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Paradise, la série télévisée de 2025

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 26 janvier 2025
Affichages : 209

Paradise, la série télévisée de 2025Feu rouge télévisionRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Paradise (2025)
Traduction : Paradis.

Deux saisons de huit épisodes de 45 très longues minutes chaque.

Diffusé à partir du 26 janvier 2025 aux USA et à l'international sur HULU = DISNEY US.

De Dan Fogelman, avec Sterling K. Brown, Julianne Nicholson, Sarah Shahi, Nicole Brydon Bloom, Aliyah Mastin, Percy Daggs IV, James Marsden.

Pour adultes.

(post-apocalyptique, policier, wokissime, toxique, artificiel) A cause de sa peau noire Xavier Collins est le chouchou confident du président des Etats-Unis, Cal Bradford, un blanc blond arrogant alcoolique qui s'est toujours vanté de rien comprendre au monde et de son ignorance crasse.

Bien sûr Xavier Collins est incommensurablement moins ignorant et noble que lui, mais il a déjà avoué à Bradford ne plus dormir et espérer sa mort, parce que l'épouse de Collins avait décidé de ne pas se trouver avec son mari et ses enfants lorsque la présidence et ses agents les plus proches se sont carapatés dans une ville souterraine autonome pour échapper à l'Apocalypse.

Autrement dit, Bradford a sauvé Collins et ses enfants d'une mort certaine, ce qui justifie la haine mortelle et bavarde de papa Collins ?

Bref, Xavier Collins boudant, le président Bradford se console comme il peut avec un autre de ses agents, Nicole Robinson, une superbe afro-américaine qui fantasme sur lui en tant que vampire, ce qui est assez logique, elle ne coucherait pas avec Bradford si elle n'aimait se faire sucer (le sang) par lui.

Le côté très étrange de l'affaire est qu'aussi bien Collins, Bradford, Robinson et les autres vivent dans le luxe, le confort et la volupté sans rien faire qui concrètement justifierait leur statut social ou leurs titres : les Etats-Unis n'existent plausiblement plus, ou tout au moins seulement à l'échelle d'une ville de 150.000 habitants à la technologie et l'autosuffisance magique.

Rien ne devrait être plus facile de surveiller constamment toutes les issues et la totalité de ses habitants, cf. Wayward Pines dont cette série "emprunte" de nombreux éléments.

Mais non seulement ces gens ne font pas de boulot, ils font même le contraire de leur boulot, et un beau matin Xavier Collins découvre le cadavre du président Bradford abattu d'une balle dans la tête avec sur la table de nuit les boucles d'oreilles de Nicole Robinson.

Celle-ci les aura laissé là en évidence pour que tout le monde sache qu'elle baisait le Président Bradford et a possiblement descendu Bradford avec une arme à feu en libre circulation...

... Alors que la survie de la civilisation américaine ne tient qu'au fil de vie de ses 150.000 habitants, la plupart ayant dépassé la cinquantaine, sinon la soixantaine, ce qui est encore un point difficile à expliquer quand on est censé offrir une chance de survivre durablement à l'Apocalypse sans recourir à l'inceste.

La discrétion même, Collins cache les boucles d'oreilles et laisse une meurtrière potentielle en complète liberté, la mort de Bradford est déclarée accidentelle, parce que comme aujourd'hui en Europe, la presse libre et les journalistes enquêteurs ça n'existe pas, et la transparence est essentiellement dans leurs culs, sans doute tout comme la notion d'élections libres, et de contre-pouvoirs notamment parlementaires dignes de ce nom.

Paradise, la série télévisée de 2025

Paradise, la série télévisée de 2025

Paradise, la série télévisée de 2025

Paradise, la série télévisée de 2025

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.

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Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 25 janvier 2025
Affichages : 151

Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.Feu vert livre / BD

Amazing Stories #010 (1927)
Titre complet : Volume 2, janvier 1927, numéro 10.
Traduction Histoires étonnantes.

Episode précédent <> Episode suivant.

Publicités toxiques.

Pour adultes et adolescents.

Présumé sorti en kiosque aux USA le 10 décembre 1926 daté de janvier 1927, prix 25 cents, soit 4.51 dollars 2024 en tenant compte de l'inflation (4,33 en Euro du 23 janvier 2025)

De Hugo Gernsback, F. R. S. (rédacteur en chef), Dr. T. O'Conor Sloane, M. A., Ph. D. (directeur de publication), Wilbur C. Whitehead, rédacteur littéraire, C. A. BRANDT, rédacteur littéraire.

Pour adultes et adolescents.

(revue littéraire de Science-fiction)

***

Les numéros de pages imprimés à l'intérieur ne tiennent pas compte des quatre pages de couverture.

p. 3 = page 874 : sommaire.

"Amazing Stories est publié le 10 de chaque mois. Il y a 12 numéros par année. L'abonnement est de 2.50 dollars (44.56 dollars 2024 idem euro) par an aux USA et possessions, 3 dollars (53.47 dollars 2024, idem en euro) au Canada et à l'étranger. Les pièces et timbres Etats-Uniens sont acceptés (pas les pièces et timbres étrangers, un exemplaire d'échantillon sera gratuitement envoyé à la demande... Toutes les contributions acceptées sont payées à publication. Amazing Stories est en vente dans tous les kiosques des Etats-Unis et du Canada. Agents européens S. J Wise et Cie 40 place verte, Antwerp, Belgique. Imprimé aux U. S. A."

*

p.5 = 483 : Ours et Edito de Hugo Gernsback, F. R. S.

De la fiction extravagante aujourd'hui... à la froide réalité de demain.
DES FAITS INCROYABLES

Nous vivons une époque bouillonnante. Pour l'individu doté d'imagination, il est facile de croire que nous ne vivons pas les prodiges auxquels nous assistons, mais nous vivons plutôt dans un livre de contes de fées, et les accomplissements actuels n'existent qu'en imagination.

Par exemple, qui, à part un écrivain de scientifiction pourrait penser faire un usage pratique de la lumière des étoiles ? Absurde ! Et pourtant, deux scientifiques suisses, le professeur Kolster et le professeur Deesalis, qui ont vécu sous une tente ces derniers mois au sommet du Mont Mönch à une altitude de 13,465 pieds (NDT 4.000 mètres), ont découvert qu'un certain groupe d'étoiles émettait d'extraordinaires rayons de lumières, dont la force radio-active est bien plus intense que celle des rayons X. Ces scientifiques espèrent capter et employer ces rayons dans des objectifs scientifiques et médicaux.

