Nautilus S01E01 : L'évasion (2024)
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Nautilus S01E01 : L’évasion (2024).
Woke toxique raciste révisionniste : conformément au cahier de charge de Disney Moins, streamer qui a finalement refusé de diffuser cette série, tous les mensonges et calomnies wokistes payées par Black Rock et la Chine sont au programmes. Tout est historiquement, sociologiquement et biologiquement faux et toxique dans les comportements, les mâles blancs en particulier roux sont rabaissés, l'insolence et l'irresponsabilité des personnages féminins vantés, provoquant à la haine et incitant à adopter des comportement dangereux, injustes et psychopathes dans la réalité. N'exposez pas vos neurones, n'en discutez même pas, protégez vos enfants et votre entourage en limitant l'accès aux écrans aux seuls productions non toxiques d'avant 2016
Diffusé en Suède le 12 juin 2024 sur SVT PLAY SE (Streaming)
Annoncé en France le 12 août 2024, 21h10 sur FRANCE TELEVISION 2 FR avec le second épisode.
Déjà disponible en streaming officiel SD en avant-première ici pour une durée limitée (uniquement en France, mail privé exigé pour le revendre à je ne sais qui).
De James Dormer, d'après le roman Vingt Mille Lieues sous les mers de Jules Verne, "réimaginé" (lisez plagié et largement trahi) ; avec Shazad Latif, Georgia Flood, Thierry Frémont, Pacharo Mzembe, Arlo Green, Tyrone Ngatai, Ling Cooper Tang, Andrew Shaw, Ashan Kumar, Chum Ehelepola, Céline Menville, Kayden Price, Jacob Collins-Levy, Luke Arnold.
Pour adultes.
(faux Jules Verne, aventure steampunk wokissime révisionniste raciste débile) 1857. La Compagnie Britannique des Indes Orientales est plus puissante que n’importe quelle nation. L’armée privée de la Compagnie a conquis des terres et volé des richesses à travers le monde entier. Ses navires sillonnent les mers en toutes impunités, parce que la réalité de Histoire et le wokisme font deux.
Nulle mention des empires Zoulous (noir africain), Turques (Europe centrale), Berbères et royautés arabes (Afrique du Nord) ou Han (chinois)… ou belge (Congo) qui ont pourtant à cette époque comme auparavant battus tous les records en barbarie, nombres de victimes et atrocités...
« Il semblerait que j’ai encore gagné… » déclare la wokette qui joue aux cartes de l’argent seule avec deux hommes — sans chaperon ni mari présent, soit quatre entorses graves à l’étiquette de l’époque, et je ne suis même pas certain que ce soit légal à l’époque et selon la loi anglaise.
Alors que la wokette empoche avidement l’argent et les bijoux sur la table (mais aucune reconnaissance de dette ou bon du trésor ou part dans la Compagnie), le très jeune capitaine blanc wolket bafouille qu’il devrait faire acte de présence sur le pont. Mais la wokette refuse car il reste au woket trois pièces à jouer, et comme tout bon woket se doit, il se contente de soupirer et d’obéir : peu importe ses responsabilités — son bateau peu couler corps et bien, ses marins torturer et violer tous les autres passagers — un woket doit toujours obéir à la garce wokette irresponsable et amorale de service, pot-de-vin distribué à tous les membres clés de la production par la Chine et Black rock diversité équité inclusion oblige.
« Je mise tout ce que j’ai, déclare ingénument la wokette, contre tout ce que vous avez… »
Un ange passe, le capitaine n’ose rien dire, le gros moustachu (à moins que cela soit lui le capitaine, la production bien entendue a oublié de faire les présentations) déclare : « Allons-y, le tout pour le tout. » Est-ce que le gros moustachu serait le mari seigneur et maître du petit jeune capitaine pour tout décider à sa place. Étonnant que la wokette n’ait pas exigé un strip de la part de ses adversaires, tant qu’à faire et vu sa « chance » jamais préalablement suggérée par le récit, mais qu’elle ne doit a priori qu’à un scénario woke forçant la survenance des scènes voulues par le scénariste et tracto-pellant le spectateur du point A au point B.
