Star Trek: Premier contact, le film de 1996Feu orange cinéma

Star Trek: First Contact (1996)
Autre titre : Star Trek 8, Star Trek VIII.

Sorti aux USA le 22 novembre 1996.
Sorti en Angleterre le 13 décembre 1996.
Sorti en France le 5 mars 1997.
Sorti en blu-ray américain le 22 septembre 2009 (Multi-régions ; anglais Dolby True HD 5.1, français inclus).
Sorti en blu-ray américain le 27 octobre 2009 (identique à l'édition américaine).

De Jonathan Frakes, sur un scénario de Rick Berman (producteur), Brannon Braga, Ronald D. Moore, d'après les séries télévisées créées par Gene Roddenberry, avec Patrick Stewart, Alfre Woodard, James Cromwell, Alice Krige, Jonathan Frakes, Brent Spiner, LeVar Burton, Michael Dorn, Gates McFadden, Marina Sirtis, Robert Picardo, Dwight Schultz, Patti Yasutake.

A bord de l'USS Enterprise E, le capitaine Jean-Luc Picard fait des cauchemars à répétition à propos du temps où il avait été assimilé par les Borgs et convertit en leur porte-parole Locutus. A peine se réveille-t-il qu'il reçoit une communication de l'amiral Hayes lui annonçant qu'une colonie proche de la station Deep Space 5 vient d'être anéantie selon le mode opératoire des Borgs. Picard lui répond alors qu'il le sait déjà, et annonce à son équipage que l'Enterprise ira inspecter la zone neutre, c'est à dire la frontière avec les Romuliens, pour le cas où ces derniers saisirait l'occasion de l'invasion Borg pour attaquer la Fédération à leur tour. Cependant il ne se passe rien dans la Zone neutre et Picard doit avouer à Riker, son officier en second, que l'Enterprise est écarté du front car l'Etat Major estime qu'il serait dangereux d'envoyer contre les Borgs un vaisseau doté d'un capitaine déjà assimilé une fois par les Borgs.

Les bonnes résolutions et le devoir d'obéissance font long feu lorsqu'ils apprennent que les Borgs ont fait une percée et foncent vers la Terre, et porté par l'enthousiasme de ses officiers à l'idée de commettre une haute trahison, Picard donne l'ordre de rejoindre la bataille pour sauver la Terre. Arrivé sur place, l'Enterprise E sauve l'équipage du Défiant, le vaisseau de la station DS9, et récupère Worf comme officier de la Sécurité - pas le vaisseau amiral de la flotte Terrienne - et alors que le vaisseau d'invasion Borg cubique est sur le point d'être détruit, l'Enterprise prend en chasse une sphère Borg que l'envahisseur a lancé sur la Terre.

La sphère Borg créé un vortex temporel, et l'Enterprise E pris dans son sillage parvient à détecter que la Terre a été instantanément assimilée, ce qui voudrait dire que les Borgs ont réussi leur invasion dans le passé, sans pour autant avoir anéanti l'Enterprise E dans le présent car ce dernier aurait été protégé par le sillage temporel de la sphère Borg. Picard décide donc de suivre la sphère Borg dans le passé - dix ans après la troisième guerre mondiale, le 4 avril 2063 - pour empêcher l'invasion borg, et découvre que l'envahisseur cible un ancien silo de missiles dans le Montana (Amérique du Nord) où un certain Zephram Cochran, alcoolique fini (!) mettait au point le premier vaisseau capable de voyager d'étoiles en étoiles - le vol expérimental enclenchant alors la procédure de premier contact avec les Vulcains, et dans la foulée la fondation de la Fédération et la reconstruction de la Terre, détruite par les guerres civiles, ouvrant une période de paix et de prospérité durable.

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L'opéra de l'Espace 1: La compagnie des fous, le roman de 1996Feu vert livre / BD

L'Opéra de l'Espace E1: La compagnie des fous (1996)

Sorti en France en octobre 1996 chez FLEUVE NOIR.

De Laurent Genefort.

Pour adultes et adolescents.