Ensuite, John Vandercock, écrivant pour le New York Herald Tribune, rapporte de son expédition en Guyane Hollandaise, qu'il a découvert une certaine tribu d'Indiens qui utiliseraient la prétendue "découpe de serpent", bien connue et acceptée comme vérité générale par tous les savants hollandais. Ecoutez seulement cette fantastique et incroyable anecdote quasi fictionnelle, et pourtant néanmoins réalité. Les sorciers prennent la queue et la tête d'un serpent à sonnette, de l'espèce la plus mortelle imaginable. Puis ils les cuisent avec des herbes et à la pleine lune en font une poudre noire. Et voilà la chose la plus étonnante : l'homme qui en prend aura le pouvoir de paralyser un serpent. Quand il rencontre un serpent, peu importe combien il pourrait être mortel, (ce serpent) devient complètement impuissant à son approche.

Les scientifiques, en analysant le médicament, ont pu découvrir 80 pour cent des ingrédients, mais le reste est un mystère. Ils pensent que la poudre provoque une certaine exhalation via la transpiration de la personne ainsi traitée, (exhalation) qui aurait le pouvoir de paralyser le serpent. Mais il s'agit seulement d'une théorie.

Ensuite, la Science vient à découvrir l'étoile la plus dense que nous connaissions -- un petit satellite de l'étoile Sirius. Il s'agit d'une étoile à peu près de la même taille que (notre planète) la Terre, mais qui pèse presque tout autant que notre Soleil. Cela, bien entendu , nous sommes incapables de l'imaginer, mais traduit, cela signifie que si nous devions collecter de sa substance ne serait-ce qu'une portion de la taille d'une balle de baseball, cette petite balle pèserait en fait 14 tonnes, ou si vous préférez approximativement une tonne par pouce cubique (NDT 16 centilitres). Et pourtant, ce n'est encore rien du tout.

Les scientifiques disposent à présent d'une substance appelée "Neutronium" que nous savons exister dans la nature. Ce matériau pèse 60 millions de tonnes par pouce cubique. Il fudrait quelque 600 Tours de Woolworth si (le neutronium) était placé sur le plateau d'une balance pour les peser. Neutronium est quatre mile milliards de fois plus dense que l'eau. Il est composé d'un électron et d'un proton quand les deux entrent en fusion l'un avec l'autre. C'est la chose la plus incroyable du monde. Il ne peut être chimiquement affecté, il ne peut être vu ou touché et il n'y a aucun moyen de s'en procurer... (...)

Et puis il y a le vieux mystère de Kaspar Hauser... Un soir de 1828 un cordonnier de Nuremberg remarqua dans la rue un jeune de peut-être 16 ans etc.

Je vous ai donné ces exemples de faits incroyables simplement pour montrer que nous ne devrions pas être si prompte à dénoncer les idées qui semblent les plus impossibles, parce qu'elles ont le don de se concrétiser alors même que nous en débattons encore.


* Aucun de ces exemples ne sont des faits au sens de la définition d'un fait.

* Gernsback ne cite aucune source directe, seulement des témoignages indirects.

* Certains contresens sont flagrants : un matériau qui ne peut-être toucher, n'a aucune influence chimique etc. = n'a pas de masse, donc on ne peut pas peser quoi que ce soit avec.

* De même les choses que "des scientifiques" ou n'importe qui d'autre affirment exister à une distance incroyable, dans un passé ou un futur distant etc. n'ont aucune chance d'être des faits : personne n'est allé sur Sirius vérifier ses satellites et en prélever un pouce cube, et personne n'ira jamais en 1927 pas plus qu'en 2025.

* Quel que soit le sujet de la conversation, vous pouvez enchaîner des platitudes comme des morales, des blagues carambar ou des prétendus faits ou même des anecdotes vécues illustrées par des souvenirs ramenés de vos voyages : c'est un passe-temps et non une quelconque démonstration valide et encore moins un fait scientifique corroboré par plusieurs équipes indépendantes procédant à l'expérience et aux contre-expériences à partir des mêmes protocoles non viciés.

Donc ces "faits incroyables" ne sont que des mots, aka du baratin. Oui, du baratin inspirant si vous voulez écrire de la Science-fiction ou du Fantastique, ou si vous voulez exposer à vos lecteurs en tant qu'auteur d'où vous êtes allé pêcher tel ou tel élément de votre récit.

Mais en aucun cas il ne s'agit de réalité ou même d'hypothèse scientifique. Un fait est littéralement quelque chose d'accompli dans la réalité par le passé ou au moment présent sous vos yeux, et quand il s'agit de science (ou de manipulation psychologique) vous pouvez le reproduire en suivant strictement les règles du jeu et en disposant du "tour de main" (la compétence).

Par exemple, si l'hypothèse est qu'un cercle est l'ensemble des points à la même distance d'un centre, distance appelée le rayon, je peux en tracer un avec un clou, une corde plantée et un crayon à l'autre bout de la corde que je tends pour tracer ce que l'on peut tracer avec. Contre-expérience, si je dispose d'un objet que je juge circulaire, je peux prouver qu'il a bien un contour en forme de cercle en maintenant un bout de la corde au "centre' au centre de l'assiette, découvrir le rayon en tendant la corde jusqu'au bord, ou alors en tendant la corde en travers de l'assiette jusqu'à ce que le bout tendu soit le plus long, et en mesurant j'obtiens le diamètre et en divisant par deux le rayon.

Le problème numéro du fait, c'est la source : nous avons bien l'année de la supposée découverte de Kaspar Hauser, nous n'avons pas le nom du cordonnier, et avec un minimum de bon sens tous les éléments supposés exister dans la réalité manquent : comment peut-on affirmer que Kaspar a 16 ans puisqu'il n'a pas de certificat de naissance ? Comment peut-on affirmer que Kaspar est le même garçon qui a été découvert dans la rue et l'adulte qui raconte "son" histoire ?

L'anecdote (et non le fait) autour des professeurs suisses Koster et Deesalis posent de nombreuses questions, et là encore, Gernsback ne nous dit pas où il est allé pêcher ce récit (et non ce fait). Les années 1920-1930 fourmillent de théories et d'inventions et de brevets scientifiques parce que dans la lancée de 19e siècle, c'est une époque où tout le monde correspond, tout le monde essaye de vendre des journaux et des livres, et ça tient salon et convention.

Mais dans le même temps, il y a comme durant l'Antiquité, au Moyen-Age et aux temps modernes des persécutions et des tentatives chroniquées par de nombreux témoins indépendants où les "apprentis-sorciers" seront "effacés" (en anglais "cancelled") par plus forts qu'eux.

Les rayonnements des étoiles sont un fait et de toute manière existent par définition, c'est-à-dire que le mot étoile suppose par sa définition et ses parties étymologiques un rayonnement, tout autant que par le contexte de l'emploi de ce mot. Un rayonnement par définition se propage, et contrairement au Neutronium, par définition là encore, un rayonnement a un impact physique, chimique, biologique etc.