Enfin un plan montrant la table complète et oui, il y a bien apparemment une vieille qui pourrait servir de chaperon, si un chaperon se taisait au lieu de rappeler à l’ordre, menacer et battre à la baquette la protégée à chaque écart, et à supposer seulement que la wokette, compte tenu de ses manières et de ses imprudences, n’aurait pas été depuis longtemps internées dans un couvent ou un asile d’aliéné spécialisé en Suisse par exemple.
La wokette débite à toutes vitesses en distribuant les cartes : …
« Voyez-vous, le 21 est basé sur des évènements subordonnés : le passé affecte la probabilité de ce qui se passera ensuite… Ainsi si le ratio carte haute, carte basse est supérieure à la normale, je fais des paris plus important pour accroître mes gains si le jeu est favorable… »
Cette réplique est censée prouver l’intelligence supérieure de la wokette, sauf que si elle était réellement intelligente, elle se tairait : compter les cartes, c’est de la triche et elle admet qu’elle prétend gagner à un jeu de hasard qui n’en serait pas un tout ce que possèdent les wokets : elle prouve ainsi sans aucun doute possible qu’elle est une voleuse.
Le jeune capitaine répond en bafouillant : « Oui, bien sûr, je vois très bien… »
Cette réplique servant à prouver à quel point les hommes sont bêtes, sans volonté et renchérissent quand la wokette leur crache à la face à quel point ils sont c…ns. Toutes les qualités d’un capitaine commandant à bord d’un navire de la Compagnie des Indes, n’est-ce pas ?
Mais ces hommes faibles et soumis sont censés naviguer en toute impunité – sous-entendu sans jamais rencontrer un seul souci, même pas de météo ou de conflit à bord de leur barcasse, ou de panne, ou de piraterie, parce que la piraterie n’existait pas au 19ème siècle selon cette série woke, parce qu’aucun autre empire économique ou militaire n’existait au 19ème siècle et qu’aucune des colonies n’avait jamais songé à la rébellion, et qu’il n’existait aucune secte, aucune société secrète, aucune religion...
Le spectateur notera que les cartes distribuées ont leur dos et bords usés et marqués à tel point qu’il serait facile d’identifier pour chaque carte distribuée cachée, quel est leur face cachée, leur valeur et qui la tient. Donc il est exact qu’il n’y a aucun hasard dans le jeu de 21 tel que sont censés le pratiquer les personnages à l’écran, mais ce n’est absolument pas une question de probabilité. Et absolument aucun être humain à part un enfant et encore, n’accepterait de miser la moindre piécette à un tel jeu de cartes marquées de manière aussi flagrante.
Par ailleurs, comment les autres joueurs pourraient-il lui laisser distribuer la moindre carte vu qu’elle gagne tout le temps et doit donc forcément tricher ? Plus un joueur non woke aurait déjà vérifié si les cartes ne sont pas biseautée et aurait fait retrousser les manches.
Le jeune capitaine sourit et abat deux cartes : un as de trèfle et un roi de carreau, totalisant les 21 points qui donnent le nom à ce jeu.
La wokette semble troublée et déclare en voyant les deux cartes abattues : « Il y a un souci… »
Le jeune capitaine a l’air soulagé, mais la wokette accuse : « Cet as a déjà été joué… »
Le jeune capitaine, gêné, ricane stupidement, et veut récupérer ses gains, mais la wokette lui agrippe le poignet, affirmant : « J’en suis certaine ! »
Et comment compte-t-elle prouver une telle accusation ? Elle a filmé toute la partie avec son téléphone portable ? Chaque carte jouée enregistrée par deux huissiers qui ne se connaissent pas sur leurs registres ? C'est bien à elle de prouver son fait, et si on l'accuse de mentir pour voler les trois fortunes misées, tout en attentant à l'honneur du joueur et en le calomniant, comment prouverait-elle le contraire ? Une raison de plus de ne pas laisser une jeune fille sur le point de se marier jouer à des jeux d'argents comme au bordel, une tradition du 19eme siècle, cf. le film La Dame de Pique.
Dans la réalité elle se serait pris d’office en un aller-retour : aucune femme ne tripote un homme à la table de jeu pour tenter de lui voler son argent. Un homme qui ferait de même serait lui, dans le meilleur des cas assommé puis jugé par… le capitaine du navire, selon la loi internationale. C’est la raison pour laquelle aucun individu non désespéré ou ivre n’ira jouer de l’argent aux cartes sans s’entourer de témoins costauds et armés.
