Forteresse des étoiles, le roman de 1981Feu vert livre / BD

Downbelow Station (1981)
Autres titres : Company Wars 3.
Traduction du titre original : Les guerres corporatistes 3: Station Australe (?)

Prix Hugo 1982.

Sorti aux USA en février 1981 chez DAW BOOKS US.
Sorti en France le 10 avril 1983 chez OPTA FR (traduction de Daniel Lemoine)
Sorti en France en novembre 1985 chez OPTA collection GALAXY BIS tome 1.

De C. J. Cherryh.

Résumé à venir.

Forteresse des étoiles, le roman de 1981  Forteresse des étoiles, le roman de 1981

Forteresse des étoiles, le roman de 1981   Forteresse des étoiles, le roman de 1981

Forteresse des étoiles, le roman de 1981   Forteresse des étoiles, le roman de 1981

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(traduction au plus proche)

Chapitre Un

La Terre et au-delà: 2005-2352

Les étoiles, tout comme les autres aventures humaines, étaient une évidente impossibilité, aussi rude et irréaliste comme ambition qu'était la première incursion sur les vastes océans de la Terre elle-même, ou dans les airs, ou dans l'Espace. La Station Sol avait connu plusieurs années d'existence rentable; il y avait les premières mines, usines, génératrices d'énergie spatiale qui commençaient à rapporter. La Terre les considéra comme acquis aussi rapidement qu'elle l'avait fait pour l'ensemble de ses progrès précédents. Des missions lancées depuis la station explorait le système, un programme éloigné de l'entendement du public, mais il ne rencontra aucune opposition de taille, dès lors qu'il ne troublait pas le bien-être de la Terre. Alors tranquillement, d'une manière tout à fait factuelle, la première sonde s'envola jusqu'au deux étoiles les plus proches, sans équipage, pour recueillir des données et revenir avec, une tâche en elle-même d'une considérable complexité...

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(Le texte original)

Chapter One

Earth and Outward: 2005-2352

The stars, like all man’s other ventures, were an obvious impracticality, as rash and improbable an ambition as the first venture of man onto Earth’s own great oceans, or into the air, or into space. Sol Station had existed profitably for some years; there were the beginnings of mines, the manufacturies, the power installations in space which were beginning to pay. Earth took them for granted as quickly as it did all its other comforts. Missions from the station explored the system, a program far from public understanding, but it met no strong opposition, since it did not disturb the comfort of Earth.  So quietly, very matter of factly, that first probe went out to the two nearest stars, unmanned, to gather data and return, a task in itself of considerable complexity. The launch from station drew some public interest, but years was a long time to wait for a result, and it passed out of media interest as quickly as it did out of the solar system. It drew a great deal more attention on its return, nostalgia on the part of those who recalled its launch more than a decade before, curiosity on the part of the young who had known little of its beginning and wondered what it was all about. It was a scientific success, bringing back data enough to keep the analysts busy for years… but there was no glib, slick way to explain the full meaning of its observations in layman’s terms. In public relations the mission was a failure; the public, seeking to understand on their own terms, looked for material benefit, treasure, riches, dramatic findings.

What the probe had found was a star with reasonable possibilities for encouraging life; a belt of debris, including particles, planetoids, irregular chunks somewhat under planet size with interesting implications for systemic formation, and a planetary companion with its own system of debris and moons… a planet desolate, baked, forbidding. It was no Eden, no second Earth, no better than what existed in the sun’s own system, and it was a far journey to have gone to find that out. The press grappled with questions it could not easily grasp itself, sought after something to give the viewers, lost interest quickly. If anything, there were questions raised about cost, vague and desperate comparisons offered to Columbus , and the press hared off quickly onto a political crisis in the Mediterranean , much more comprehensible and far bloodier.

