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Horizons perdus (1937), le blu-ray américain de 2017 (80ème anniversaire)
Sorti aux USA le 3 octobre 2017 (Multi-régions).
Ici l'article de ce blog sur le film Horizons perdus (1937, Lost Horizon).
Sur le film : excellent récit de monde perdu et d'utopie à la veille de la seconde guerre mondiale adapté du roman du même nom, Horizons perdus est un film culte qui résonne encore fortement à travers l'imaginaire.
Comme plusieurs autres films cultes, le film a connu un premier montage commercialement trop long, puis une fois réduit, a été en partie perdu suite à de nouvelles coupures.
Si ce nouveau transfert présente une version "encore plus longue" d'une minute, il manque toujours six minutes au film par rapport à la bande son de la première version cinéma commerciale.
Sur l'image : 1080p 4:3 original noir et blanc, bonne à très bonne. La qualité varie selon la source des plans remontés : définition standard un peu gommée pour le pire, mais acceptable - mais pour une majorité de plans, les détails fins HD y sont - des textures des vêtements aux cils dans les plans rapprochés, avec cependant des textures de peau souvent difficiles à distinguer.
Sur le son : DTS HD MA Mono, bon - anglais original, français, allemand, italien, espagnol - nombreux sous-titres supplémentaires). Pas d'immersion et central, mais confortable malgré le réalisme limité.
Sur les bonus : pas encore visionnés. Le coffret blu-ray est en fait un livre de 30 pages A5 d'impression soignée à la reliure solide avec la fixation d'un étui ordinaire collé sur la quatrième de couverture, ce qui est une bonne solution (pas d'effet siège éjectable à l'ouverture).
En conclusion : La première impression est splendide. Par rapport au DVD, une majorité de plans sont cristallins - et au point où j'en suis de la projection, les plans rétablis confus sont encore plus lisibles que sur le DVD. La qualité de l'expérience du film est donc démultipliées et les promesses du transfert HD sont tenues.
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- Écrit par David Sicé
The Shannara Chronicles S02E01: Druid (2017)
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Les Chroniques de Shannara (2016)
Diffusé aux USA le 11 octobre 2017 sur MTV US
De Al Gough et Miles Millar, d'après le roman de 1982 "Les pierres des elfes de Shannara" de Terry Brooks ; avec Austin Butler, Poppy Drayton, Ivana Baquero, Manu Bennett, Emilia Burns.
Pour adultes et adolescents.
Capturée par des Trolls masqués, la voleuse Eretria est jetée aux pieds de leur chef. Celui ôte son masque en grognant – et la jeune fille reconnait le visage de son père, Cowéron ( ?), qui lui souhaite un bon retour dans son clan – et lui assure qu’il l’a longtemps attendue. L’homme emmène alors Eretria à travers un souterrain, la priant de le pardonner pour leurs déguisements de Trolls : ils voulaient seulement passer inaperçus aux yeux des monstres. Eretria rétorque qu’elle croyait son père mort.
Celui s’arrête et se retourne, et insiste : il a passé les vingt dernières années à se demander ce qu’Eretria était devenue. Et maintenant il la voit, là, vivante – et il a promis à la mère d’Eretria de toujours protéger leur fille ; il savait que la Destinée la ramènerait à lui ; et de demander à Eretria qu’elle rejoigne leur clan, que leur maison devienne la sienne. Eretria hésite, puis explique que ses amis vont revenir la chercher. Mais cela ne trouble pas son père : qu’Eretria reste en attendant qu’ils arrivent – le choix lui revient à elle. Et la troupe reprend sa marche à travers le souterrain. Eretria les suit.
Un an plus tard. Eretria explore le contenu de formidables navires rouillés échoués en pleine forêt entre les collines. En descendant en rappel dans une calle, elle ouvre un coffre accroché à un pilier de métal à la lumière d’une torche et en sort une carte à puces électronique. Eretria est alors rejoint par sa camarade Lyria, qui tient à lui montrer à quelle point elle est soucieuse de la sécurité de sa camarade : où que Eretria ira, Lyria ira.
Les deux jeunes filles ressortent de l’épave par une brèche au niveau du sol de la forêt, et Lyria remarque à Eretria que les autres semblent les avoir attendues. Eretria s’empresse de rejoindre la troupe à cheval, et on lui demande ce qui lui a pris tant de temps, et ce qu’elle a trouvé, et Eretria montre fièrement la carte à puces, et on la complimente, mais comme elle va pour remonter à cheval, un carreau d’arbalète se plante dans un tronc d’arbre voisin : une troupe de Trolls également montée à cheval galope dans leur direction. Eretria ordonne alors à tout le monde se partir, tandis qu’elle court attirer les Trolls dans une autre direction.
