Dieu ! »

Le randonneur soupire. Puis d’un coup, les oiseaux que nous n’avions ni vus ni entendus jusqu’ici s’envolent en masse depuis les arbres au-dessus de lui.

Puis le vol d’oiseau ayant quitté les hauteurs, nous n’entendons à nouveau plus que le randonneur en train de soupirer. Je réalise alors que vu la durée, la lourdeur et la vitesse de course supposée, nous aurions dû à ce compte-là aussi entendre son cœur se calmer, sursauter puis se calmer à nouveau, et cela même un sourd peut le percevoir à cause des vibrations et des fluctuations de pression. Mais cette production ne doit pas avoir de cœur…

Et voilà-t-y pas que, sans aucun matériel, et dans l’obscurité profonde, le randonneur se met à grimper à un arbre...

 

Un grondement, le randonneur regarde en bas, un oiseau s’échappe du tronc ( ?) parce que bien sûr ils n’étaient pas tous partis, le randonneur regarde les arbres, et chute lourdement parce que s’assurer ce n’est pas pour les c.ns ; et comme il a dû se blesser, il attend sur son cul qu’une bête cachée par l’obscurité, le brouillard et surtout la caméra qui regarde ailleurs, vienne le bouffer, mais juste avant il s’écrie : « C’est impossible. »

Et après : « S’il vous plaît ! Oh mon dieu ! Aaah ! Non ! » et la bête : « crunch, crunch, crac ». Il est vrai que la politesse exige de ne pas parler la bouche pleine.

Et pourtant il sait que les ours, les loups, les rats ou même les êtres humains, ça existe : la preuve, j’en ai déjà vu dans des films au cinéma. Et dans la réalité, comme tous les randonneurs, les vrais, le savent forcément.

Et je réalise que le randonneur part à la recherche d’une personne disparue sans avoir dépassé le point de non retour officiel, alors que la règle quand on part à l’aventure ou quand on recherche une personne disparue, ou quand on doit s’occuper d’enfants qui ne sont pas les vôtres, c’est JAMAIS SEUL.

NDT : à ce point, le lecteur doit savoir que la production ment au spectateur depuis le début du film, l'homme n'est pas un randonneur à la recherche d'une disparue dans la forêt dont tout le monde sait qu'on ne ressort jamais.

Et ce pauvre type n’a même pas une source de lumière avec lui, ou une corde pour se pendre, ce qui aurait été plus logique.

Sans transition, nous voilà en ville de jour avec une blondasse qui achète un perroquet à un type flou qui lui conseille d'aller visiter la campagne seule avec un drôle d'oiseau. Et c'est reparti pour les dialogues d'exposition incongrus -- elle débite au premier venu et à son oiseau ce que la production veut que le spectateur sache -- et les sempiternels clichés de remplissage d'écran vide.

La blonde va donc droit en pleine forêt en révisant apparemment l'identité usurpée d'une femme qui a la même voix qu'elle et elle aussi une mère morte (mais il y a 15 ans) et deux enfants, sa voiture tombe en panne apparemment au même endroit que là où le randonneur courait en cercle, elle sort de sa voiture, s'enfonce dans la forêt - et d'un coup le sol crisse quand elle marche et l'on entend la forêt bruisser, pas comme tout à l'heure - sa cage à la main avec le perroquet dedans (sans nourriture, sans eau, sans torche électrique etc.) et elle se met à crier dans la forêt clairement déserte à perte de vue : "Il y a quelqu'un ? Ma voiture est tombée en panne !"

Mais contrairement au randonneur, elle tombe directement sur une maison, la porte est ouverte, une vieille se présente comme Madeline ("Madeleine"), déclare qu'ils appellent l'endroit "Le poulailler", et lui présente deux plus jeunes, Ciara ("kira") et Daniel (tiens, ce prénom là ils savent à la fois le prononcer et l'écrire...) .