Nerveux le woket répond : « Je vous assure que non ! » tandis que son collègue de bureau et la prétendu chaperonne font camembert.
Enfin, une troisième main se pose familièrement sur les deux déjà posées sur le tas de fric, et une voix de wokette plus grave résonne hors caméra : « Vous faites erreur, vous avez perdu. »
Quand on est plusieurs à parler en société, la règle de l’étiquette, parfaitement maîtrisé par les personnages prétendus de cette condition à l’écran, c’est de préciser à qui l’on s’adresse. Parce qu’accuser « vous » d’une erreur à un jeu d’argent où est misé une fortune pourrait gravement offenser tous les partis en présence, tous désignés par « vous » et faire perdre la face ou déclencher un accès de rage, même en bonne société : rompez l’étiquette entre gens de « bonne » compagnie et tous les coups sont permis.
Un petit chien sur un coussin que nous apercevons pour la première fois, se met à gronder de manière menaçante, et je ne sais toujours pas si la seconde wokette s’adresse au jeune capitaine ou à la première wokette.
« Prenez vos gains, déclare la seconde wokette. » Mais à qui parle-t-elle ?, nous ne le savons toujours pas !
Et il semblerait au sourire du capitaine et au fait que la seconde wokette a retiré la main de la première que la seconde ait accusée la première d’avoir fait une erreur. Voyons ce qui va suivre avant d'imaginer que les choses sont rentrées dans l'ordre.
Le jeune capitaine empoche les pièces et bijoux, et le gros moustachu se lève en disant « Mesdames je vous salue. » La seconde wokette répond désagréablement « De même, Messieurs. » Le jeune capitaine woket bredouille encore en haletant comme un petit chien et en pouffant : « Désolé ! » comme si la première wokette avait eu l’air désolée de tenter de lui voler toute sa fortune à lui.
Il sort et la première wokette lance à la seconde : « De quel droit avez-vous fait ça ? »
La seconde wokette répond : « Là où vous allez, cet argent ne va pas vous manquer. »
On frappe à la porte, et la seconde wokette répond : « Mademoiselle Lucas est occupée. »
Et la première wokette (Lucas) lance joyeusement : « C’est ouvert ! » et de s’écrier joyeusement en reconnaissant l’adolescent qu’elle a dû fréquenter assidument pour se faire : « Blaster ! »
Ce qui revient à appeler l’individu en question « L’écrabouilleur », mais le personnage n’aurait-il pas été nommé ainsi d’après la chanson reggae de 1980 (Master Blaster) ou bien est-il surnommé ainsi parce qu’il écrase les rats à bord ? Le compagnon idéal pour une aristocrate anglaise sur le point d’épouser un richissime aux Indes.
Un gamin noir à la mise négligée (ce n’est en général pas le cas quand on entre dans le salon des dames passagères) entre sans plus de façon, ce qui est une infraction et très grave aux règles de bord : un vrai marin de cet époque ne serait pas entré au moins de crainte de finir fouetté sur le pont avec du sel répandu sur ses blessures.
Par ailleurs, pourquoi n’y a-t-il aucun planton ou domestique à la porte de ces dames, parce que là encore, cela parait inadmissible en bonne société à cette époque : nous devrions être plus proche des comportements des ponts supérieurs du Titanic que de la comédie de piraterie Pirates des Caraïbes…
« Le capitaine Youngblood (NDR le capitaine Jeunesang - sic) m’a chargé de vous dire qu’avec un vent favorable, nous serons à Bombay dans la matinée, Mademoiselle… »
C’était pas le capitaine qui vient à l’instant de sortir du salon ?
La seconde wokette (Loti) répond, moqueuse : « En voilà, une excellente nouvelle : votre futur époux sera là à notre arrivée pour nous accueillir. »
Et là je réalise à quel point la coiffure et la tenue de la seconde wokette est anachronique : est-elle habillé en homme portant des cheveux courts gris , pour composer le cliché typique de la lesbienne selon les standards des productions woke de 2016-2024.