Le problème est donc de savoir si le reste de l'anecdote et la conclusion que prétend en tirer Gernsback est valide, sinon scientifique, et là, nous ne sommes pas aidés par notre 21e siècle année 2025 avec une wikipédia à la masse dans toutes les langues, des moteurs de recherche complètement corrompus qui épandent leur contenu publicitaire ou générés par des intelligences artificielles qui préfèrent nous brancher sur un professeur Koster américain ou changer le nom de Deesalis, a supposer que Gernsback ou sa source inconnue n'ait pas fait une erreur sur le nom.

Le Mont Mönch (à prononcez Meuuuh'kh, à la Klingon ?) existe bien, lui.

Et oui, tout ce qui est recherche à propos de rayons et d'en faire des trucs utiles, voire mortels parce que les riches, les criminels et les dictatures adorent, relèvent habituellement du secret militaire, donc si Messieurs les professeurs avaient découverts là-haut le moyen de faire avancer votre voiture proprement sans payer de taxe ni cartel financier ou mafieux, sûr qu'ils n'auraient pas fait long feu, à n'importe quel époque de l'Humanité, et vous n'en retrouveriez trace qu'à la rubrique "infox" de 20 minutes, et encore...

... Et seulement pour dire qu'ils n'existent pas ou qu'ils n'ont jamais trouvé quoi que ce soit d'utile, et que l'augmentation des cancers ou de la myopie au 21ème siècle sont totalement naturels, de la pleine et entière faute des pauvres qui n'avaient qu'à être riche et de toute manière la pauvreté c'est génétique, vous méritez vos malheurs parce qu'Eve et Adam ont bouffé une pomme, qui à l'époque était un autre fruit dont la nature change selon la traduction, la source et l'édition ou la dernière hallucination de Chat GPT et autres LLM.

Pomme, en anglais APPLE, Apple News sur Smartphone si vous suivez l'actualité récente des hallucinations des prétendues intelligences artificielles.

Bref, quand vous n'avez pas d'idées pour votre édito du mois, faites comme les Grands Anciens de l'Antiquité : compilez le baratin des autres, sachant que vous n'aurez que l'embarras du choix pour compiler du Chat GPT en ce moment : il y en absolument partout sur vos écrans pas si malins que ça.

*
Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.
p. 7 : The RED DUST ("La poussière rouge") par Murray Leinster, une suite à "The Mad Planet" (la planète folle)

CHAPITRE 1 : Proie

Le ciel devint gris et ensuite presque blanc. Les bancs de nuages bas semblèrent se retirer un peu de la terre fumante. La brume qui s'accrochait toujours aux forêts de champignons et au-dessus des collines fongineuses devint plus ténue, et les pluies douces et moitées qui gouttaient depuis toutes la nuit cessa à regret.

Aussi loin que les yeux pouvaient voir, un monde fou s'étirait jusqu'à l'horizon, un mode de cruautés insensées et étranges. Les insectes de la nuit-- les grandes mites aux ailes largement ouvertes à travers l'obscurité, et les énormes lucioles, de quatre pieds (NDT : 1m20) de long, ces phares faisaient luirent la terre de leur lueur pâle bizarre-- les insectes de la nuit s'en étaient retourné à leurs cachettes.

A présent, les créatures du jour s'aventuraient à l'extérieur. Une grande fourmilière se dressait à près d'une centaine de pieds (NDT, 30 mètres et demi) dans les airs. Au bas de ses versants éboulés, les gravas se mettaient à trembler.

La terre s'effrita et tomba dans une ouverture invisible, puis une crevasse ténébreuse apparut, et deux longues antennes comme torsadées, pointèrent à l'extérieur.


*
Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.
p.29 = 900 : The MAN WHO COULD VANISH (L'homme qui pouvait s'évaporer) par A. Hyatt Verrill.

PROLOGUE

Le troisième jour en Août dernier, le public fut éberlué par l'histoire qui parut dans tous les journaux du pays. Des éditions supplémentaires de la presse la plus terne et la plus conservatrice apparurent dans les rues peu après midi et, en gros titres hurlant, elles annoncèrent :

LA TOUR HARTWELL DISPARAÎT. L’ÉDIFICE DE 20 ÉTAGES S’ÉVAPORE EN PLEIN JOUR ET RÉAPPARAÎT. UNE ILLUSION INEXPLICABLE ET MERVEILLEUSE VUES PAR DES FOULES ENTIÈRES. SUPPOSÉ ETRE UNE DÉMONSTRATION PAR QUELQUE MAÎTRE DE L'HYPNOSE A LA RECHERCHE DE PUBLICITÉ.


*
Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.
p.43 = 914 : The FIRST MEN in the MOON (les premiers hommes sur la Lune) par H. G. Wells, seconde partie.

CHAPITRE 9 : La prospection commence.

Il cessa de regarder. Nous nous retournâmes l'un vers l'autre, la même pensée, la même question dans le regard. Pour que ces plantes grandisses, il devait y avoir de l'air, qu'importe s'il était appauvri, mais de l'air que nous aurions dû également être capables de respirer.

"Le trou d'homme ?" je demandais.

"Oui!" répondit Cavor. "Si c'est de l'air, nous le verrons."

"Dans un petit moment, je déclarais, ces plantes seront aussi hautes que nous. Supposez--supposez après tout cela-- Peut-on encore être certain ? Comment savez-vous que ce truc c'est de l'air ? Il pourrait s'agir d'azote,-- cela pourrait même être de l'acide carbonique gazeux !"

"... ça c'est facile," il répondit, et se mit en demeure de le prouver.

Il tira un gros morceau de papier froissé du ballot, y mit le feu et le lança hâtivement par l'embrasure du trou d'homme. Je me penchais en avant et regardait au fond, à travers le verre épais pour voir le papier réapparaître à l'extérieur, avec cette petite flamme dont nous dépendions tant de l'existence !
Je vis le papier chuter à l'extérieur et atterrir mollement sur la neige. La flamme rose de sa combustion s'évanouit. Un instant elle sembla éteinte. Et puis je vis une petite flammèche bleue trembloter au bord du papier, ramper, puis s'étendre !

Silencieusement, toute la feuille de papier, excepté la partie en contact immédiat avec la neige, se carbonisa et se recroquevilla en émettant un filet de fumée frémissant.

Il n'y avait plus aucun doute à mes yeux; l'atmosphère de la Lune était soit de l'oxygène pur, soit de l'air, et donc capable-- à moins que sa densité soit trop faible-- d'entretenir notre vie extralunaire. Nous pourrions alors sortir-- et survivre !