The scientific establishment on Sol Station breathed a sigh of relief and with equal quiet caution invested a portion of its budget in a modest manned expedition, to voyage in what amounted to a traveling miniature of Sol Station itself, and to stay a time making observations in orbit about that world.  And very quietly, to further imitate Sol Station, to test manufacturing techniques which had built Earth’s great second satellite… in stranger conditions. Sol Corporation supplied a generous grant, having a certain curiosity, a certain understanding of stations and what profits could be looked for from their development That was the beginning.

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(traduction de Daniel Lemoine)

1

TERRE ET ESPACE: 2005-2352

Les étoiles, comme toutes les conquêtes de l'homme, étaient une impossibilité manifeste, une ambition aussi téméraire qu'irréalisable que la conquête des immenses océans de la Terre, de l'air ou de l'espace. La Station Sol fonctionnait depuis plusieurs années; les premières mines, fabriques et centrales énergétiques de l'espace commençaient à rapporter. La Terre les assimila aussi rapidement qu'elle avait absorbé les autres éléments de son confort. Des missions parties de la station explorèrent le Système, programme que le public n'était absolument pas en mesure de comprendre mais qui ne se heurta à aucune opposition du fait qu'il ne mettait pas en péril le confort dont jouissait la Terre.

Très discrètement, très prosaïquement, la première sonde, inhabitée, gagna les deux étoiles les plus proches, recueillit des informations et rentra, tâche en elle-même d'une complexité considérable...

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Hurlement, le film de 1981Feu vert cinéma

The Howling (1981)
Traduction : Le hurlement.

Sorti en France le 21 janvier 1981.
Sorti aux USA le 13 mars 1981.
Sorti en Angleterre le 14 mai 1981.
Sorti en blu-ray français le 11 mai 2010 (région B, image de qualité, pas de sous-titres anglais, son faiblard et localisé sur la bulle avant, surtout sur l'unique bonus, son étouffé)
Sorti en blu-ray américain le 18 juin 2013 - Edition collector (région A, pas de version française, nombreux bonus, image et son de qualité).

De Joe Dante, sur un scénario de John Sayles, d'après le roman de Gary Brandner ; avec Dee Wallace, Patrick Macnee, Dennis Dugan, Belinda Balaski, Robert Picardo, Christopher Stone, John Carradine, Elisabeth Brooks, James MacKrell, Noble Willingham.

Pour adultes.

Alors qu’à la télévision le docteur John Waggner disserte à propos de la répression de l’instinct animal chez l’être humain et fait la promotion de son dernier livre - Le Don, un homme hirsute fait d’étranges bruits dans une chambre aux murs tapissés de dessins d’hommes-loups.

Au même moment, dans la rue, Karen White, présentatrice de télévision a décidé de faire un scoop en sortant seule de nuit dans le quartier où ont été commis des meurtres en série de femmes. Elle porte un micro, mais la liaison est mauvaise à cause des interférences – et l’opération se fait en collaboration avec la Police qui patrouille aux alentours. Karen White a en effet reçu une série d’appels téléphoniques d’un dénommé Eddie. Karen n’en mène pas vraiment large : après avoir été abordée dans une ruelle, elle s’est rendue dans une cabine téléphonique marquée d’un Smiley, et un homme l’empêche de sortir. Alors le téléphone de la cabine se met à sonner : c’est Eddie, qui lui demande si elle porte bien les vêtements qu’il a demandé. Les interférences sont trop fortes tandis que Eddie donne à Karen une adresse – et dans la rédaction de la chaîne de télévision, Bill, le mari de Karen est furieux, mais, Chris, l’ami journaliste de Karen assure à Bill que la police la retrouvera.

Pendant ce temps, Karen croit que la police et sa rédaction continue d’écouter son métro. Elle entre dans le Sex-Shop à l’adresse convenue avec Eddie, trouve un Smiley sur la porte d’une des cabines de visionnages de film et elle entre dans la cabine. Un homme dans son dos met une pièce dans la machine et un film porno commence à être projeté. Eddie, dont elle n’a toujours pas vu le visage, lui demande de seulement regarder le film, où une blonde est attachée sur un lit et gémit de terreur. Alors Eddie lui explique que les acteurs sur le film – les autres – ne ressentent rien, mais lui, et elle, Karen, ils sont capables de vraiment ressentir les choses. La voix de Eddie devient caverneuse et il lui dit qu’elle peut enfin regarder. Au même moment, deux policiers entrent dans le Sex-Shop, et le propriétaire leur confirme que Karen est entrée pour regarder un film dans l’une de ses cabines.