Puis, second effet Kiss-Kool : cette prétendue chaperonne a laissé la future épouse d’un homme de la haute société jouer un jeu d’argent à bord du bateau qui l’amenait, et c’était le seul passe-temps de la wokette en question pendant toute la traversée ? Il s’agit de la même traversée que celle de Phileas Fogg dans le roman de Jules Verne, sauf que c’est avant que le Canal de Suez soit opérationnel. Pour arriver le 9 octobre à Suez en partant de Londres le 2 octobre 1872, Fogg a mis sept jours. La traversée de la mer rouge dure 138 heures, soit six jours. Le vapeur doit recharger en charbon quatre heures et mettra 168 heures de plus pour atteindre Bombay, Total 310, soit 13 jours. Le canal de Suez emprunté dans le roman de Jules Verne est censé avoir économisé 12 jours de navigation. Donc, dans la série Nautilus, la wokette a passé 25 jours à bord du navire en question, et si ce n’est pas un vapeur (le capitaine a dit, si le vent est bon...), trois plus, soit 75 jours.
Bref, la wokette offre du gâteau à Blaster, le fait servir par Loti la seconde wokette qui exige que le gamin lui rende la serviette (curieux déjà de lui servir le gâteau dans une serviette – incidemment c’est une génoise fourrée de crème pâtissière).
La dégustation est interrompue par des détonations, le capitaine qui observe les merveilles de la nature selon Blaster. Et nous découvrons que le capitaine Youngblood n’est ni le gros moustachu ni le woket frémissant soumis mais… un blanc et rouquin par-dessus le marché, bien sûr, dont la wokette découvre apparemment le passe-temps seulement après 74 jours de traversée. Et effectivement, il observe bien, puisqu’il mesure les oiseaux qu’il abat, qui ressemblent plus ou moins à des pigeons et non des albatros comme on aurait pu le supposer.
Noter qu’ils sont toujours en haute mer. Youngblood déclare alors : « Rien que de vulgaires mouettes… et cependant absolument magnifique à leur façon, tu ne trouves pas, Blaster ? » (lisez traduit en français comme le reste, l'Ecrabouilleur, le (sur)nom idéal pour un ami des bêtes à bord d'un voilier.)
A moins que Blaster ait un frère jumeau qui porte le même nom, le gamin noir s’est téléporté au troisième coup de fusil depuis la cabine des wokettes sur le pont. La raison de son surnom, peut-être ?
Et bien entendu impossible que le capitaine n'ait pas su avant d’avoir abattu les oiseaux en question de quel genre il s'agissait. Et comment fait-il pour que les cadavres chutent exactement sur son pont, surtout à une distance à laquelle il serait incapable de les distinguer d’autres oiseaux ? La production ne le dit pas.
Un sifflement fait relever la tête du capitaine. Comme Youngblood vise un oiseau blanc plus grand du canon de son fusil, Blaster fait remarquer que cela porte malheur de tuer un albatros. Tiens donc, enfin un marin qui serait capable de faire la différence entre une mouette, un goëland et un albatros ? Ce n’est pas comme si c’était dans leurs habitudes, n’est-ce pas ?
Mais une détonation plus forte les fait tous vaciller, comme si leur navire aurait heurté un récif. Youngblood rend le fusil à un sous-fifre et va se pencher pour admirer le flot depuis le bastingage. Personne dans l’équipage ne semble réagir à un événement qui, habituellement annonce le naufrage immédiat, donc la ruée vers les canots et tout ce qui peut flotter, ou au moins une inspection urgente des cales afin de tenter de calfeutrer des fuites ou une voie d’eau quand c’est encore possible.
Cela se passe comme ça quand votre navire est en effets spéciaux et qu’absolument aucun membre de la production n’a jamais navigué à bord d’un vapeur, d’un voilier – ni jamais consulté un témoignage ou visionné un documentaire ou un film beaucoup mieux documenté.
Youngblood ne voit rien, même pas le clapotis bizarre à l’horizon (une minute plus tard le "monstre" fera pourtant une bosse roulante énorme sur l'eau), et ordonne à Blaster, qui apparemment fait tout à bord, de grimper aux haubans.
Donc ils n’ont pas de vigie ? (on voit pourtant bien la nacelle au sommet du mat plus tard). C’est-y-pas un peu risqué, ça ? après tout ils pourraient croiser une épave ou des naufragés… Mais j’oubliais, au 19ème siècle la Compagnie sillonne toutes les mers du globe en toute impunité.