Notez le point remarquable de l'extrait : dans ce récit, l'idée de tester la présence d'oxygène à l'aide d'une flamme ordinaire est scientifique, mais nous savons aujourd'hui qu'une flamme d'un papier ne contenant pas son propre oxygène ne brûlerait pas sur la Lune bien réelle qui orbite au-dessus de nos têtes, tant que nous gardons les pieds sur la Terre.

Donc dans le contexte de l'histoire, nous ne pouvons pas crier à l'erreur scientifique car l'auteur / narrateur vient d'établir la présence d'oxygène sur cette Lune-là, et cette vérification est basée sur un fait scientifique de notre réalité, selon le protocole qui l'auteur décrit dans la scène. Si par exemple je voulais dans la réalité tester si ma cave est remplie de monoxyde de carbone, je pourrais utiliser une telle sorte de flamme.

Sauf qu'il y a tout de même un problème : si ma cave est remplie d'oxygène pure, ou de gaz de ville, tout explosera, et je mourrai ou me retrouverai atrocement brûlé.

C'est un élément de l'infrastructure du monde fictif construit par l'auteur pour raconter son histoire, mais ce n'est pas un élément de l'infrastructure de notre réalité, l'infrastructure étant ce qui est réel tandis que la superstructure est ce que les gens croient être la réalité, ou ce qu'ils supposent ignorer alors qu'ils pourraient le savoir, ou encore ce qu'ils ignorent parce qu'ils n'ont aucun moyen de le vérifier ou ignorent que cela existe, ou font erreur, ou sont trompés.

*
Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.
p.69 = 940 : The MAN with the STRANGE HEAD (L'homme à la tête étrange) par Dr. Miles J. Breuer.

Un homme au chapeau gris se tenait à mi parcours du corridor, fumant un cigare et apparemment intéressé par mon toc-toc et mon attente. Je frappais à nouveau à la porte du Numéro 216 et attendis davantage, mais tout restait silencieux. Finalement mon observateur s'approcha de moi.
"Je ne crois pas que cela servira à quoi que ce soit," il déclara, "Je viens juste d'essayer. J'aurais voulu parler à quelqu'un en rapport avec Anstruther. L'êtes-vous ?"

"Seulement par ceci." Je lui remettais une lettre sortie de ma poche sans commentaire, comme on est capable de le faire à propos d'une chose qui ne vous aura causé bien davantage qu'un petit étonnement:

"Cher Docteur:" cela disait succinctement : "J'ai été à la charge du Docteur Faubourg récemment décédé. Je voudrais que vous me preniez en charge suivant un contrat, et me gardiez en bonne santé, plutôt que d'attendre jusqu'à ce que je tombe malade. Je peux vous payer suffisamment pour vous rendre indépendant, mais en retour de cela, vous devez accepter une révélation extraordinaire à mon sujet et la garder pour vous. Si cela vous paraît acceptable, appelez moi à neuf heures, Mercredi soir. (Signé) Josiah Anstruther, Chambre 216, Hôtel Cornhusker."

*
Amazing Stories, le numéro 10 de janvier 1927.
p.73 = 944 : The SECOND DELUGE (le second déluge) par Garrett P. Serviss, troisième partir.

CHAPITRE 16 : Mutinerie sur l'Arche !

Nous avions laissé Cosmo Versal et son Arche pleine de la fleur de l'Humanité au milieu de ce qui avait été autrefois appelé l'Océan Atlantique, mais qui désormais s'était étendu sur des millions de miles carré au-dessus de ce qui avait été autrefois le siège de vastes empires, de telle manière que si un œil l'avait examiné à l'aide d'un télescope depuis Mars, il aurait été méconnaissable.

Toute l'Amérique du Nord-Est, toute l'Amérique du Sud aux pieds des Andes, toute l'Europe excepté les plus hautes montagnes, presque toute l'Afrique excepté les hautes-terres du Sud, tout le nord et le sud-est de l'Asie ainsi que la péninsule de l'Inde, toute la Chine et les terres et îles adjaçentes excepté les pics élevés, toute l'Australie et tous les archipels du Pacifique, étaient devenu partie du fond d'un océan formidable qui roulait ses vagues sans obstacle d'un pôle à l'autre.


*

p.99 = Discussions

Dans cette rubrique, nous discuterons chaque mois de sujets intéressant tous nos lecteurs. La rédaction invite à correspondre avec elle sur tous les sujets en rapport avec les récits paraissant dans ce magazine. Seuls les courriers en mesure d'intéresser tous nos lecteurs seront publiés et débattus avec la rédaction. Du au grand afflux de courrier, il est impossible de répondre à chaque courrier individuellement, et dans le cas où une réponse personnelle est exigée, une contribution de 25 cents (NDT : 4,5 dollars soit 4,33 euros) est requise pour couvrir les frais de port et le temps nécessaire pour répondre .

*

Dr. Moreau et les 'Filles-Louves'

Un correspondant en colère nous a récemment écrit pour exprimé sa désapprobation la plus forte de L'île du Dr.r Moreau" Il en dit tellement que nous ne pouvons pas reproduire sa lettre en intégralité car cela prendrait trop de place, mais il nous a mis au travail en affirmant que le récit était tout à fait impossible, que des animaux ne pourraient jamais être transformés en animaux. Il formule également beaucoup d'autres points peu flatteurs concernant l'histoire en général.

En réponse nous imprimons une coupure de presse parue dans le New York Times suite à un câble de Associated Press. Comme d'habitude, la vérité est plus étrange que la fiction.

Deux petites filles-louves furent découverte récemment dans la tanière d'un loup à proximité d'un village isolé du Bengale, dans les Indes Britanniques. L'histoire est rapportée par la Gazette de Wesminster, qui la reçoit des Indes, attestée vraie par le révérend Jal Singh de Midnapur, Bengal, et l'évêque Pakenhom Walsh de l'Ordre des Évêques de Calcutta...


L'anecdote n'a rien à voir avec l'intrigue de docteur Moreau.