Axelkahn est l'un des chanteurs lyriques les plus renommés, mais un jour, sa voix se flétrit. En effet, les implants Yuweh situés le long de ses cordes vocales ne fonctionnent plus. Il faudrait les réparer, mais voilà: personne ne sait où se trouvent les Yuweh, ces architectes planétaires, ni comment les contacter.

Commence alors pour lui une quête, qui débutera par un voyage vers les bulbes Griffith, agrégat humains où l'on dit avoir rencontré les Yuweh. Là, pour parvenir à ses fins, Axelkahn réunit une troupe de théâtre, la Compagnie des Fous. Elle mérite bien son nom, avec des membres comme Tick, qui ne sait présenter qu'une syllabe ; Enzyme, qui prend la douleur d'autrui comme sienne ; ou Aiguille, dont le phrasé a été distordu par un coup de poignard...

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Neverwhere, le roman de 1996Feu vert livre / BD

Neverwhere (1996)
Traduction du titre anglais : Jamaisnullepart.

Noter qu’il s’agit de la novélisation de la mini-série de 1996 de Neil Gaiman par lui-même.

Attention : il en existe trois versions de ce roman en plus de l’adaptation théâtrale et de la bande-dessinée :

* originale d’octobre 1996 chez BBC BOOKS,

* explicitée pour l’édition américaine de 1997 chez PENGUIN BOOKS,

* révisée en mélangeant les deux versions précédentes— possiblement la « version longue inédite en France » de 2010 parue AU DIABLE VAUVERT sous deux couvertures différentes (collection jeunesse / collection adulte).

Ce roman appartient à la série London Below et est suivi par How the Marquis Got His Coat Back (2014).

Sorti en Angleterre en septembre 1996 chez BBC BOOKS UK.
Sorti aux USA dans sa version explicité en 1997 chez PENGUIN BOOKS.
Traduction de la version explicitée américaine de 1997 en grand format français par Patrick Marcel en octobre 1998 pour J’AI LU MILLENAIRE,
Réédité en poche le 13 avril 2001 chez J’AI LU, en décembre 2001, en janvier 2003, en octobre 2004.
Réédité AU DIABLE VAUVERT en mai 2010.
Réédité chez J’AI LU FANTASTIQUE en janvier 2011, en février 2013 et en mars 2020.

De Neil Gaiman.

Pour adultes et adolescents.

Parce qu'il veut bien faire, le jeune Richard Mayhew vole au secours d'une jeune fille apparemment sans abri, se prénommant "Porte". Sa vie toute tracée et très ordinaire bascule entièrement dans l'envers du décor, Porte étant poursuivie par des assassins des royaumes surnaturels que cachent le métro londonien. Or il n'y a que le premier pas qui compte et il va se retrouver très vite coupé de son monde tandis que le monde de la jeune fugitive n'est que morts violentes et folie pas toujours douce.

*

Neverwhere, le roman de 1996

Le texte original anglais de Neil Gaiman publié en septembre 1996 chez BBC BOOKS.

Prologue

The night before he went to London, Richard Mayhew was not enjoying himself.

He had begun the evening by enjoying himself: he had enjoyed reading the goodbye cards, and receiving the hugs from several not entirely unattractive young ladies of his acquaintance; he had enjoyed the warnings about the evils and dangers of London, and the gift of the white umbrella with the map of London Underground on it that the lads had clubbed together to get him; he had enjoyed the first few pints of ale; but then, with each successive pint of ale, he found he was enjoying himself significantly less; until now he was sitting and shivering on the pavement outside the pub, weighing the conflicting merits of being sick and not being sick, and not enjoying himself at all.

Inside the pub, Richard’s friends continued to celebrate his forthcoming departure, with an enthusiasm that, to Richard’s way of thinking, wad beginning to border on the sinister.
He held on tightly to the rolled-up umbrella, and wondered wether going to London was really a good idea.