« Dis-moi ce que tu vois… » ajoute Youngblood hors caméra, tandis que l’acteur qui joue Blaster fait semblant de grimper aux cordes, avec visiblement pas mal de difficulté pour un professionnel de la marine à voile. Ce n'était pas le cas pour les cadets pourtant fraîchement embarqué du Windjammer pourtant, et ils n'avaient certainement pas 75 jours de pratique, eux...
Dans leur cabine, la wokette veut monter sur le pont et sa chaperonne lui ordonne de rester là « en toute sécurité » qu’elle disait. Alors la wokette éclate d’un rire sardonique, s’écriant, sûr de son fait : » Vous m’ordonnez ? Puis-je vous rappeler à toutes fins utiles que vous êtes à mon service ! »
Je crois qu’elle confond avec sa femme de chambre et sa camériste, incidemment aux abonnées absentes, autre anachronisme et manquement grave à l’étiquette du 19ème siècle dans la haute société. Encore une fois, une jeune fille même de la haute société n’a strictement aucune autorité sur sa chaperonne, qui en l’absence de toute autre autorité, a le pouvoir de la battre, l’emprisonner, l’affamer et l’assoiffer.
Et de fait, la wokette est sur le pont au plan suivant, possiblement téléportée comme Blaster la scène d’avant : n’importe quoi.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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Chroniques de la Science-Fiction du 10 juin 2024
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Chroniques de la Science-Fiction #2024-06-10
Numéro précédent <> Numéro suivant.
Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 7 pages A5 couleurs.
Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2024
Sorti le 9 juin 2024 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Désormais, l'exemplaire .pdf ne contient plus que le calendrier des diffusions et des sorties de la semaine, reproduit ci-dessous.
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Les sorties de la semaine du 10 juin 2024
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.
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LUNDI 10 JUIN 2024
BLU-RAY UK
Shrek IV: Forever After 2010** (fantasy satirique, br+4K, 10/6, UNIVERSAL UK)
Shrek I II III IV*** (fantasy satirique, 4x4K, 10/6, VF, UNIVERSAL UK)
The Lawnmower Man I + II 1992/1996** (cyberpunk, 3br, 10/6, 101 FILMS UK)
Farscape 1999** (space opera, 22br, 10/6,
Doctor Who 1966 S3 (celestial toymaker, 2br, 10/6, BBC UK)
Castlevania 2020** S3 (série ani, dark fantasy vamp, 2br, 10/6, ANIME LDT UK)
BLU-RAY ES
Leviathan 1989 (br, 10/6, VF, RESEN ES)
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MARDI 11 JUIN 2024
CINE US
Wild Eyed And Wicked 2024 (fantasy urbaine, 11/6, ciné US)
TÉLÉVISION US/INT
Disney Star Wars The Acolyte 2024 S1E03: (faux Star Wars, wokissime toxique artificiel, 11/6, DISNEY FR)
BLU-RAY US
Godzilla x Kong 2024* (fantasy terre creuse, br+4K, 11/6, WARNER BROS US)
Bag Of Lies 2023* (fantasy urbaine horror, 11/6, EPIC PICTURES US)
Le règne animal 2023** (mutant, br, 11/6, MAGNOLIA PICTURES US)
Shrek IV: Forever After 2010** (fantasy satirique, br+4K, 11/6, UNIVERSAL US)
Zebraman 2004 + Zebraman 2: Attack on Zebra City 2010 (parodie superhéros, 2br+dvd, 11/6, MEDIA BLASTERS US)
Shrek I II III IV*** (fantasy satirique, 4x4K, 11/6, VF, UNIVERSAL US)
Species II 1998* (inva extraterrestre, br+4K, 11/6, SHOUT US)
Warriors Of Virtue 1997 (fantasy urbaine, br, 11/6, SANDPIPER US)
Superman & Lois 2023* S3 (superwoke, 3br, 11/6, WARNER BROS US)
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MERCREDI 12 JUIN 2024
CINE FR
The Watchers 2024* (les guetteurs, monstres, 12/6 reculé du 5/6, Ciné FR)
TÉLÉVISION US/INT
Dark Matter 2024* S1E7: In the Fires of Dead Stars (monde para, 12/6, APPLE INT/FR)
The Big Door Prize 2024* S2E10: Deercoming (Woke toxique, 12/6, APPLE US/INT) Fin de saison.