Elle réussit ainsi à désarçonner un troll et en poignarder un autre, et les survivants sont alors déterminés à la poursuivre. Eretria sort alors une grenade de son sac, qui fait chuter les deux trolls qui la poursuivaient, mais l’un se relève et la suit jusqu’au Golden Bridge de San Francisco, recouvert de rouille, de mousse et de fougères. Eretria grimpe alors sur une épave et défit le Troll qui saute sur l’épave tandis qu’elle saute de l’épave.
L’épave était en équilibre fragile au bord d’un trou béant dans le pont – elle bascule entraînant le Troll, et Eretria, fière d’elle contemple la chute du monstre dans l’eau de la baie en contrebas. Seulement un second Troll s’était aussi relevé, et il saute sur la jeune fille, la précipitant avec lui à leur tour dans le vide. Eretria rouvre alors les yeux sous l’eau, et aperçoit alors dans une lumière surnaturelle la princesse elfe Amberle Elessedil, flottant elle aussi sous l’eau, qui l’appelle...
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- Écrit par David Sicé
Tout savoir, le numéro 3: Les Chefs-d’œuvre de la Science-fiction (octobre 2017)
Sorti en France le 4 octobre 2017 (?) - 100 pages, 12€50.
De Thomas Deligne ; rédacteur en chef: Stéphane Lavoisard, Funtribe (un collectif), Frédéric Le lièvre, Sylvain Lasalle, Thomas Lavoisard.
Une sélection de "Block-busters, incontournables grands classiques, sans oublier les films plus intellectuels" (sic).
Beaucoup de (petites) photos mais aussi un rédactionnel qui semble refléter une vraie passion et l'envie de la partager.
Le défaut, c'est que c'est une encyclopédie limitée au cinéma et manque d'une vue d'ensemble, le cinéma piquant à tour de bras dans la bande dessinée, le roman et la nouvelle, sans oublier le plus récent jeu vidéo et surtout les mythes, légendes et autres contes, au contraire de la formidable SF Encyclopedia de John Clute et ses imitations - et sépare artificiellement le fantastique ou la fantasy (magie et elfes) du prétendu scientifique (fusées et rivets), alors qu'en réalité il s'agit de récits prétendus merveilleux, opposé aux récits prétendument réalistes.
La qualité, c'est d'être (je l'espère) à jour, de viser à enrichir l'horizon du lecteur, et non pas comme on a pu le voir récemment et comme c'est désormais à la mode, de prétendre à l'exclusivité en réduisant le cinéma de Science-fiction à dix ou vingts "block-busters" ou "classiques" du moment.
Au total, le numéro tient plus de la conversation à bâton rompu à partir de thèmes - beaucoup de films sont cités en passant, ou de sujets sont rapprochés de thèmes qui en fait n'ont rien à voir. Les auteurs essaient de citer un maximum de titres, ce qui est bien pour découvrir, mais c'est avec des gros raccourcis, et c'est le même biais que je constate désormais dans les conventions ou les chroniques radios ou multimédias. Par exemple, vous allez trouver p.24 un essai intitulé "séquelle, remake et recyclage, la maladie de la Science-fiction". Or il n'y a pas que les classiques de la SF ou les blockbusters de SF du passé qui sont refaits, rebootés ou recyclés : la totalité de la production à succès, quelque soit le genre réaliste ou merveilleux a droit au même traitement - l'accusation est infondée, la provocation est gratuite, et le tout jette un doute sur le jugement des rédacteurs.
D'un autre côté, la rédaction de Tout savoir fait aussi par là un travail de revisite en règle de tous les marronniers (articles que l'on réimprime à chaque saison pour remplir le vide de la presse de l'illusion d'un contenu original) des fanzines et magazines de la Science-fiction depuis, euh, les années 1930 - ce qui est une bonne chose, vu que cela vous épargnera d'avoir à lire un certain nombre d'articles ou d'avoir à assister aux conférences-débats sur le même thème.
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Edito
(Anonyme) a découvert la Science-fiction avec Star Wars (pas de chance ?) et apparemment déçu de n'avoir ensuite que quelques vieux classiques comme la Guerre des Mondes et Planète Interdite à se mettre sous la dent, s'est résigné à lire des romans et nouvelles "plus sombres" comme ceux d'Asimov (pas si sombre), Shekcley (plus drôle), Dick (en effet) ou Heinlein (là encore, pas si sombre mais il est vrai qu'à côté de la Guerre des étoiles, le film original avant tripatouillage, Heinlein est plus sérieux). "Avec le temps", (Anonyme) a appris à apprécier aussi bien les foires aux effets spéciaux vides sans scénarios débilitant que les films fauchés avec un scénario stimulant intellectuellement - dilemme que (Anonyme) espère avoir dépassé en présentant le panorama suivant au lecteur. Et (Anonyme) est fan de Star Trek, car il nous souhaite une longue vie et prospérité, ce qui ne gâche rien et augure apriori un panorama intéressant.