Et la wokette blondasse s'appelle Mina.

The Watchers, le film de 2024

The Watchers, le film de 2024

The Watchers, le film de 2024

The Watchers, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Sous la Seine, le film de 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 5 juin 2024
Affichages : 905

Sous la Seine, le film de 2024Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Sous la Seine (2024)
Titre anglais : Under Paris.

Toxique propagandaire artificiel : scénario incohérent globalement ignorant des réalités physiques, biologiques et sociologiques ; le comportement des prétendus spécialistes à l'écran vis à vis de requins est ineptes. Les défenderesses des requins (toutes des femmes aux cheveux colorés d'allure plus ou moins intellectuelles limite ) sont présentés comme prêtes à laisser tuer tout le monde en coupant la balise du requin mangeur d'hommes comme de femmes et d'enfants. Anne Hidalgo maire de Paris est caricaturée dans ce film, mais aucun autre membre de la classe politique tels le président Macron ni aucune chaîne d'information officielle, ni aucun patron des médias. La production semble ignorer que les ondes de choc des explosions sous-marines tuent les requins comme les plongeurs et il parait impossible que le niveau de l'eau monte si l'eau se déverse dans le siphon des souterrains parisiens, surtout sans faire s'effondrer aucun des bâtiments construits sur les catacombes inondées.

Diffusé à l'international à partir du 5 juin 2024 sur NETFLIX INT/FR.

De Xavier Gens (également scénariste) ; sur un scénario de Yannick Dahan, Maud Heywang ; avec Bérénice Bejo, Nassim Lyes, Léa Léviant, Aurélia Petit.

(monstres, woke, artificiel, toxique propagandaire) Les espèces qui survivent ne sont ni les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais plutôt celles qui s’adaptent le mieux aux changements.
Basé sur Charles Darwin.

NDT : La citation est fausse et contraire à ce qu’affirme Charles Darwin dans son traité L'Origine des Espèces, publiée en 1859 : une espèce survit parce qu’elle a déjà les caractéristiques physiques lui permettant de survivre aux changements et non parce qu’elle s’est adaptée.

Une boule à neige contenant une réplique miniature de la Tour Eiffel flotte entre les eaux sombres sous la surface d’une eau jonchée d’autres objets flottant à la surface, tandis que le fond d’un navire avance au-dessus.

A la surface, l’Explore Yacht (!?!) avance, son échelle pour descendre et remonter sur le pont déjà ou encore en place. Le yacht traverse une zone où la surface des eaux est abondamment jonchée de débris, tandis que deux plongeurs torses nus rangent apparemment leur équipement, et qu’une troisième membre d’équipage en chemise à fleurs fouille dans une caissette en plastique fluo.

Puis une femme (Sofia Assalas) enregistre sa présentation vidéo, l’air convaincue : « Nous sommes ici sur le septième continent, un vortex de déchets d’une superficie de trois millions de kilomètres carrés — soit quatre à six fois la France : environ un million d’oiseaux et cent mille mamifères marins meurent chaque année de l’ingestion de plastique… »

La femme s’interrompt avec un geste de lassitude : « Oh non, c’est nul ! » Le caméraman proteste : « Non mais vas-y ! »

La femme explique : « Non mais dès que je donne des chiffres, c’est nul ! » Le caméraman soutient : « mais non c’est pas nul ; tu vas pas couper : vas-y, reprend ! » La femme soupire. Le caméraman lui sourit et lui caresse le menton : « Vas-y ! Je t’aime ! » La femme sourit à son tour et minaude : « Arrête ! — Allez, on y va ! — Ok, vas-y — action ! »

La femme reprend son laïus : « Depuis plus de trois ans, avec mon équipe nous balisons différentes espèces de requins afin d’étudier leur évolution biologique… »