‘You wonter keep a eye out,’ said a cracked old voice. ‘They’ll be moving you before you can say Jack Robinson. Or runnin’ you in, I wouldn’t be surprised.’ Two sharp eyes stared out from a beaky, grimy face. ‘You orl right?’
‘Yes, thank you,’ said Richard.

The grimy face softened.
‘Here, poor thing,’ she said, and pushed a fifty-pence piece into Richard’s hand.’Ow long you bin on ther streets, then?’

*

La traduction au plus proche.

Prologue

La nuit d’avant qu’il s’en aille à Londres, Richard Mayhew ne s'amusait pas.

Il avait commencé la soirée en s'amusant : il avait apprécié de lire les cartes de départ et de recevoir les embrassades de plusieurs jeunes femmes de sa connaissance, pas complètement dépourvues d’attraits ; il avait apprécié les mises en garde contre les pièges et les dangers de Londres, et le cadeau du parapluie blanc avec le plan du métro de Londres que les garçons s'étaient cotisés pour lui offrir ; il avait apprécié les premières pintes de bière, mais ensuite, après chaque pinte de bière supplémentaire, il avait réalisé qu'il s'amusait significativement moins, jusqu’à ce qu’il se retrouve à présent assis et frissonnant sur le trottoir à l'extérieur du pub, à peser les mérites conflictuels d'être malade et de ne pas être malade, et de ne pas s'amuser du tout.

À l'intérieur du pub, les amis de Richard continuaient à fêter son prochain départ, avec un enthousiasme qui, vu la façon dont Richard pensait alors, commençait à devenir sinistre.
Il s'accrochait fermement au parapluie plié, et se demandait si partir pour Londres était vraiment une bonne idée.

"Vous f’riez ben d’pas trop fermer l’œil," dit une vieille voix cassée. Ils vous déménageront avant d’avoir pu dire ouf. Ou ça ne m’étonnerait pas qu’ils vous écrasent. » Deux yeux perçants d’un visage crochu grincheux le fixait. "Vous z’allez bien ?
"Oui, merci", répondit Richard.

Le visage lugubre s’était adouci.
« Là, mon pauvre, dit-elle, en glissant une pièce de cinquante pence dans la main de Richard. Combien de temps ça fait qu’vous z’êtes à la rue maint’nant ? »

*

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La traduction de Patrick Marcel de 1998 pour J’AI LU MILLENAIRE.

PROLOGUE

Pendant la soirée qui précéda son départ pour Londres, Richard Mayhew ne s’amusa guère.

Il avait débuté la soirée en s’amusant : il s’était musé à lire les cartes d’adieu, à accepter les embrassades de plusieurs jeunes personnes de sa connaissance, pas franchement déplaisantes ; il s’était amusé de toutes les mises en gardes contre les périls et les dangers de Londres, et du grand parapluie blanc imprimé d’une carte du métro londonien que ses amis lui avaient offert en se cotisant. Il s’amusait encore quand vint l’heure des premières pintes de bières. Et puis, à chaque nouvelle pinte, il constata qu’il s’amusait de moins en moins. Jusqu’à cet instant où, assis sur le trottoir, il grelottait devant le pub d’une petite bourgade d’Ecosse, en se demandant s’il valait mieux être malade ou pas. Et il ne s’amusait plus du tout.

A l’intérieur du pub, les amis de Richard continuaient de célébrer son départ imminent avec un enthousiasme que Richard commençait à trouver inquiétant. Assis au bord du trottoir, serrant le poing sur son parapluie roulé, il se demanda si partir au sud pour Londres était vraiment une bonne idée.
— Faites gaffe, annonça une vieille voix cassée. Y vont vous faire circuler avant que z’ayez eu le temps de dire ouf. Ou vous fourre au bloc, ça m’étonnerait pas non plus. (Deux yeux perçants le fixaient au milieu d’un visage crasseux en forme de bec.) Ça va bien ?
— Oui, merci.

Richard était un jeune homme au visage ouvert, aux cheveux légèrement bouclés et aux grands yeux noisette ; il avait l’air fripé de quelqu’un qui se lève tout juste, ce qui lui conférait auprès du sexe opposé plus d’attrait qu’il ne le comprendrait ni le croirait jamais.