Ne manque que la signature de l'auteur de l'édito pour embarquer sereinement à bord de ce Grand Tour.
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Sommaire
Blade Runner 2049
Blade Runner 2049
Harrison Ford, pourquoi a-t-il repris son rôle ?
(sur YouTube Ford répond très directement à cette question qui semble beaucoup lui avoir été posée, par "c'est un gagne-pain, vous savez..." ('It's a living, you know...").
Première partie : repousser les limites de l'espace
La conquête des étoiles
(les titres des films suivants sont seulement cités)
Voyage dans la Lune (1902)
A Trip To Mars (1910, un voyage jusqu'à Mars)
The Airship Destroyer (1909, le destroyer aéroporté)
A Message From Mars (1913, un message de Mars)
Le vaisseau du ciel (1918, Himmerlskibet)
Algol (1920)
La Femme sur la Lune (1929, Frau im Mond)
Le voyage cosmique (1936)
Buck Rogers (serial, 1939)
Croisières intersidérales (1942)
Vingt-quatre heures chez les martiens (1950)
Destination... Lune ! (1950)
Planète interdite (1956, Forbidden Planet) *1956 et pas 1959 comme indiqué dans l'article.
L'Appel du ciel (1959, Nebo Zovyot)
Le danger vient de l'Espace (1958)
Le vainqueur de l'Espace (1960, Space Men)
L'étoile du silence (1960)
Ikarir XB-1 (1963)
Approaching The Unknown (2016)
Un monde entre nous (2017).
(Les films suivants font l'objet d'un article d'au moins une page)
Le choc des mondes (1951, When Worlds Collide)
Interstellar (2014)
Moon (2009)
The Island (2005) ** ce film ne parle par de la conquête des étoiles.
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Lointaines galaxies
(Les films suivants sont seulement cités)
Stowaway to the Moon (1975)
Lock Out (2012)
Star Trek (série télévisée, 1966)
Babylon 5 (série télévisée, 1993)
Prometheus 2012
Cow-Boy Bebop (série animée, 1998)
Serenity, l'ultime rebellion (2005, Serenity // Firefly)
2267, l'ultime croisade (1999)
Galactica, la bataille de l'Espace (1978, Battlestar Galactica)
Galactica (série télévisée, 1978)
H2G2: Le guide du voyageur galactique (2005)
Dune (mini-série, 2000)
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(Les films suivants font l'objet d'un article d'au moins une page)
Planète interdite (1956, Forbidden Planet)
2001, l'odyssée de l'espace (1968, A Space Odyssey)
2010 - L'année du premier contact (1984)
Les Chroniques de Riddick (2004, The Chronicles of Riddick)
Riddick (2013)
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Mondes virtuels et univers parallèles
(Les films suivants sont seulement cités)
Timecrimes (2007)
Que sait-on vraiment de la réalité (2004)
Mr Nobody (2009)
Danger, planète inconnue (1969)
Stargate, la porte des étoiles (1994)
Jean-Philippe (2006)
Le garçon et la bête (animé, 2015, The Boy And The Beast, Bakemono No Ko)
Forbidden Zone (1982)
Pleasantville (1998)
Re-Cycle (2004)
L'histoire sans fin (1984, The Neverending Story, Die unendliche Geschichte)
La Rose Pourpre du Caire (1985, The Purple Rose Of Cairo)
Slipstream (2011)
The One (2001)
God's Puzzle (2008)
Cohérence (2017)
Le monde sur le fil (mini-série, 1973, adaptation du roman Simulacron 3)
Videodrome (1983)
eXistenZ (1999)
Johnny Mnémonic (1995, Johnny Mnémonic)
Darkdrive (1997)
Summer Wars (animé, 2010)
Passé virtuel (1999, The Thirteenth Floor, adaptation du roman Simulacron 3)
Virtual Revolution (2016)
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(Les films suivants font l'objet d'un article d'au moins une page)
Le congrès (2013, fausse adaptation du Congrès de Futurologie)
Avalon (2002)
Le Voyage fantastique (1966)
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Seconde partie : repousser les limites du temps
L'Anticipation
Dystopie et uchronie
Le voyage dans le temps
Les savants fous
De la pré à la post-apocalypse
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Troisième partie : repousser les limites de nos peurs
Invasions extraterrestres
Rencontres extraterrestres
Les créatures
(Article en cours de rédaction)
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Publicités
Troisième de couverture : découvrez les autres parutions sur www.divertistore.com.
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- Écrit par David Sicé
Le blu-ray americain du Monde Perdu (1925, The Lost World)
Ici l'article de ce blog sur le film The Lost World (1925)
Sorti aux USA le 19 septembre 2015 chez Flicker Alley - Multi-régions, muet, panneaux anglais non sous-titrés.