La voix d’une autre femme l’interrompt : « Sofia ! » et une jeune fille aux cheveux roses cavale lourdement pour stopper face au couple, talonné par un plongeur baraqué barbu torse nu : « ça y est, on a un signal… On y va ? » Le caméraman se tourne vers la femme (Sofia) : « Allez go ! »

Tous migrent vers l’arrière du pont supérieur, c’est-à-dire les escaliers menant au point inférieur, tandis que Sofia lance : « Cap sud-est, stabilisez à six mètres et vous l’attendez ! » et son compagnon : « Allez go, go, go, go, go les gars : plongée dans cinq minutes ! »

Le caméraman dépose son appareil vidéo dans un casier plastique fluo orange à côté du micro-ondes ( !) du coin cuisine en plein air ( !!!) sur le pont inférieur, tombe la chemise. L’autre plongeur, le baraqué barbu déjà torse nu répond : « Je vais charger les darts pour la biopsie, y’a juste les caméras… » et un autre homme lui répond : « C’est bon, elles sont fixées — mais les pétez pas cette fois ! »

Un autre plongeur se plaint : « Putain, elle pouvait pas nous faire plonger dans un endroit plus dégueux ? »

Dans le poste de pilotage du yacht, deux femmes se précipitent, dont Sofia, qui étrangement a trouvé le moyen de se rhabiller instantanément alors qu’elle tombait sa chemise comme les autres la minute d’avant. Sofia chausse un casque-micro et consulte l’écran LCD couleur monté sur le tableau de bord, affichant une carte à très grande échelle avec leur position et leur course… entre l’Australie et l’Amérique du Sud.

Sur le coté de la carte, sont affichés : Lilith (apparemment le petit nom de la requine, NDT : déesse mésopotamienne liée au vent et à la tempête, devenue démon infernal dans la mythologie judéo-chrétienne) ; âge 3 ans, 546 jours (NDT : une année standard fait 360 jours, 3x360 jours font 1080 jours, soit deux fois plus que trois ans) ; Espèce Mako ; vitesse 20 km/h, température 24 degrés, lieu taguée : Nord de l’Océan Pacifique ; dernier ping, 25 avril 2021, 2 heures 11 et 22 seconde de l’après-midi.

En bonus en bas à droite de l’écran, une photo de la requine qui sourit de toutes ses dents remontant à la surface pour sans doute happer un plongeur ou une autre quelconque juteuse proie.

Nous sommes donc le 25 avril 2021 à deux heures 11 au milieu du Pacifique Sud.
Sofia fronce les sourcils et demande à sa collègue la distance : « Cinq cent mètres. »

La jeune fille aux cheveux roses — qui en quelques seconde a chaussé une casquette et son casque micro — a lu la distance écrite en gros sur l’autre écran plat affichant un balayage radar et une température de 21 degrés, soit trois de plus que le premier écran au même instant. La fille aux cheveux roses sourit elle aussi de toutes ses dents en précisant : « Elle s’approche ! »

Sofia partage visiblement l’enthousiasme de sa collègue : elles vont bientôt avoir une vidéo de leurs plongeurs en train de se faire bouffer en direct. Je note qu’aucune de ces wokettes n’avaient l’intention de plonger avec les hommes.

(NDT : résumé rédigé avant d'avoir vu les scènes suivantes)

Sous la Seine, le film de 2024

Sous la Seine, le film de 2024

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Harrison Bergeron, le film de 1995

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 5 juin 2024
Affichages : 734

Harrison Bergeron, le film de 1995Feu vert cinéma

Harrison Bergeron (1995)

Diffusé le 13 août 1995 sur SHOWTIME US.
Sorti en cassette vidéo aux USA.

De Bruce Pittman, sur un scénario de Arthur Crimm, d'après la nouvelle de Kurt Vonnegut parue en 1961 dans The Magazine of Fantasy and Science Fiction d'octobre 1961; avec Sean Astin, Christopher Plummer, Eugene Levy, Miranda de Pencier, Howie Mandel.

Pour adultes et adolescents.