En 2024, la question de s'il est possible de transformer un gros mammifère en être humain reste en suspens, mais c'est scientifiquement plausible avec plusieurs angles d'approche :

a) en faire un cyborg, tel le cochon d'Elon Musk qui joue aux jeux vidéos en augmentant son cerveau et en le dotant de prothèses, quitte à tricher un peu en demandant à Chat GPT de se baser sur le fil d'idées du cerveau de l'animal, avec un très gros risque qu'il utilise alors toute son humanité mécanique et intellectuel pour flanquer une correction majeure au savant fou. Et incidemment, il s'agit bien de l'approche du Dr. Moreau.

b) en faire une chimère génétique, tel ces rats auxquels il semblerait qu'au moins une équipe (japonaise, de mémoire) injecte de l'ADN humain pour voir ce qui arrive : aux premières générations, les rats perdent leurs poils et gagnent de la taille. Il s'agit d'un article d'il y a possiblement vingt ans déjà donc, autant de générations de rats ont dû progresser vers l'Humanité dans l'intervalle, mais je n'ai plus rien vu passer à ce sujet. Peut-être marchent-ils déjà parmi nous ?

c) Les grands singes type Bonobo fabriquent des outils et s'expriment en langue des signes, instruisent leur enfants etc. donc ils sont déjà "humains". Problème, un grand nombre de prétendus humains, dont des scientifiques chargés de protéger les Bonobos, estiment qu'il est normal qu'on chasse et mange les Bonobos. D'autres proposent que l'on tue les animaux dans les zoos, même en bonne santé, soit qu'ils soient trop vieux à leur goût, soit qu'ils ne soient pas assez "divers" génétiquement parlant, toujours selon ces gens, qui invariablement ont des intérêts financiers à rendre les animaux toujours plus rares, car leur génome et ovocytes pourront se vendre plus cher à la fois sous le manteau et en bourse.

d) Un certain nombre d'animaux sont déjà des êtres sensibles capables de se faire comprendre d'être humains, voire capables de parler (le dauphin). Ils sont alors rarement écoutés, toujours parce que les humains les bouffent en plus de les exploiter. Problème : il est plus que probable que les extraterrestres puissent ressembler fortement à tout animal de taille comparable à l'être humain, à n'importe quel âge.

Ce qui implique qu'il ne fera pas bon pratiquer certaines religions le jour où des extraterrestres découvriront que certaines communautés humaines sont carnivores ou pratique l'abattage et/ou les sacrifices religieux d'animaux, ainsi que la pratique de la chasse ou du mitage ou de la coupe à ras des forêts ou de la destruction des zones humides pour étendre une culture transgénique qui empoisonne tout le monde, ou même des vaccinations qui ne vaccinent pas dont l'origine pourrait bien être les travaux de certains jeunes français pour contaminer la femme enceinte en contaminant son chat.

*

Une lettre à Cosmo Versan

Je suis intéressé par votre Arche et souhaiterait que vous m'envoyez des plans pour une arche plus petite que j'aimerais construire afin de protéger mon épouse et mes sept enfants. Alors s'il vous plait, envoyez-moi ces plans immédiatement.


Quelqu'un voulait remplir sa rubrique à la rédaction. En ce qui me concerne, j'aurais répondu par un encart parodiant la tonne de publicité qu'on trouve dans le même numéro en proposant aux lecteurs de recevoir gratuitement les plans en question, et de gagner des milliers de dollars à construire des arches à domicile sur son temps libre.

Mais je ne suis pas si certain que la maison d'édition de Amazing Stories ne goûtât mon humour.

*

Jules Verne, un 'écrivain prometteur'

... On devrait se rappeler que Jules Verne est mort il y a un certain nombre d'année (NDT allez, un petit effort, ouvrez un dictionnaire... même pas) et que sur sa tombe il y a une statue impressionnante dont nous reproduisons l'illustration en tête du sommaire du magazine.


Il y a quelque temps, je lisais l'un de vos numéros et je fus grandement surpris de découvrir un tel plaisir de lecture... Le récit de Monsieur Jules Verne fut l'un des meilleurs que j'aie jamais lu, il est un écrivain très prometteur. Vous aviez aussi plusieurs bonnes histoires dans votre numéro d'Octobre.

Quelque part, j'ai l'impression que la rédaction a choisi d'ignorer le sarcasme d'un lecteur et d'en médire. J'aurais pris ça comme une pique vis à vis de publier le domaine public qui ne coûte rien plutôt qu'un écrivain prometteur du présent, bien vivant, qu'il aurait alors fallu payer.

*

Critique de la bataille navale dans Station X.

La Rédaction, AMAZING STORIES : J'ai été un lecteur d'AMAZING STORIES depuis le premier numéro. Voyant que vous recherchez des opinions, je souhaite d'abord déclarer cela : vous recherchez le prestige à travers les noms de vieux Maîtres tels Jules Verne, qui, à son époque, était le champion de la description du bizarre ; mais dont les envols les plus débridés d'imagination ne font que présenter des choses et des situations qui ne sont aujourd'hui que lieux communs, sinon antiques et ridicules. Il ne peut plus nous émerveillé. La plupart d'entre nous ont déjà lu tout cela auparavant de toute manière.

De même, beaucoup de vos auteurs sont très amateurs dans leur emploi des mots, et peu respectueux des faits, comme dans le cas de M. Windsor dans Station X. Aucun croiseur existant ne pourrait faire une aussi pauvre prestation sous le commandement d'un maître de guerre. Le "Lion des Mers" aurait été démoli et coulé en moins de cinq minutes sous les canons calibre 11 du cuirassé, comme cela aurait dû survenir en quittant le lagon, si vos tables avaient été exactes.

Si ma critique vous parait dure, pardonnez-moi au titre du fait que je m'intéresse à la bonne marche d'Amazing Stories, et j'espère voir ces histoires atteindre de véritables sommets, et non se contenter de la catégorie fiction à bon marché. Signé Professeur Jack E. Edwards.


(NDT réponse de la rédaction) Si vous lisez attentivement la description de la bataille navale dans les dernières lignes de Station X, vous verrez qu'il y avait bien plus en jeu qu'une simple bataille entre le croiseur et le cuirassier et que les étranges armes des Martien donnait un aspect à la bataille qui l'écarte de toutes critiques... à côté de cela, nous avons reçus un grand nombre de forte recommandation pour Station X qui a fait la preuve de son niveau très acceptable pour nos lecteurs.


Et là encore, réponse aux deux arguments nuls, et sans aucun argument réel, seulement du baratin, que l'on peut résumer par "Vous savez peut-être quelque chose des batailles navales mais c'était une bataille navale avec des armes martiennes" (donc pas de dispositif de défense martien ni aucun détail exact ou règles surnaturelles qui puisse objecter aux arguments du lecteur) et "De toute manière j'ai raison parce que je prétends avoir plus de lettres qui disent que j'ai raison" (appel à autorité fantôme).

Il est courageux, lucide et surtout salutaire pour une rédaction d'accepter et publier les retours d'informations négatifs, sans que je sois certain que la rédaction d'AMAZING STORIES ait réellement eu le courage de publier les retours négatifs les plus intéressants... mais c'est très vilain de ne pas répondre honnêtement aux critiques, voire de calomnier ou moquer ceux qui apportent des objections valides.