Reginald The Vampire 2024* S2E06: Blood, Sweat, and Glitter ( woke, 12/6, SYFY US) Fin de saison.
BLU-RAY IT
Hollow Man 2000* (prospective, monstre, br, 12/6, EAGLE PICTURES IT)
Anaconda 1997 (aventure, monstre, br+4K, 12/6, EAGLE PICTURES IT)
BANDE DESSINEE FR
The prism 2024 T1 (space op; De Longis 12/6, OXYMORE FR)
West Fantasy 2024 T2 : Le croque-mort, l'elfe & le marshal (Istin / Itri , 12/6, OXYMORE FR)
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JEUDI 13 JUIN 2024
CINE FR+IT+INT
The Watchers 2024* (les guetteurs, monstres, 13/6, Ciné DE)
TELEVISION INT+US
The Boys 2024* S4E01-3: Department of Dirty Tricks + Life Among the Septics + We'll Keep the Red Flag Flying (superwok, toxique, propagande violent, 13/5, PRIME INT/FR)
BLU-RAY IT
Godzilla x Kong 2024* (fantasy terre creuse, br+4K, 13/6, WARNER BROS IT)
BLU-RAY DE
Alienoid II 2024 ((invasion extra temporel, br+4K, 13/5, CAPELIGHT DE)
Alienoid 2022 (invasion extra temporel, 4K, 13/6, CAPELIGHT DE)
BLU-RAY US
The Last Man On Earth 1964** (post apo, br3D+anaglyphe, 13/6, kickstarter multi-régions, EYEPOP-3D US + adaptation bande-dessinée anaglyphe avec édition platinum)
*
VENDREDI 14 JUIN 2024
CINE US+UK
Latency 2024 (cyberpunk, 14/6, ciné US)
The Moor 2024 (fantôme possession, 14/6, ciné UK)
Sasquatch Sunset 2024* (monstre, 14/6, ciné UK)
Arcadian 2024* (postapo inva monstre, 14/6, ciné UK)
Brujeira 2023 (Sorcery, fant, sorcier, 14/6, ciné UK, ciné Mexique le 16/3/2023)
Star Trek III : The Search For Spock 1984 (space op. 14/6, ress 40e anni, ciné UK)
TELEVISION INT
Joko Anwar's Nightmares and Daydreams 2024** S1 (antho fantas 14/6, NETFLIX)
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SAMEDI 15 JUIN 2024
SALON FR
Mystériales 2024 du samedi 15 au dimanche 16 juin 2024 à Redon, cloître St Sauveur : animations, rencontres, spectacles : https://www.mysteriales.fr
TELEVISION INT
Doctor Who 2024 S1E7: The legend of Ruby Sunday (wok raciste tox, 15/6, DISNEY INT/FR)
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DIMANCHE 16 JUIN 2024
TELEVISION INT+US
Interview With The Vampire 2024* S2E6: Like the Light by Which God …(faux Anne Rice, woke, 16/6, AMC MOINS US)
House Of The Dragon 2024* S2E01: A Son for a Son (fausse fantasy woke mal éclairée, 16/6, HBO US)
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Space 2063 S01E13 : Qui pilote les oiseaux ? (1996)
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Space: Above And Beyond S01E013: Who Monitors The Birds ? (1996)
Traduction : L'Espace, au-dessus et au-delà : Qui surveille les oiseaux ?
Titre français : Space 2063, Qui pilote les oiseaux ?
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Space 2063 (1995)
Diffusé aux USA le 7 janvier 1996 sur FOX US.
Diffusé en France le 24 octobre 1996 sur M6 FR.
Sorti aux USA le 8 novembre 2005 (piste et sous-titres français inclus, sans le documentaire bonus)
Sorti en DVD Anglais le 30 avril 2012 édition collector (anglais non sous-titré, avec le documentaire bonus)
De Glen Morgan, James Wong. Avec Morgan Weisser, Kristen Cloke, Rodney Rowland, Lanei Chapman, Joel De La Fuente, James Morrison , Glen Van Ross.