(Dystopie) Et la radio chantait : « Ma sucette, ma sucette, oh Sussi Sussi Sussi, ma sucette… Boum boum boum : J’appelle mon chéri Sucette, voilà pourquoi : ses baisers sont plus sucrés qu’la tarte Tatin, quoi, et quand il s’met danser son rock qui balance, mec, j’ai aucune chance : je l’appelle… Ma sucette ! »

Madison, Rhode Island, USA, apparemment dans les années 1950 s’il faut en croire la mode et la voiture garée devant le lycée à l’architecture traditionnelle américaine pour cette époque. Une jeune fille s’élance depuis la voiture garée jusqu’à deux autres jeunes filles de son âge : « Hé, Juddy, comment était ton week-end ? »

L’année est 2053.

Puis elle demande, plus bas : « Comment était ton rendez-vous avec Frank ? » Juddy répond : « Génial ! »

Curieusement, les trois jeunes filles portent une sorte de serre-tête de métal retenu par leurs oreilles, qui détonne avec le style années 1950 de leurs tenues et accessoires. La cloche du lycée sonne et trois filles traversent la rue en courant pour rejoindre leurs camarades qui se pressent d’aller en classe : « … je te dirais tout au déjeuner. »

En classe justement, l’heure est à la remise des copies : l’enseignante annonce donc « Jeanie Baily, D plus. »

Et d’ajouter : « Je sais que tu peux mieux faire, Jeannie. » L’intéressée répopnd : « Oui, Mademoiselle Hopkins. »
On entend alors un bref bourdonnement électrique, comme un léger coup de buzzer.

Puis avançant dans l’allée : « Garth Bergeron, B moins ; il me semble que vous aviez eu un B plus dans votre dernier test de Géographie ? » Le jeune adolescent confirme docilement : « Oui, Mademoiselle Hopkins. » Mademoiselle Hopkins répond : « Eh bien, c’est un grand progrès ! — Merci ! » A nouveau un bref buzz.

Mademoiselle Hopkins se retourne et dépose la copie de l’élève à la gauche de Garth Bergeron : « Morris Wilkerson, C moins : bon travail, Morris. » Morris jubile sans oser répondre quoi que ce soit. Aucun buzz.

Mademoiselle Hopkins se retourne vers la jeune fille à sa droite : « Géraldine Hoverman, C : Félicitations, Géraldine. » Un bref buzz, puis Géraldine en pouffe de joie, et un nouveau buzz, plus long. Et mademoiselle Hopkins d’en arriver à l’élève devant Géraldine : « Harrison Bergeron… A plus. »

L’intéressé baisse les yeux et grimace, tandis que Morris Wilkierson ironise : « Oh oh. » L’heure est en effet grave pour Harrison, que Mademoiselle Hopkins retient après la sonnerie annonçant la fin du cours : « Cela fait combien d’années que vous redoublez, Harrison ? Trois ? »

Harrison corrige : « Quatre… » L’enseignante réplique : « Eh bien vous n’arriverez jamais au niveau 15 avec ces notes. » Harrison répond avec un petit rire triste : « Je sais, c’est déjà assez embarrassant d’avoir votre frère cadet dans la même classe que vous… »

Mademoiselle Hokins demande alors : « Quand votre bandeau a-t-il été ajusté pour la dernière fois ? » Harrison s’indigne : « Il y a seulement un mois ! » Hopkins s’inquiète : « Ils ont augmenté l’intensité ? » Harrison confirme : « Et la fréquence ! Mais ça ne m’aide simplement pas !!! »

Hopkins console : « Ne vous découragez pas, Harrison : vous savez que beaucoup d’élèves seraient tentés de tricher aux tests — donner des réponses fausses. Vous avez beaucoup d’intégrité. » Mademoiselle Hopkins sourit un peu. Harrison répond : « Ouais, j’aimerais bien m’en débarrasser d’un peu. »