Le visage crasseux s’adoucit.
— Tiens, mon pauvret, dit-elle en fourrant une pièce de cinquante pence au creux de la main de Richard. Alors, ça fait combien de temps que t’es à la rue ?

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.

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The Ultimate Encyclopedia of Science-Fiction, le livre de 1996Feu vert livre / BD

Ici la page Amazon.fr de The Ultimate Encyclopedia of Science-fiction édition 1997.

The Ultimate Encyclopedia of Science-Fiction (1996)

Sorti en Angleterre chez CARLTON BOOK le 3 octobre 1996.

De David Pringle.

Etant donné le très grand nombre de récits à lister, cet article sera complété au fur et à mesure.

Une encyclopédie grand public de la Science-fiction par un vétéran du magazine anglais Interzone, qui fait suite à l'encyclopédie visuelle plus dense et plus académique de John Clute. Cela reste récréatif et intéressant même si c'est plus léger, la dernière année chroniquée étant 1995.

Le livre est divisé en six sections, plus un lexique ("glossaire") :

Thèmes

Space Opera

Romances planétaires // Planet Opera

Cités du futur

Désastres // Catastrophes

Histoires alternatives // Uchronies

Romances préhistoriques

Voyages dans le temps

Intrusions extraterrestres // Extraterrestres

Pouvoirs mentaux // Pouvoirs Psioniques // Paranormal

Les enfers comiques // Dystopie // Satires

Vie extraterrestre

Intelligence artificielle

Collisions cosmiques

Technologies à la pointe

Cyborgs

Dinosaures et autres survivances

La Terre qui meurt

L'Elixir de Vie

L'environnement en danger

Le génie génétique

La guerre nucléaire et ses conséquences

La surpopulation et la pollution

Les mondes parallèles

Robots et androïdes

Guerres sexuelles

Le système solaire

Les habitats de l'Espace

Le voyage spatial

Les surhommes et autres mutants

Les armes de destruction massive et les guerres du Futur

L'animation suspendue

La téléportation et la transmission de la matière

La transcendance

Sous la surface // Les Terres creuses

Le cyberpunk

L'âge d'or // Le golden age // Le styling

La Hard Science

Les novélisations de film

L'espace intérieur

Les races disparues

La SF militaristique

La Nouvelle Vague

La Science-Fantasy

Les suites par d'autres plumes

Les univers partagés

Le Steampunk

Les technothrillers

Les adaptations télévisées et radiophoniques

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Films

Attention, les auteurs de cet ouvrage listent les sérials, qui sont des séries, au milieu des longs-métrages.

Aelita (1924)

The Lost World (Le monde perdu, 1925)

Metropolis (1927)

La femme sur la Lune (Frau im Mond, 1929)

L'île mystérieuse (1929)

L'amour en l'an 2000 (1930, Just Imagine)

Dr Jeckyll And Mr Hyde (1931)

Frankenstein (1931)

L'île du docteur Moreau (1932, Island Of Lost Souls)

Déluge (1933)

L'homme invisible (The Invisible Man, 1933)

King Kong (1933)

La fiancée de Frankenstein (1935)

Flash Gordon (1936)

La vie future (1936, The Shape Of Things To Come)

Le tunnel (1936)

Flash Gordon's Trip To Mars (1938)

Buck Rogers (1939)

Doctor Cyclops (1940)

Flash Gordon Conquers The Universe (1940)

One Million BC (1940)

Batman (1943)

The Lady And The Monster (1944)

Superman (1948)

The Perfect Woman (1949)

Destination Moon (1950)

Le jour où la Terre s'arrêta (1951, The Day The Earth Stood Still)

The Man In The White Suit (1951)

La chose d'un autre monde (1951, The Thing From Another World)

When Worlds Collide (1951)

Red Planet Mars (1952)

The Beast From 20.000 Fathoms (1953)

Donovan's Brain (1953)

Four-Sided Triangle (1953)