Alors Karen se met à hurler, et le plus jeune des policiers tire dans la porte. Eddie est tué, mais quand Karen est sortie de la cabine, elle est si traumatisée qu’elle ne se souvient de rien de ce qui a pu arriver dans la cabine. Et depuis son sommeil est peuplé de cauchemars, dont elle se réveille en hurlant, juste avant de voir le visage de Eddie, et le mari de Karen est incapable de la consoler. De leur côté, les deux journalistes de la chaîne de télévision amis de Karen, Chris et Terry, continuent l’enquête et trouve la chambre d’Eddie, aux murs couverts de coupures de presse et de dessin, dont un de Karen au naturel, et un de Karen en femme-loup…

Hurlement, le film de 1981

Hurlement, le film de 1981

Hurlement, le film de 1981

Hurlement, le film de 1981

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Scanners, le film de 1981Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de Scanners (1981)

Scanners (1981)

Sorti aux USA le 14 janvier 1981.
Sorti en France le 8 avril 1981.
sorti en blu-ray anglais le 4 décembre 2013 (région B...)
Sorti en blu-ray américain le 15 juillet 2014 chez CRITERION (région A...).
Sorti en blu-ray français le 1er octobre 2014.

De David Cronenberg (également scénariste), avec Stephen Lack, Patrick McGoohan, Michael Ironside, Lawrence Dane, Jennifer O'Neill, Robert A. Silverman.

Pour adultes.

Un homme en imperméable - Cameron Vale - à l’aspect négligé entre par une sortie de secours dans une galerie marchande. Il vole sur les tables d’un restaurant des restes de nourriture. Comme il s’assied et qu’une femme commente son attitude à la table voisine, le qualifiant de dégoutant, ses yeux s’agrandissent, et la femme fait une attaque cérébrale. Vale tente de s’enfuir et deux hommes qui l’ont remarqué le poursuivent à travers les escalators. L’un des poursuivants tire sur Vale avec un pistolet à fléchettes anesthésiantes, et Vale finit par s’écrouler dans un escalator.

Vale se réveille sanglé à un lit d’hôpital dans une vaste cave, habillé de blanc, avec des sièges alignés comme pour un spectacle. Un homme à lunettes – le docteur Paul Ruth – lui explique qu’il est un scanner, et que ce qui a été pour lui une source de grande souffrance, peut désormais être une source de pouvoir. Puis Ruth fait entrer une foule de gens et Vale, toujours sanglé au lit, se met à se tordre de souffrance tandis qu’un brouhaha grandit. Cependant, aucun des spectateurs ne parle. Plusieurs caméras sont braquées sur lui et après un certain temps, le brouhaha s’abaisse à un ronflement confus et Ruth lui fait une injection, puis lui dit qu’il peut parler à présent.

Ailleurs, dans un amphithéâtre, un homme prétend « scanner » les spectateurs, annonçant que le scan sera douloureux et peut provoquer nausées et saignements. Il interdit également à ce que quiconque quitte la salle une fois que la démonstration sera commencée. Puis il demande un volontaire. Le « scanneur » demande à son volontaire de s’asseoir à côté de lui sur l’estrade, et de penser à quelque chose de spécial et personnel, mais qu’il ne souhaite pas tenir secret vis-à-vis du public. Le volontaire a une curieuse cicatrice sur le front, entre les deux yeux. Le « scanneur » se met à grimacer, tandis que le « scanné » a ses veines qui grossissent notablement. Puis le « scanneur » convulse, et lorsque le « scanné » se raidit, la tête du « scanneur » explose. L’un des hommes qui avait arrêté l’homme à l’imperméable dans la galerie marchande entraîne le « scanné » qui prétend n’avoir rien fait, et sous la menace d’un pistolet, le plaque à terre et demande à un médecin de lui faire une piqûre d’Ephémerol. Cependant, il ne remarque pas que le médecin fait la piqûre dans sa propre main…