Et Mademoiselle Hopkins sourit davantage, et demande : « Qui est votre intellectriste ? » Harrison répond : « Le docteur Gordon. » Hopkins répond : « Il est bien considéré — mais… un peu vieux-jeu. Je vais suggérer à vos parents qu’il vous emmènent voir le docteur Einsenstock. Vous savez, il y a quatre ans, quand j’ai commencé à enseigner, mes élèves avaient la seconde meilleure moyenne de tout l’Etat. J’ai presque failli être virée : il m’a énormément aidée. »

Harrison demande : « Il est bon ? » Et Mademoiselle Hopkins confirme : « Oui ! »

Harrison Bergeron, le film de 1995

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Chroniques de la Science-Fiction du 3 juin 2024

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 3 juin 2024
Affichages : 3612

Chroniques de la Science-Fiction du 3 juin 2024

Chroniques de la Science-Fiction #2024-06-03

Numéro précédent <> Numéro suivant.

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 7 pages A5 couleurs.

Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2024

Sorti le 1er juin 2024 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Désormais, l'exemplaire .pdf ne contient plus que le calendrier des diffusions et des sorties de la semaine, reproduit ci-dessous.

***

Les sorties de la semaine du 3 juin 2024
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.

*

LUNDI 3 JUIN 2024

BLU-RAY UK
Lisa Frankenstein 2024* (romance zombie woke, br+4K, 4/6, MEDIUM RARE UK)
Mad Max: Fury Road 2015** (postapo woke, br+4K, 3/6, WARNER BROS UK)
Vampire Circus 1972 (50e anniversaire, br, 3/6, STRAWBERRY MEDIA UK)
Obi Wan Kenobi 2022* (faux Star Wars wokissime, 2br+2x4K, 3/6, DISNEY UK)

*

MARDI 4 JUIN 2024

TÉLÉVISION US/INT
Disney Star Wars The Acolyte 2024 S1E1-2: (faux Star Wars, wokissime toxique artificiel, 4/6, DISNEY FR)

BLU-RAY FR
Malevil 1981*** (post-apocalyptique, br, 4/6, TAMASA DIFFUSION FR)

BLU-RAY US
La Chimera 2023** (drame prémonition, br, 4/7, DECAL RELEASING US)
Death Machine 1994 (Brad Dourif, cyberpunk, br, 4/7, KINO LORBER US)
Back To The Future 1985*** (com temporel, Retour vers le futur, 4br+3x4K, 4/7, UNIVERSAL US)
The Magnificent Seven 1960**** (western, 7 mercen., br+4K, 4/7, SHOUT US)
Doctor Who 1983 S20 (invasion temporel, 9br, 4/7, BBC US)

*

MERCREDI 5 JUIN 2024

SALON FR
Nice Fictions 2024 (projection et débats au cinéma Variétés centre-Nice 8 euros réservation Total Recall 1990**** mercredi 5 juin 2024 à 20h.

CINE FR+IT+INT
Sous la Seine 2024* (under Paris, requin, prospective woke toxique, 5/6, NETFLIX INT/FR)
The Watchers 2024 (les guetteurs, monstres, 5/6, Ciné FR repoussé au 12/6+IT)

TÉLÉVISION US/INT
Dark Matter 2024* S1E6: Superposition (monde para, 5/6, APPLE INT/FR)
The Big Door Prize 2024* S2E9: Un-self… (Woke toxique, 5/6, APPLE US/INT)
Reginald The Vampire 2024* S2E05: Undead bedfellows ( woke, 5/6, SYFY US)

BLU-RAY FR
There’s Something In The Barn 2023*** (com fantasy urb, br, 5/6, FACTORIS FR)
Project Wolf Hunting 2022** (Neugdaesanyang, horr monstres, br, 5/6, ESC FR)
Casper 1995 (comédie jeunesse fantôme, br, 5/6, UNIVERSAL FR)
Cendrillon 1950** (conte fantastique, br+4K, 5/6, DISNEY FR)
Obi Wan Kenobi 2022* (faux Star Wars wokissime, 2br+2x4K, 5/6, DISNEY FR)

BANDE DESSINEE FR
Nimuë 2024 (fantasy arthurienne woke, Prado, 5/6, CASTERMAN FR)

*

JEUDI 6 JUIN 2024

TELEVISION INT+US
Sweet Tooth 2024* S3 (post-apo, wok tox, 6/5, NETFLIX INT/FR) Fin de série.