Il est toujours décevant qu'une équipe rédactionnelle ne soit pas au niveau (intellectuel, scientifique...) dont elle se targue ou qu'elle prétend offrir à ses lecteurs, mais comme déjà vu dans tant et tant de courriers et "réponses" dans des fanzines ou magazines, c'est une pénible réalité à laquelle nous sommes toujours rappelés dès qu'il faut travailler en équipe, ou avec des contraintes qui n'ont rien à voir avec tenir un niveau scientifique et imaginatif dans les textes qu'on publie, éditorial et publicités incluses, parce que ces publicités font partie du lot refourgué au lecteur qui paye son exemplaire, et si c'est gratuit, de son temps qui ne se rattrape jamais.

Personne n'est parfait, et il ne faut jamais mettre quelqu'un sur un piédestal, ni s'en servir de punching-ball, ou si vous préférez en français dans le texte, de tête de Turc d'ailleurs.

p.102 : ça continue

"J'ai toujours été un lecteur avide de récits pseudo-scientifiques... J'ai cependant trouvé un défaut à AMAZING STORIES : je n'arrive pas à comprendre pourquoi vous réimprimés les récits de Jules Verne : d'abord je ne les ai jamais aimées : le style est sec, et à mon sens c'est mal écrit. Les récits "Hackensaw" (Hache et scie) sont ordinaire tout comme les contes Fosdick, je ne me suis jamais investi dedans, pas plus que dans les récits de Poe. The Moon Hoax était pourri, il ne relève pas de votre magazine si vous avez l'intention de tenir vos promesses de Scientifiction. Des récits par ENgland, Wells, Serviss, par des auteurs qui peuvent combiner les faits scientifiques et de la fiction bien écrite en un récit intéressant et passionnant, le font, c'est ce que je veux... ; signé Harry V. Spurling Elgin, III.

(réponse de la rédaction) The Moon Hoax est un classique absolu et nous trouvons d'autres lettres qui admirent en général les histoires que vous n'aimez pas.

etc.

p.103 : ça continue avec un courrier signé d'un certain Ralph. H. CAMPBELL sis à Tolède dans l'Ohio.

"D'abord vous devez admettre que votre magazine plait à et est imprimé pour une catégorie bien définie de lecteurs... qui n'a pas acquis son goût du jour au lendemain. Ces mêmes lecteurs dans lesquels je m'inclus, ont tiré profit de chaque occasion de se récompenser et dès lors les œuvres d'hommes comme H. G. Wells, Jules Verne et Garett Serviss sont "des vieux trucs" à leurs yeux. Ces œuvres sont habituellement faciles à trouver dans n'importe quelle bibliothèque publique et faciles à se procurer. Il y a sûrement assez de récits de scientifiction qui n'ont pas été accessibles au public depuis des années sous la forme de livres, pour continuer à faire vivre votre excellente idée.

(réponse) Ce que vous appelez "des vieux trucs" est hautement désir par beaucoup de nos lecteurs... la description que fait Jules Verne de l'Island est admirable... exact... parlante. Des milliers de lecteurs n'ont pas encore lu Jules Verne et H. G. Wells à ce jour. Cependant, nous imprimerons aussi davantage de nouveaux récits.


Trois dénis et enfin une réponse décente.

p. 104 : ça continue. Le haut de la page est manquant, mais plus bas un certain Meredith Gardner s'étonne d'un certain désordre dans la publication / réédition des romans et de leurs suites, ou du fait que tous les récits de Poe ont déjà été édité dans un même recueil qu'il avait déjà lu. Ce qui est probablement la raison pour laquelle la Rédaction d'Amazing Stories ne cite jamais l'édition datée d'où elle recopie ses récits.

La réponse est elle aussi décente : "Vos critiques sont intéressante et nous accordons beaucoup de valeurs à vos suggestions, si le magazine se développe etc. Le manque de place dans le numéro nous a empêché de publier davantage de récit de Clement Fezandié (que réclamait l'auteur de la lettre).

***

Publicités :

p.2 : Trois leçons de traçage de plans vraiment gratuites. Je vous ferai ce contrat : quand vous vous inscrivez (à l'école Américaine, l'institution éducative à un million de dollar, nous convenons de vous donner 1°) une méthode complète de traçage de plan selon une nouvelle méthode pratique ; 2°) un équipement professionnel de traçage de plan comme sur l'illustration, 3°) Nous vous aiderons à décrocher un poste de traceur de plan avec une augmentation substantielle de votre salaire. 4°) Ou nous vous rembourserons jusqu'au dernier centime de votre argent. 70.000 postes de traceurs de plan à pourvoir l'année dernière (NDT 1926) payés de 60 à 125 dollars la semaine ! Le coupon vous rapporte trois leçons GRATUITES ! etc.

p.4 : Dans les grands ateliers COYNE, formation à l'électricité complète en douze semaines, etc.

p.5 : A PRÉSENT, absolument GRATUIT, trois leçons en automobile du fameux LA ROUTE DU JOB de B. W Cooke, ingénieur en chef de Chicago. Renvoyez le coupon immédiatement et devenez un expert en automobile, voyez comment vous pouvez gagner jusqu'à 150 dollars par semaine, agissez vite et mon grand nouveau livre sur l'automobile sera aussi GRATUIT ! Découvrez comment je vous forme A LA MAISON etc.

p.100 deux petites colonnes de baratin, dont des armes à feu à 10.95$ et au rabais à 6.25$.
p.101 : un trésor enterré peut encore être découvert en Chimie : vous-même après l'explosion.
p.102 : deux petites colonnes d'attrape-nigauds, dont un hôtel de luxe à Atlantic City sur l'océan, pour ceux qui savent et veulent le meilleur à l'américaine comme à l'européenne, avec bains, golf, orchestre, thé dansant, dancing, garage sur place, THE BREAKERS ; cet homme ne devrait pas rester à terre : assez des maigres salaires, prenez une bonne résolution, commencez à étudiez, décrochez une augmentation de 50 dollars. Calculette de poche la plus portable au monde, pour rentrer dans une poche, 2.45 dollars : pour faire des additions, soustractions, multiplications et divisions, garantie cinq ans ; le régime Aquarien etc.

p.103 : Encore deux petits colonnes, et plein de flingues : pas moins de cinq annonces publicitaires, comiquement intercalé, une annonce pour soigner sa surdité, possiblement entraîné par l'abus d'armes à feu à proximité de vos tympans.

p.104 : deux colonnes plus une demi d'annonces attrapes nigauds comme d'hab.

p. 105 : Offre spéciale d'abonnement à Science et Invention, un rasoir auto-affûté etc. La même offre pour Radio News.

p. 106 (troisième de couverture) : Gadgets et comment les fabriquer, le livre compilé par le personnel de Science & Invention. Fabriquez des centaines de bidules utiles à la maison avec "Comment le fabriquer" ; surprenez vos amis, maîtrisez le mystère, lisez La MAGIE POPULAIRE, 116 pages de tous, des centaines d'illustrations au format 9x12 pouces, en vente au prix de 50 c. dans tous les kiosques.

p.107 (quatrième de couverture) : Récompense de 2500 dollars pour la capture d'un homme inconnu. Rapport gratuit des services secrets, Université des Sciences Appliquées de Chicago Illinois etc.