Pour adultes et adolescents
(Space Opera militariste, guerre, prospective, extraterrestre) En l’an 2027, le gouvernement a initié le programme invitro essayant de créer une nouvelle race de soldat. Les invitros sont des humains créés artificiellement. Ils nous appellent les cuves. Nous naissons âgés de 18 ans. Mon nom est Cooper Hawkes. Je suis né il y a six ans. Maintenant, c’est 2064 ! la Terre est en guerre avec un ennemi extraterrestre technologiquement avancé. Mon escadron est appelé les Va-Tout – c’est le 58ème. Ce sont les seuls qui aient jamais compté pour moi.
La nuit, deux lunes se reflètent dans les eaux d’un lac. Deux plongeurs lourdement armés émergent puis progressent à travers les taillis de la forêt, des lunettes de vue nocturne vissées à leurs visages casqués. Ils ne tardent pas à croiser une patrouille de trois chigs, qu’ils abattent. Puis ils sortent de leurs cachettes et l’un d’entre eux vient achever les chigs à coup de couteau dans leurs « ouies ».
Les deux commandos humains reprennent leur progression dans l’obscurité. Sur un écran que consulte l’un d’eux, le message suivant s’affiche : « Extraction à 208884, 00:43. » Mais comme ce dernier éteint son écran, il est abattu d’une seule balle par l’ennemi. L’autre, c’est Cooper Hawkes, et c’est désormais un humain invitro traqué par les Chigs.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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Les mystères de l'Ouest S01E11: La Nuit du général Grimm (1965)
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Ici la page Amazon.fr du nouveau coffret DVD UNIVERSAL FR annoncé pour le 2 octobre 2024.
Ici la page Amazon.fr du coffret DVD saison 1 TF1 VIDEO FR de 2009.
The Wild Wild West S01E11: The Night of the Red-Eyed Madmen
Traduction du titre original : La nuit du fou aux yeux rouges (= injectés de sang).
Titre français : La Nuit du général Grimm.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série Les mystères de l'Ouest (1965)
Diffusé aux USA le 26 novembre 1965 sur CBS US.
Sorti en France en coffret DVD français (anglais sous-titré français)
De Michael Garrison, avec Robert Conrad, Ross Martin, Martin Landau, Joan Huntington, Shary Marshall, Ted Markland.
Pour adultes et adolescents.
(mystère fantastique, techno-thriller steampunk, espionnage) Le salon de réception d’un hôtel luxueux. James West fait son entrée et repère immédiatement son contact, un moustachu à chapeau blanc qui lisait son journal assis sur un canapé rotonde. Le moustachu se lève et West le salue : « Sénateur Rawls ? » Rawls répond : « C’est bien que vous soyez venu, Jim. »
West remarque : « Vous disiez que c’était urgent, Monsieur. L’urgence et le service secret semblent aller de paire. » Rawls réplique : « Eh bien, cette sorte d’urgence pourrait bien annoncer de gros ennuis. Elle pourrait même menacer les Etats-Unis entiers. »
Cela ne semble pas troubler West, qui demande civilement : « Et qu’est-ce que votre nièce vient faire dans ce tableau ? » Rawls répond : « Je ne sais pas… pas vraiment : ce fiancée qu’elle a, euh, Talbot, a toujours été un personnage emporté, un instable, cependant ; toujours à sortir ou à se mettre dans toutes sortes de problèmes. Mais Lola n’acceptera jamais de le voir comme ça, elle refusera de le croire. » West répète : « … refusera de le croire ? »
Rawls précise : « De croire que c’est fini, qu’il l’a finalement laissée tomber. » West semble gêné : « Je ne veux pas avoir l’air impoli, Monsieur, mais en quoi un échec sentimental pourrait-il menacer la sécurité des Etats-Unis ? »
Rawls répond : « Eh bien, Lola va vous raconter une histoire bizarre, étrange si vous préférez… En fait, j’espérais que, sans vous montrer désagréable, vous pourriez lui ouvrir quelque peu les yeux sur la vérité de Talbot l’ayant plaquée… sauf que… » West insiste : « Sauf que quoi, Sénateur ? »
Rawls avoue : « Sauf que je crois que ce qu’elle soit sur le point de vous dire soit l’effroyable vérité. » West demande : « Chambre 406, Monsieur ? »
Et Rawls de hocher la tête. Faussement nonchalant, West se dirige alors vers les portes de l’ascenseur flanqué de deux grandes plantes vertes en pot. Un gentleman attend déjà là.