BLU-RAY IT
Oz the Great and Powerful 2013** (fantasy, br, 6/5, EAGLE PICTURES IT)
Mary Poppins 1964**** (com musi ftzy jeunesse, br, 6/5, vf, EAGLE PICTURES IT)

BLU-RAY DE
Mars Express 2023** (prospective woke, robots, br+4K, 6/5, vf, CAPELIGHT DE)
The Underground War 2021 (Tie xue: Sheng si sui zhan, 6/5, HAPPY DE)
Source Code 2011** (virtuel temporel, br+4K 6/5, PARAMOUNT DE)
The Crow 1994*** (fantôme justicier, br, 6/5, remaster, vf, PARAMOUNT DE)

BANDE DESSINEE FR
Au cœur de la Terre 2024 T2 (monde perdu, Morvan / Ortiz, 6/6, GLENAT FR)

*

VENDREDI 7 JUIN 2024

SALON FR
Nice Fictions 2024 (projection et débats au cinéma Variétés centre-Nice 8 euros réservation Ex-Machina 2015* vendredi 7 juin 2024 à 20h30 ; sur le campus Saint-Jean-d’Angély : Vendredi 7 juin de 14 à 19h ; Samedi 8 juin de 10 à 19h ; Dimanche 9 juin en distanciel sur Youtube ; entrée gratuite sur inscription en ligne ; étudiant·es et personnels d’Université Côte d’Azur, sur présentation de votre carte L’inscription sur place possible en cas d’oubli. https://nice-fictions.fr

*

VENDREDI 7 JUIN 2024

CINE ES+UK
The Watchers 2024* (monstres, 7/6, ciné ES+UK)
Deep Sea 2023 (animé, Shen hai, Le royaume des abysses, Ftzy, 7/6, ciné UK)
School Of Magical Animal II 2022 (fantasy jeunesse, 5/6, ciné US)
The Matrix 1999*** (cyberpunk, 25e anni, 7/6, ciné UK)

BLU-RAY FR
La Bête 2023 (romance réincarnation, br, 7/6, AD VITAM FR)
Dream Scenario 2023* (pouvoir psi wokissime, br, 7/6, METROPOLITAN FR)
From Beyond 1986 (horreur lovecraftienne, br+4K, 7/6, SIDONIS CALYSTA FR)

BLU-RAY DE
Obi Wan Kenobi 2022* (faux Star Wars wokissime, 2br+2x4K, 7/6, DISNEY DE)

BANDE DESSINEE FR
Vermines 2024 T2 (fantasy urbaine, Salvia/Corgié, 7/6, DUPUIS FR)

*

SAMEDI 8 JUIN 2024

TELEVISION INT
Doctor Who 2024 S1E6: Rogue (wok raciste tox, 8 /6, DISNEY INT/FR)

*

DIMANCHE 9 JUIN 2024

TELEVISION INT+US
Interview With The Vampire 2024* S2E5: Don't Be Afraid, Just Start the Tape (faux Anne Rice, woke, 9/6, AMC MOINS US)

***

  1. Space Above And Beyond S01E12: Une rivière d'étoiles (1995)
  2. The Green Hornet S01E13: Doom of the Underworld (1940)
  3. Space: Above And Beyond S01E011: Reste chez les morts (1995)
  4. The Green Hornet S01E12: Panic in the Zoo (1940)

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