Invaders From Mars (1953)

It Came From Outer Space (Le météore de la nuit, 1953)

Spaceways (1953)

La guerre des mondes (1953, War Of The Worlds)

L'étrange créature du lac noir (1954, The Creature From The Black Lagoon)

Gozilla (1954, Gojira)

Riders To The Stars (1954)

Them! (1954)

20.000 Lieues sous les mers (1954, 20.000 Leagues Under The Sea)

The Conquest of Space (1955)

The Day The World Ended (1955)

1984 (1955)

The Quatermass Xperiment (1955)

Tarantula (1955)

This Island Earth (1955)

Earth Versus The Flying Saucers (1956)

Forbidden Planet (Planète interdite, 1956)

Invasion of the Body Snatchers (l'invasion des profanateurs de sépultures, 1956)

The Incredible Shrinking Man (l'homme qui rétrécit, 1957)

Quatermass II (1957)

Twenty Million Miles to Earth (1957)

The Blob (1958)

The Fly (La mouche noire, 1958)

From the Earth To the Moon (1958)

I Married A Monster From Outer Space (1958)

It! The Terror From Beyond Space (1958)

Journey To The Center of the Earth (Voyage au centre de la Terre, 1959)

On the Beach (1959)

The World, The Flesh and the Devil (1959)

Gorgo (1960)

The Lost World (1960)

The Time Machine (1960)

Village of the Damned (1960)

The Damned (1961)

The Day the Earth Caught Fire (1961)

Mysterious Island (1961)

Voyage to the Bottom of the Sea (1961)

Panic in Year Zero (1962)

Children of the Damned (1963)

The Day of the Triffids (1963)

X - The Man With X-Ray Eyes (1963)

Dr Strangelove (Docteur Folamour, 1964)

Fail Safe (1964)

The First Men in The Moon (1964)

It Happened Here (1964)

Robinson Crusoe on Mars (1964)

Alphaville (1965)

La Decima Vittima (1965)

The War Game (1965)

Fahrenheit 451 (1966)

Fantastic Voyage (1966)

One Million Years BC (1966)

Seconds (1966)

Barbarella (1967)

The Power (1967)

Privilege (1967)

Quatermass and the Pit (1967)

Charly (1968)

Countdown (1968)

Planet of the Apes (La planète des singes, 1968)

2001, A Space Odyssey (2001, l'odyssée de l'Espace, 1968)

Wild in the Streets (1968)

Beneath the Planet of the Apes (1969)

Colossus: The Forbin Project (1969)

Marooned (1969)

The Mind of Mr Soames (1969)

Moon Zero Two (1969)

The Andromeda Strain (1970)

Gas-s-s-s (1970)

No Blade of Grass (1970)

THX 1138 (1970)

A Clockwork Orange (1971)

Escape From The Planet of The Apes (1971)

The Omega Man (1971)

Silent Running (1971)

Solaris (1971)

Z.P.G (1971)

Conquest of the Planet of the Apes (1972)

Slaughterhouse Five (1972)

Battle for the Planet of the Apes (1973)

The Day of the Dophin (1973)

The Final Program (1973)

Phase IV (1973)

Sleeper (1973)

Soylent Green (1973)

Westworld (1973)

Zardoz (1973)

The Cars that Ate Paris (1974)

Damnation Alley (1974)

Dark Star (1974)

It's Alive (1974)

The Land that Time Forgot (1974)

Shivers (1974)

The Stepford Wives (1974)

The Terminal Man (1974)

Who? (1974)

A Boy and his Dog (1975)

 

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Télévision

Captain Video (1949)

Tom Corbett - Space Cadet (1950)

 

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Auteurs

Douglas Adams

Brian W. Aldiss

 

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Héros et Méchants

Adam Adamant

Aelita

Genly Ai

Alex

 

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Magazines

Amazing Stories (1926)

Astounding Science-fiction (1930)

 

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Vocabulaire

Réalités alternatives (Alternative Worlds)

Ansible

Antigravité

 

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce livre.

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