La flèche au-dessus des portes indiquant à quel étage se trouve alors l’ascenseur monte sans hâte ni arrêt jusqu’au dernier chiffre, 4.
Et au quatrième étage, la porte coulisse, révélant West éjectant un premier gentleman d’un crochet du droit, tandis que les deux autres, dont celui qui attendait avec lui au premier étage, tentent de se saisir de lui. West balance un second agresseur dans le couloir, mais est lui-même jeté à terre par le troisième, le plus trapu, un moustachu.
Dans le couloir, les deux brutes saisissent West et le plaque contre le mur, tandis que le moustachu sort en couteau pour poignarder l’agent secret.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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Star Trek S01E04: L'équipage en folie (1966)
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
- Affichages : 1538
Ici la page Amazon.fr du nouveau coffret intégrale 20br allemand UNIVERSAL DE, français inclus.
Star Trek S01E04: The Naked Time (1966)
Autre titre : La patrouille du cosmos : L'équipage en folie.
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Star Trek (1966).
Diffusé aux USA le 29 septembre 1966.
Diffusé en France (sud) sur TMC début des années 1970.
Diffusé en France le 24 août 1986 sur LA CINQ FR.
Sortie en blu-ray US le 28 avril 2009 (effets spéciaux reconstruits en HD, son 7.1, avec possibilité de voir l'épisode avec les anciens effets et son stéréo, multi-régions, piste française et sous-titres français inclus).
De Gene Roddenberry; avec William Shatner, Leonard Nimoy, DeForest Kelly, George Takei, Nichelle Nichols.
Pour adultes et adolescents.
(Space OPera) Journal de bord du capitaine. Notre position : en orbite de Psi 2000, un monde ancien désormais désert glacé sur le point de se disloquer dans les affres de sa mort. Notre mission : récupérer une expédition scientifique à la surface, observer la désintégration de la planète.
Spock et un subordonné (Tormolen) se matérialisent dans l’avant-poste en combinaison environnementale complète rouge. L’intérieur de la rotonde est entièrement recouvert d’un gel épais, y compris l’opérateur membre de l’expédition scientifique dans sa propre combinaison environnementale.
Spock pointe son pistolet radar en direction du cadavre apparemment congelé et ordonne alors à Scotty d’inspecter les systèmes de survie. Tandis que le subordonné s’en va par un couloir, Spock se retourne vers l’entrée de la station, grande ouverte dans un couloir congelé : une femme gît sur le pas de la porte, sans autre protection que son uniforme ordinaire.
Spock promène à nouveau son pistolet radar en direction du cadavre. Le subordonné revient pour son rapport : tous les systèmes de survie sont coupés. Comme le subordonné s’agenouille à côté du cadavre, Spock lui fait remarquer que quelqu’un a étranglé cette femme. Scotty lui répond que les quatre autres sont là derrière.
« Mort ? » demande Spock. Le subordonné confirme. « L’ingénieur à son poste ? » L’autre répond : « Gelé comme s’il n’en avait cure. — Et les autres ? » demande Spock. « Eh bien, il vaudrait mieux que vous voyez par vous-même, Monsieur Spock : l’un des hommes était en train de prendre une douche tout habillé. »
Spock enjambe le cadavre pour aller voir. Son subordonné retourne dans la sallle centrale et pose un artefact sur le pupitre congelé, puis ôte son gant, le déposant sur la capuche congelé du cadavre ( !). Puis il se met à quatre pattes pour inspecter avec son artefact le dessous du pupitre congelé, s’agrippant au montant du pupitre couvert de gel et souillé d’une traînée rouge, possiblement du sang.
Comme ses doigts sont posés sur le gel, la traînée rouge se met à saigner dans sa direction et les gouttes éclaboussent la peau nue du subordonné. Le subordonné se relève et agite sa main, puis la glisse sous sa propre capuche pour la renifler. Puis il renfile son gant. Spock revient pour dire à son subordonné : « Assurez-vous que nous ne nous exposons à rien. » Puis il ajoute à l’attention de son communicateur : « Ici Spock, me captez-vous Enterprise ? »
Kirk lui répond : « Affirmatif. — Tout le personnel de station est mort. » Kirk demande aussitôt : « Quel en est la cause ? — Inconnue, capitaine : cela ne ressemble à rien de ce à quoi nous avons déjà eu affaire. »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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