Sur le film lui-même : A l'origine un roman d'aventure sur le thème du monde perdu, rappelant Jules Verne, mais à l'anglaise, qui fit très forte impression par exemple sur Edgard Pierre Jacobs (Le Rayon U) mais dont les échos se retrouvent dans une quantité illimitée de films postérieurs, de King Kong à Jurassic Park en passant par Tarzan et Godzilla. C'est l'aventure avec un grand A, pure pulps, à la manière du jeu de rôles des années 1980, l'Appel de Cthulhu, avec une production soignée regorgeant de plans frappant encore aujourd'hui l'imagination, incluant de vrais animaux féroces tels crocodiles, panthères, singes, paresseux, ours à lunettes et pythons. Les monstres, animations, matte-paintings et les maquettes sont plus que convaincants (et là encore, la filiation avec le Rayon U est flagrante, même si Jacobs pousse encore plus loin le concept). Bien sûr, il est plus que probable désormais que les ptérodactyles et autres tyrannosaures (dont les descendants ne sont autre que nos poulets) avaient des plumes, mais vu que Jurassic Parc ou le récent King Kong de Peter Jackson perpétuent l'erreur anatomique, le spectateur d'aujourd'hui ne risque pas d'être choqué.
Image : 4:3 original noir et blanc teinté : correct. L'image des premières scènes est plutôt précise, mais rayée verticalement en pluie fine avec des petits coups rapides, avec selon le plan et probablement provenant de la source une pulsation supportable de la luminosité. Cela s'améliore un peu au fur et à mesure que l'on avance dans la bobine ou selon les éléments utilisés pour reconstituer les 110 minutes d'un film jusqu'à présent réduit à quelques 60 minutes - et certains plans sont sans rayures (scène du carnet et ses dessins). La qualité demeure bien meilleure à ce que l'on peut voir la version basse définition ou moyenne définition sur youtube ou archive.org, l'amélioration majeure étant l'expressivité des regards et l'allure d'une image de définition standard quand les précédents transferts étaient flous. Maintenant, les détails fins HD sont majoritairement gommés, et dans les plans les plus clair, seuls les textures de vêtements et à l'occasion des cheveux fins sont à la limite d'apparaître. Rien à voir par exemple avec le transfert formidable plus d'une fois cristallin Cabinet du Dr. Caligari où l'on a l'impression plusieurs fois d'avoir une fenêtre ouverte sur le décor et les personnages de l'époque.
Il est bien dommage que numériquement il ne soit pas encore possible d'éliminer ces rayures en pluie qui proviennent d'une pellicule source usée à force d'être projetée. Compte tenu et la date de production du film et du fait que le studio a volontairement détruit les exemplaires en bon état du film pour empêcher sa rediffusion et faire place à ses productions suivantes, il va être difficile de trouver mieux.
Son : LPCM 2.0. Bon. Il s'agit d'un petit orchestre avec pianiste de 2016 spécialement composée pour le film, de grande qualité, dans le goût de l'époque et sans anachronisme, qui sonne très juste. Il n'y a pas d'effets sonores (c'est dommage), il y a au moins une partie chantée dans un style d'époque ou antérieur. Maintenant la compression et/ ou l'absence de 5.1 ne permet pas d'isoler chaque instrument dans la sphère sonore - bloquée en avant du 5.1 malgré le fait que mon ampli puisse reconstituer un 5.1 à partir de certaines pistes stéréos de qualité.
Bonus : pas encore vu mais nombreux et rares, et vu l'éditeur, excellents selon toute probabilité. Plus dès que je les aurais vus.
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En conclusion : dans sa version "la plus complète possible", Le Monde Perdu en blu-ray Flicker Alley est encore une fois un must absolu après plusieurs autres titres fondamentaux chez ce même éditeur. Compte tenu de l'histoire du film, la restauration de l'image est effectivement formidable. La nouvelle partition orchestrale est remarquable écrite, complètement au service du film mais sur mon système, la compression du son parait encore excessive et le mixage pas assez immersif, je suppose pour laisser davantage de place aux bonus. Il faut voir ce film pour comprendre à quel point les blockbusters d'aujourd'hui n'ont cesse de recycler ce qui a été fait en mieux avant eux, avec des outils technologiques très inférieurs. Et même si l'expérience de la force originelle cinématographique et le sens de l'histoire ne vous intéresse pas, ce qui doit vous motiver, c'est le plaisir de découvrir une adaptation par des gens qui ont le sens de l'aventure avant d'avoir celui de faire du fric avant toute chose... Cela en attendant que d'autres passionnés reconstruisent ce film (du domaine public) sous Unity avec un rendu photoréaliste et peu importe que ce soit en muet orchestral 7.1 ou en parlant.
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