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce numéro.

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Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 25 janvier 2025
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Freedom Project, la série animée de 2006Feu vert télévision

FFreedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)
Traduction du titre original : Le projet Liberté, Liberté 2.

Episode précédent <> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacrée à la série animée Freedom Project (2006).

Diffusé après le 24 novembre 2006.
Sorti en blu-ray français le 9 décembre 2008 chez Beez (édition limitée, 4 blu-rays, multi-régions, identique à la japonaise et l'américaine, très haute résolution, manga inclu).
Sorti en blu-ray anglais le 10 octobre 2011 chez Manga Home Entertainment (édition collector, 1 blu-ray, 2 DVD, cartes à collectionner, pas de version française).
Sorti en blu-ray français le 3 juillet 2013 chez Kaze (édition standard, un seul blu-ray)

De Shuhei Morita. Avec Daisuke Namikawa, Morikubo Shotaro, Kappei Yamaguchi. Univers et graphisme : Katsuhiro Otomo.

Pour adultes.

(Planet Opera prospectif post-apocalyptique, prologue) 1969. Appolo est un vol spatial habité, un projet des Etats-Unis pour inspecter la surface de la Lune. Les Etats-Unis avaient été devancé par l’Union Soviétique dans la course à l’Espace, ils travaillèrent à restauré le prestige de leur nation avec le Projey Mercure puis le projet Gémini. Appolo atterrit dans la Mer de la Tranquilité sur la Lune.

La Base Lunaire est une base permanente avec laquelle est établie une résidence spatiale pour l’être humain à la surface la Lune, accompagnée de Freeport, une station spatiale préparant la conquête de Mars.

Mais Freeport s’écrasa sur la Terre, amorçant une série de catastrophes environnementales. Des guerres s’en suivirent dans l’objectif de s’accaparer les maigres ressources survivantes, provoquant l’effondrement de la civilisation, et transformant la Terre en un désert invivable.

Les habitants de la Lune abandonnèrent leur projet de terraformation de Mars et créèrent la cité éternelle d’Eden, le dernier refuge de l’Humanité. Un siècle a passé depuis l’éradication de l’espèce humaine à la surface de la Terre et l’être humain ne s’est jamais plus aventuré au-delà de Eden. C’est là que les derniers vestiges de l’espèce humaine vivent paisiblement une vie calme, méticuleusement réglée.

De retour de ses travaux d’intérêt général, Takeru s’est précipité pour retrouver ses camarades à leur garage où Bismarck continue de réparer et d’améliorer la moto de course. Takeru veut absolument savoir qui est la jeune fille de la photo, mais ni Kazuma, ni Bismarck ne la connaissent.

Kazuma, l’expert en la matière, tente alors de retrouver la jeune fille à l’aide de son ordinateur — en vain, — tandis que Bismarck s’indigne que plus aucun de ses camarades ne prête attention au capot de la moto qu’il a redressé, et qu’il faut désormais remettre à sa place.

Mais Takeru et Kazuma ont beau s’être remis au travail, Takeru pense encore à la jeune fille de la photo et s’interroge encore sur le message écrit au dos de la photo. Bismarck soupire : « Ah, la, la, la, la : il est encore tombé amoureux ! — N’importe quoi ! » rétorque Takeru.

Kazuma s’indigne : « Hier, c’était ma sœur Chiyo, et maintenant une jeune fille mystérieuse… » Takeru rétorque : « Je croyais qu’on était là pour réparer ma bécane ! » Les deux autres ricanent et Takeru, rougissant, se cache derrière la moto. Mais la moto réparée, Takeru démarre en trombe… et voit la mystérieuse au premier coin de rue suivant !

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

Freedom Project S01E02: Freedom 2 (2006)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 25 janvier 2025
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Bob Morane, la série télévisée de 1964.Feu vert télévision

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Episode précédent <> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)

D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le 19 septembre 1965 sur ORTF 2 FR le dimanche vers 14h30.
Diffusé au Canada à partir du 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.

Sori en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.

De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation et adaptation : Robert Vernay, adaptation et dialogues de Solange Térac ; avec Claude Titre, Billy Kearns, Helga Münster, Clément Harari, Robert Barre ; images : Marcel Combes, montage : Jacques Mavel, , musique Louiguy.

Pour tout public.

(aventure, policier) Une voiture blanche arrêtée sur une route au milieu du désert, avec le vent qui souffle. Le conducteur -- Bob Morane -- remonte dans son véhicule, tente en vain de redémarrer, et étouffe un juron. C'est alors qu'il entend un autre véhicule arriver de loin, et se retourne vivement : effectivement, une voiture noire décapotable arrive avec deux passagers. Morane bondit pour se placer au milieu de la route et faire de grands signes de s'arrêter.

La voiture noire s'arrête et le chauffage, un homme à chapeau blanc et costume cravate, pochette blanche, descend, jovial, pour demander à Morane : "Vous avez des ennuis ? On peut vous aider ?" Sa passagère, une jolie blonde avec des lunettes de soleil et un foulard chic noué autour de la tête, sourit.

Morane rit et répond : "Hélas, non ! Quand même seriez-vous le meilleur mécanicien du pays : mon moteur vient de rendre l'âme !"

Le chauffeur de la voiture noire rejoint Morane et avoue, riant à son tour : "Ah, je ne suis pas mécanien !" Morane répond : "... ça je m'en doutais !"

Le nouveau venu tend la main et se présente : "Don Antonio Serano..." Morane serre la main de Serano et répond simplement : "Morane."

Mais Serano semble surpris : "Morane ? Bob Mornane ?", Morane confirme : "Eh oui..." tandis que la passagère de Serano retire ses lunettes de soleil et considère Morane, l'air intriguée plus que séduite.

"Mais nous avons un ami commun !" explique Serano :"Archibald Greensby..." Morane : "Oh, un vieil ami..." Serano ajoute : "Il m'a souvent parlé de vous..." Bob Morane hoche la tête : "En mal !" Serano sourit "Bien entendu !" Puis : "Permettez-moi de vous présenter ma secrétaire, la señora Mercedès Paròn..."