Scanners, le film de 1981

Scanners, le film de 1981

Scanners, le film de 1981

Scanners, le film de 1981

Scanners, le film de 1981

Scanners, le film de 1981

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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L'empire contre-attaque, le film de 1980

Voici la liste des articles de ce blog consacrés aux films de Science-fiction, Fantasy, Fantastique et Aventure annoncé pour l'année 1980. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure de la rédaction des articles.

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Ici le calendrier cinéma pour 1981.

Ici le calendrier cinéma pour 1979.

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Flash Gordon, le film de 1980

Décembre 1980

En France

Superman II (9 décembre)

Aux USA

Flash Gordon (5 décembre)

En Angleterre

Flash Gordon (11 décembre)

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Novembre 1980

En France

Terreur extraterrestre 1980 (Without Warning, 26 septembre 1980)

Aux USA

 

En Angleterre

Fog (6 novembre, The Fog)

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Shining, le film de 1980 Le Trou Noir, le film de 1979

Octobre 1980

En France

Le Trou Noir 1979 (3 octobre 1980, The Black Hole)

Shining (16 octobre, The Shining)

Aux USA

Quelque part dans le temps (3 octobre, Somewhere in Time)

En Angleterre

Shining (27 octobre, The Shining)

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Au-delà du réel, le film de 1980Terreur extraterrestre, le film de 1980

Septembre 1980

En France

Au-delà du réel (30 septembre, Altered States)

Aux USA

Les mercenaires de l'Espace (8 septembre, Battle Beyond The Stars)

Terreur extraterrestre 1980 (Without Warning, 19 septembre 1980)

Au-delà du réel (25 septembre, Altered States)

En Angleterre

 

En Suède

 

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L'empire contre-attaque, le film de 1980

Août 1980

En France

L'Empire contre-attaque (20 août, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

Aux USA

Nimitz, retour vers l'Enfer (1er août, the Final Countdown)

En Angleterre

 

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Nimitz, retour vers l'enfer, le film de 1980

Juillet 1980

En France :

Nimitz, retour vers l'Enfer (9 juillet, the Final Countdown)

Aux USA :

 

En Angleterre

 

 

Au Japon :

Nimitz, retour vers l'Enfer (5 juillet, the Final Countdown)

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L'empire contre-attaque, le film de 1980

Juin 1980

En France

 

Aux USA

L'Empire contre-attaque (20 juin, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

En Angleterre

 

Au Japon

 

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Saturn 3, le film de 1980Shining, le film de 1980

Mai 1980

En France

Saturn 3 (28 mai)

Aux USA

Shining (23 mai, The Shining)

En Angleterre

Saturn 3 (8 mai)

L'Empire contre-attaque (21 mai, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

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Avril 1980

En France

 

Aux USA

 

Au Japon

 

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Le roi et l'oiseau, le film de 1953Star Trek, le film de 1979

Mars 1980

En France :

Le roi et l'oiseau (animé, 19 mars, La bergère et le ramoneur, The King And The Mockingbird, The King And Mister Bird)

Star Trek le film 1979 (19 mars, Star Trek: The Motion Picture)

Fog (19 mars, The Fog)

Aux USA :

 

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Fog, le film de 1980Saturn 3, le film de 1980

Février 1980

En France

 

Aux USA

Fog (8 février, The Fog)

Saturn 3 (15 février)

En Angleterre

 

En Allemagne

 

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C'était demain, le film de 1979C'était demain, le film de 1979

Janvier 1980

En France

Meteor 1979 (9 janvier)

C'était demain 1979 (23 janvier, Time After Time)

Aux USA

 

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