Serano se retourne pour rejoindre la portière passager de sa décapotable et Morane le suit, et Serano répète pour présenter d'un geste de la main la blonde : "La señora Mercedès Paròn." Morane, dégoulinant de sueur, sourit et sert la main de la señora : "Madame..." La señora répond : "Monsieur..."

Serano reprend, s'adressant à Morane : "Vous alliez à Dinares ?" Morane répond : "Oui, je comptais y passer la nuit..." Serano répond : "Nous y allions nous-mêmes, voulez-vous monter avec nous ?"

Morane est clairement soulagé : "Très volontiers ! Je vais chercher ma valise !" et de retourner en hâte à la voiture blanche, ouvrant le coffre, récupérant la valise en question et revenant à la voiture noire avec : "De toutes façons, elle était promise à la casse, alors un peu plus tôt, un peu plus tard..."

Comme Morane voulait se hisser sur la banquette arrière de la décapotable, Serano lui propose : "Venez devant : la banquette est assez large pour trois !"

Morane ouvre la portière passager avant, la señora se pousse en direction de la place du chauffeur tandis que Serano reprend le volant. Comme il s'assied Morane s'écrie "Oh" et relève une fesse, de dessous de laquelle il extirpe les lunettes noires de la señora... cassées en deux morceaux ; penaud, Morane déclare : "Oh, excusez-moi, je suis navré !"

La senõra sourit, radieuse : "... ça ne fait rien." Mais Morane est gêné: "Ben décidément : mon moteur, vos lunettes... Que va-t-il encore m'arriver ?" La señora répond, enjouée : "Rien de grave, je l'espère..."

Tenant encore les deux bouts de lunettes noires, Morane soupire : "Ah ça j'l'espère aussi..."

Et à ces mots, Serano démarre sa décapotable.

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

Bob Morane S02E02: Mission pour Montellano (1965)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 23 janvier 2025
Affichages : 144

Freedom Project, la série animée de 2006Feu vert télévision

Freedom Project (2006)
Traduction du titre original : Le projet Liberté.

> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacrée à la série animée Freedom Project (2006).

Cet épisode existe en deux montages : montage original sans le prologue, version longue avec prologue.

Diffusé le 24 novembre 2006.
Sorti en blu-ray français le 9 décembre 2008 chez Beez (édition limitée, 4 blu-rays, multi-régions, identique à la japonaise et l'américaine, très haute résolution, manga inclu).
Sorti en blu-ray anglais le 10 octobre 2011 chez Manga Home Entertainment (édition collector, 1 blu-ray, 2 DVD, cartes à collectionner, pas de version française).
Sorti en blu-ray français le 3 juillet 2013 chez Kaze (édition standard, un seul blu-ray)

De Shuhei Morita. Avec Daisuke Namikawa, Morikubo Shotaro, Kappei Yamaguchi. Univers et graphisme : Katsuhiro Otomo.

(Planet Opera prospectif post-apocalyptique, prologue) La nuit. Entourés de torchères sur un terrain sablonneux d’où émergent des éléments industrielles rouillées, quelques adultes et davantage d’enfants se sont réunis pour assister au lancement d’une fusée miniature en direction de la pleine lune. Celle-ci s’envole lestement laissant derrière elle son panache de fumée.

Un ciel bleu, avec une planète terre rougeoyante aux continents calcinés, au-dessus d’une route suspendue jalonnée de d’arcs lumineux. Trois garçons tirent en soupirant un peu, un engin rappelant une voiture de course monoplace.

Le premier garçon (Takeru), à la chemise blanche ornée d’écussons de la conquête spatiale terrienne, déclare : « Le jour se lève. » Son camarade, en combinaison bleu également ornée d’écussons similaires, lui répond : « Oui, on ferait bien de se dépêcher… »

Comme il entend pétarader deux monoplaces de la même sorte que celui qui tire — en moins vétuste tout de même — il prévient son camarade : « Takeru ! » Et ils s’arrêtent pour s’assurer d’être à l’abri sur la voie de droite de la route suspendu.

Les deux monoplaces les dépassent, fila, et le camarade de Takeru lui fait remarquer : « Vraiment, on aurait peut-être dû se contenter d’un modèle d’usine. » Takeru répond : « Les motos d’usine sont toutes les mêmes, mais de celle-ci, on va faire une machine de rêve ! »

(version sans le prologue) Un tunnel cerclé d’anneaux lumineux orangés ; six motos monoplace sont alignées sur une ligne de départ devant un public bruyant regroupé debout à leur droite le long de la muraille, derrière quelques caisses.

Parmi les pilotes, Takeru, en pantalons bleus ; veste et bottes blanches, gant rouge, profondément enfoncé dans son siège, chaque main sur une sphère de guidage, chaque botte posé sur une pédale pour freiner ou accélérer.

Son camarade Bismark l’interpelle : « Takeru, ne te fais pas dégager ! » Mais l’attention de l’adolescent est en réalité toute entière focalisée sur le charmant visage d’une toute jeune fille dans la foule. Et cela fait grimacer de mépris le principal rival de Takeru dans la course, rival (Taira) qui se trouve occuper la position voisine sur la ligne de départ.

Takeru réalise alors le sourire moqueur de son rival et fixe à nouveau son attention sur l’avant de la route… et le signal de départ. Les moteurs des motos vrombissent, la foule s’échauffe encore davantage, et en énormes chiffres verts holographiques, un compte à rebours s’affiche en avant de la route au-dessus d’eux, chaque nombre étant scandé par la foule : 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1… et en rouge, « zéro !!! »

Toutes les motos démarrent, Takeru en tête pendant une fraction de seconde, vite distancé par son rival.

Flash-back : stationné sur l’autoroute suspendu, Takeru essayait d’attraper le globe rouge de la Terre dans le ciel orangé de la ville lunaire sous dôme.

Soudain, les voix de ses camarades qui avaient terminer leurs révisions mécaniques le tirent de sa rêverie : « Qu’est-ce que tu fais ? » demande son meilleur ami Kazuma, et leur mécanicien, Bismarck, de confirmer : « Tout est prêt… — Oh oui ! » répond Takeru, qui démarre et fait ronfler le moteur de la moto, et de s’exclamer : « Le moteur ne fait plus du tout le même bruit ! » Bismarck confirme à nouveau : « On en a tiré tout ce qu’on a pu ! »

Et Kazuma de renchérie : « C’est presque une vrai moto de course ! » Takeru répond : « Peut-être, mais pas encore assez pour faire la course du Tunnel. » Bismarck s’alarme : « La course du Tunnel ? » et Kazuma s’étonne : « Ce n’est pas du tout ce que tu nous avais dit ! » Takeru réplique : « Mais il n’y en a pas de plus grande ! »

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

Freedom Project S01E01: Freedom 1 (2006)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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